La réalité du monde rural au Tchad est marquée par une situation de vie difficile pour les campagnards, exacerbée par plusieurs maux qui perturbent l'harmonie entre les populations rurales, notamment les conflits entre éleveurs et agriculteurs.
Les aléas climatiques, l'appauvrissement des terres et l'accroissement démographique sont autant de problèmes qui affectent gravement la société rurale dans son ensemble.
Autrefois, la cohabitation entre éleveurs et autochtones se faisait en harmonie, avec un mode de vie symbiotique, bénéfique pour les deux parties. Aujourd'hui, cette relation est déchirée par des conflits fréquents, marqués par la dévastation des champs et des affrontements entraînant souvent des pertes en vies humaines, posant un véritable problème pour la cohésion sociale.
Le monde rural est ainsi menacé par ces violences qui détruisent la vie de ces deux communautés, désormais en opposition. Ces conflits entraînent des déplacements forcés, certains habitants migrant vers les centres urbains en quête de travail, mais se retrouvant souvent dans des conditions de vie précaires.
Les conséquences psychosociales de ces déplacements sont considérables, affectant profondément la vie des individus. Les provinces, zones propices à l’agriculture, voient leurs capacités de production gravement entravées. Ce secteur, qui nourrit plus de 80% de la population tchadienne, peine à évoluer pour diverses raisons.
Le phénomène de réchauffement climatique, les conflits liés aux couloirs de transhumance, l'appauvrissement des terres et la coupe abusive des bois verts sont autant de soucis qui diminuent le rendement agricole.
Ces problèmes entraînent des conséquences multiples : augmentation du coût de la vie, démotivation des jeunes pour les travaux agricoles, montée du banditisme, vols, braquages, chômage et famine. Dans ces conflits, les autorités locales sont souvent accusées de partialité par les paysans, incriminant les administrateurs locaux.
Face à ces problèmes, le gouvernement est interpellé pour prendre des décisions efficaces afin d'éradiquer ces maux qui ont causé tant de souffrances et de pertes humaines.
Les aléas climatiques, l'appauvrissement des terres et l'accroissement démographique sont autant de problèmes qui affectent gravement la société rurale dans son ensemble.
Autrefois, la cohabitation entre éleveurs et autochtones se faisait en harmonie, avec un mode de vie symbiotique, bénéfique pour les deux parties. Aujourd'hui, cette relation est déchirée par des conflits fréquents, marqués par la dévastation des champs et des affrontements entraînant souvent des pertes en vies humaines, posant un véritable problème pour la cohésion sociale.
Le monde rural est ainsi menacé par ces violences qui détruisent la vie de ces deux communautés, désormais en opposition. Ces conflits entraînent des déplacements forcés, certains habitants migrant vers les centres urbains en quête de travail, mais se retrouvant souvent dans des conditions de vie précaires.
Les conséquences psychosociales de ces déplacements sont considérables, affectant profondément la vie des individus. Les provinces, zones propices à l’agriculture, voient leurs capacités de production gravement entravées. Ce secteur, qui nourrit plus de 80% de la population tchadienne, peine à évoluer pour diverses raisons.
Le phénomène de réchauffement climatique, les conflits liés aux couloirs de transhumance, l'appauvrissement des terres et la coupe abusive des bois verts sont autant de soucis qui diminuent le rendement agricole.
Ces problèmes entraînent des conséquences multiples : augmentation du coût de la vie, démotivation des jeunes pour les travaux agricoles, montée du banditisme, vols, braquages, chômage et famine. Dans ces conflits, les autorités locales sont souvent accusées de partialité par les paysans, incriminant les administrateurs locaux.
Face à ces problèmes, le gouvernement est interpellé pour prendre des décisions efficaces afin d'éradiquer ces maux qui ont causé tant de souffrances et de pertes humaines.