Le président du nouveau bureau de l'Union nationale des étudiants tchadiens (UNET), Mahamat Saleh Ahmat Ali, dénonce les mauvaises conditions d'études et demande la réhabilitation de trois étudiants exclus de l'Université de N'Djamena.
L'UNET entend organiser une marche pacifique sur l'ensemble du territoire dans les prochains jours pour dénoncer les mauvais traitements que subissent les étudiants tchadiens.
"Depuis la prise de fonction du bureau national de l'UNET, nous constatons une mauvaise volonté du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation dans l'accomplissement de la mission qui lui est confiée par le gouvernement. Cette mauvaise volonté se manifeste par le mépris des représentants des étudiants alors que l'UNET est le partenaire dudit ministère", affirme Mahamat Saleh Ahmat Ali.
L'UNET affirme que les conditions d'étude sont déplorables, les restaurants universitaires et les bus de transport n'absorbent que moins de 5% de l'effectif des étudiants. Il n'existe pas de bibliothèque et de centres de santé.
Pour Mahamat Saleh Ahmat Ali, les autorités ferment les yeux et n'hésitent pas à réprimer sévèrement les étudiants dès lors qu'ils tentent d'exprimer leur ras-le-bol face à une situation donnée.
Il cite "l'évènement qui s'est produit à Abéché le 17 novembre 2021, où les étudiants ont subi des bavures policières pendant qu'ils marchaient pour réclamer la reprise des activités académiques". L'UNET demande la prise en charge des 11 étudiants blessés et interpelle les autorités pour que cela ne se reproduise plus.
L'UNET entend organiser une marche pacifique sur l'ensemble du territoire dans les prochains jours pour dénoncer les mauvais traitements que subissent les étudiants tchadiens.
"Depuis la prise de fonction du bureau national de l'UNET, nous constatons une mauvaise volonté du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation dans l'accomplissement de la mission qui lui est confiée par le gouvernement. Cette mauvaise volonté se manifeste par le mépris des représentants des étudiants alors que l'UNET est le partenaire dudit ministère", affirme Mahamat Saleh Ahmat Ali.
L'UNET affirme que les conditions d'étude sont déplorables, les restaurants universitaires et les bus de transport n'absorbent que moins de 5% de l'effectif des étudiants. Il n'existe pas de bibliothèque et de centres de santé.
Pour Mahamat Saleh Ahmat Ali, les autorités ferment les yeux et n'hésitent pas à réprimer sévèrement les étudiants dès lors qu'ils tentent d'exprimer leur ras-le-bol face à une situation donnée.
Il cite "l'évènement qui s'est produit à Abéché le 17 novembre 2021, où les étudiants ont subi des bavures policières pendant qu'ils marchaient pour réclamer la reprise des activités académiques". L'UNET demande la prise en charge des 11 étudiants blessés et interpelle les autorités pour que cela ne se reproduise plus.