Selon le rapport conjoint établi par la Commission Nationale d'Accueil des Réfugiés (CNNAR) et l'Agence des Nations Unies pour la Coordination des Affaires Humanitaires (OCHA), plus de 60 000 réfugiés se trouvent actuellement répartis dans plusieurs sites et camps à travers la province du Sila. Cette situation précaire a eu un impact significatif sur la vie des autochtones et des citadins, entraînant une augmentation du coût de la vie et des tensions économiques.
L'arrivée de ces réfugiés a également engendré des conséquences négatives sur l'économie locale, les écosystèmes halieutiques et d'autres aspects clés de la province du Sila. Les réfugiés et les citoyens partagent des préoccupations similaires concernant l'accès aux ressources naturelles, l'élevage, l'agriculture et la biodiversité, créant ainsi un défi de coexistence et de partage des ressources.
La situation des réfugiés soudanais, en particulier en cette saison pluvieuse, est alarmante, compte tenu des conflits en cours à Khartoum et dans les régions environnantes au Soudan. Face à cette réalité urgente, un appel est lancé au gouvernement de la République du Tchad, aux partenaires nationaux et internationaux, aux organisations humanitaires et aux acteurs économiques pour intensifier leurs efforts de coopération et de soutien.
Il est impératif que des relations bilatérales et des réunions locales et internationales soient établies pour répondre aux besoins financiers, alimentaires, vestimentaires et vitaux des réfugiés dans la province du Sila. La situation actuelle met en évidence la nécessité d'une approche coordonnée pour atténuer les défis auxquels sont confrontés les réfugiés et la population locale.
Cette crise appelle à une réflexion sur l'avenir. Le gouvernement de la République du Tchad doit rechercher des solutions durables pour répondre aux besoins de ces réfugiés soudanais, tout en reconnaissant que leur présence sur le sol tchadien s'inscrit dans un contexte de fraternité et de solidarité entre les frontières.
Pour faire face à cette situation complexe, il est crucial que les partenaires techniques opérant dans la province du Sila intensifient leurs stratégies en réalisant des études de faisabilité pour améliorer l'accès à l'eau potable, la construction de latrines et d'autres infrastructures nécessaires.
Si ces défis persistent, ils pourraient entraîner des conflits intercommunautaires et tribaux récurrents, aggravant la situation déjà précaire à Khartoum et mettant en péril la stabilité des provinces voisines, en particulier celles qui partagent des frontières avec le Soudan.
Actuellement, plusieurs réfugiés résident dans les camps de Djabal à Goz-Beida, Zabout et Astarehna dans le département de Kimiti, ainsi que dans le camp de réfugiés de Moudeïna dans le département d'Addé, et le camp de Goz-Amir dans le département de Koukou-Angarana.
L'arrivée de ces réfugiés a également engendré des conséquences négatives sur l'économie locale, les écosystèmes halieutiques et d'autres aspects clés de la province du Sila. Les réfugiés et les citoyens partagent des préoccupations similaires concernant l'accès aux ressources naturelles, l'élevage, l'agriculture et la biodiversité, créant ainsi un défi de coexistence et de partage des ressources.
La situation des réfugiés soudanais, en particulier en cette saison pluvieuse, est alarmante, compte tenu des conflits en cours à Khartoum et dans les régions environnantes au Soudan. Face à cette réalité urgente, un appel est lancé au gouvernement de la République du Tchad, aux partenaires nationaux et internationaux, aux organisations humanitaires et aux acteurs économiques pour intensifier leurs efforts de coopération et de soutien.
Il est impératif que des relations bilatérales et des réunions locales et internationales soient établies pour répondre aux besoins financiers, alimentaires, vestimentaires et vitaux des réfugiés dans la province du Sila. La situation actuelle met en évidence la nécessité d'une approche coordonnée pour atténuer les défis auxquels sont confrontés les réfugiés et la population locale.
Cette crise appelle à une réflexion sur l'avenir. Le gouvernement de la République du Tchad doit rechercher des solutions durables pour répondre aux besoins de ces réfugiés soudanais, tout en reconnaissant que leur présence sur le sol tchadien s'inscrit dans un contexte de fraternité et de solidarité entre les frontières.
Pour faire face à cette situation complexe, il est crucial que les partenaires techniques opérant dans la province du Sila intensifient leurs stratégies en réalisant des études de faisabilité pour améliorer l'accès à l'eau potable, la construction de latrines et d'autres infrastructures nécessaires.
Si ces défis persistent, ils pourraient entraîner des conflits intercommunautaires et tribaux récurrents, aggravant la situation déjà précaire à Khartoum et mettant en péril la stabilité des provinces voisines, en particulier celles qui partagent des frontières avec le Soudan.
Actuellement, plusieurs réfugiés résident dans les camps de Djabal à Goz-Beida, Zabout et Astarehna dans le département de Kimiti, ainsi que dans le camp de réfugiés de Moudeïna dans le département d'Addé, et le camp de Goz-Amir dans le département de Koukou-Angarana.