La Coordination nationale des jeunes pour la paix et le développement au Tchad (CONAJEPDT) a organisé vendredi une journée de réflexion sur le thème de la jeunesse en période de transition et sa contribution. Des représentants de la jeunesse et de la société civile ont pris part à l'évènement.
Le coordinateur national de la CONAJEPDT, Mahamat Oumar, a relevé que "cette journée s'inscrit dans le cadre de la paix et des convivialités entre les tchadiens des différentes couches sociales et plus particulièrement les jeunes".
Parmi les intervenants, le paneliste Ahmat Mahamat Hassan, chercheur et ancien ministre, a souligné que les tchadiens sont obligés de vivre ensemble. Il a rappelé les affres de la guerre et a mis en garde contre les agitations des réseaux sociaux ainsi que ceux qui prônent la division.
Ahmat Hassan exhorte la diaspora à éviter les discours de haine pour privilégier la construction du Tchad.
Le secrétaire général du Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI), Cheikh Abdedaïm Abdallah Ousman, a retracé le vécu des grands-parents qui est différent de celui d'aujourd'hui marqué par des clivages notamment religieux ou ethniques. "C'est ça qui fait que les choses ne marchent pas. C'est la cause principale et c'est un frein au développement", a-t-il dit.
"Tant que les insultes sont pas terminées, il n'y aura jamais la cohabitation pacifique et le vivre ensemble", selon Cheikh Abdedaïm Abdallah Ousman.
Pour sa part, le pasteur Dogo Victor, la jeunesse doit se connaître et connaître son rôle dans la culture de la paix : connaître les causes ou obstacles à la paix qui sont les préjugés, le mépris de l’autre, le complexe de supériorité, l’injustice à tous les niveaux ; mais aussi connaître les facteurs contribuant à la culture de la paix et au vivre ensemble.
À ses yeux, "la jeunesse doit être consciente, stable, avoir une vision claire et une conviction profonde de voir un Tchad développé et prospère”.
Le coordinateur national de la CONAJEPDT, Mahamat Oumar, a relevé que "cette journée s'inscrit dans le cadre de la paix et des convivialités entre les tchadiens des différentes couches sociales et plus particulièrement les jeunes".
Parmi les intervenants, le paneliste Ahmat Mahamat Hassan, chercheur et ancien ministre, a souligné que les tchadiens sont obligés de vivre ensemble. Il a rappelé les affres de la guerre et a mis en garde contre les agitations des réseaux sociaux ainsi que ceux qui prônent la division.
Ahmat Hassan exhorte la diaspora à éviter les discours de haine pour privilégier la construction du Tchad.
Le secrétaire général du Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI), Cheikh Abdedaïm Abdallah Ousman, a retracé le vécu des grands-parents qui est différent de celui d'aujourd'hui marqué par des clivages notamment religieux ou ethniques. "C'est ça qui fait que les choses ne marchent pas. C'est la cause principale et c'est un frein au développement", a-t-il dit.
"Tant que les insultes sont pas terminées, il n'y aura jamais la cohabitation pacifique et le vivre ensemble", selon Cheikh Abdedaïm Abdallah Ousman.
Pour sa part, le pasteur Dogo Victor, la jeunesse doit se connaître et connaître son rôle dans la culture de la paix : connaître les causes ou obstacles à la paix qui sont les préjugés, le mépris de l’autre, le complexe de supériorité, l’injustice à tous les niveaux ; mais aussi connaître les facteurs contribuant à la culture de la paix et au vivre ensemble.
À ses yeux, "la jeunesse doit être consciente, stable, avoir une vision claire et une conviction profonde de voir un Tchad développé et prospère”.