La commission mixte de sécurité (Gendarmerie, DGSSIE, GNNT, Police nationale, Police municipale) a annoncé mercredi l'arrestation de neuf présumés malfrats. Ils ont été présentés à la Légion n°10 de la Gendarmerie nationale, à N'Djamena.
Parmi les personnes arrêtées, deux sont spécialisées dans la falsification des billets de banque, deux dans le vol des téléphones portables, deux dans le trafic de charbon et trois autres dans le braquage des motos.
Des objets saisis et des produits prohibés ont été exposés à la presse dans la cour de la Légion de Gendarmerie.
"C'est le cinquième évènement du genre qu'on célèbre, en présentant les malfrats et des objets saisis. C'est pas seulement la gendarmerie mais tous les corps confondus", a indiqué le porte-parole de la gendarmerie, Abakar Abdramane Haggar.
Olivier Tinguengar, victime d'un vol de moto, a expliqué s'être fait dérobé son engin après avoir été piégé avec un jus mélangé à une substance. L'absorption du jus a entrainé son évanouissement.
Le premier substitut du procureur de la République, Gérard Nénéou, a précisé que "tous ceux qui viennent d'être présentés à la presse bénéficient du principe de la présomption d'innocent jusqu'à ce qu'ils ne peuvent être déclarés coupables. Ils ont droit également à la défense. C'est ce qui ne sera jamais perdu de vue. Si procès il doit y avoir, il doit respecter scrupuleusement toutes les règles afin que le droit soit dit dans toute sa rigueur."
Évoquant le cas d'une moto qui avait fait l'objet d'un procès-verbal et qui était arrivée au parquet, avant de se retrouver mystérieusement entre les mains de malfrats, le premier substitut du procureur de la République, Gérard Nénéou, a expliqué que des investigations vont être menées pour déceler les failles et comprendre ce qui s'est réellement passé. "L'inspection générale des affaires judiciaires et pénitentiaires à vocation à pouvoir contrôler tout ce processus de fonctionnement", a-t-il dit.
Parmi les personnes arrêtées, deux sont spécialisées dans la falsification des billets de banque, deux dans le vol des téléphones portables, deux dans le trafic de charbon et trois autres dans le braquage des motos.
Des objets saisis et des produits prohibés ont été exposés à la presse dans la cour de la Légion de Gendarmerie.
"C'est le cinquième évènement du genre qu'on célèbre, en présentant les malfrats et des objets saisis. C'est pas seulement la gendarmerie mais tous les corps confondus", a indiqué le porte-parole de la gendarmerie, Abakar Abdramane Haggar.
Olivier Tinguengar, victime d'un vol de moto, a expliqué s'être fait dérobé son engin après avoir été piégé avec un jus mélangé à une substance. L'absorption du jus a entrainé son évanouissement.
Le premier substitut du procureur de la République, Gérard Nénéou, a précisé que "tous ceux qui viennent d'être présentés à la presse bénéficient du principe de la présomption d'innocent jusqu'à ce qu'ils ne peuvent être déclarés coupables. Ils ont droit également à la défense. C'est ce qui ne sera jamais perdu de vue. Si procès il doit y avoir, il doit respecter scrupuleusement toutes les règles afin que le droit soit dit dans toute sa rigueur."
Évoquant le cas d'une moto qui avait fait l'objet d'un procès-verbal et qui était arrivée au parquet, avant de se retrouver mystérieusement entre les mains de malfrats, le premier substitut du procureur de la République, Gérard Nénéou, a expliqué que des investigations vont être menées pour déceler les failles et comprendre ce qui s'est réellement passé. "L'inspection générale des affaires judiciaires et pénitentiaires à vocation à pouvoir contrôler tout ce processus de fonctionnement", a-t-il dit.