À l'instar des autres pays du monde, le Tchad a célébré la Journée internationale des forêts. Mais force est de constater que la gestion des forêts reste obscure, malgré les efforts déployés dans ce sens, en raison de la surconsommation des ressources naturelles, notamment le bois.
Face à la pression démographique, à la recherche du bois de chauffe et du bois d’œuvre, aux destructions par les feux de brousse et y compris le réchauffement climatique, la gestion des ressources forestières est devenue une équation difficile à résoudre.
Cependant, pour résoudre le problème, un changement de mentalité en matière de déforestation et de perte de biodiversité s'impose. La limitation de la consommation de bois de chauffe, passe par la promotion des énergies renouvelables (biogaz, gaz, de l’énergie solaire et éolienne), afin de réduire l’utilisation du charbon de bois. Il faut également replanter, préserver les animaux qui y vivent ainsi que l’ensemble de l’écosystème.
Malheureusement, au Tchad, la campagne de reboisement est politisée et médiatisée sans un suivi d'évolution. Au niveau international, la gestion des forêts a été réglementée depuis 1993, à travers la Conférence d’Helsinki.
Selon le document sanctionnant cette conférence, la forêt est une ressource majeure à préserver : en effet, au-delà de sa fonction économique importante, elle est dotée d’une véritable fonction sociale : c’est un lieu de loisirs, de sports, d’arts et de culture.
Elle assure également une fonction écologique essentielle : production d’oxygène, séquestration du CO2, épuration de l’air et de l’eau, stabilisation des sols et abri d’une biodiversité très riche. Mais de prime abord, la forêt est capable en premier lieu de favoriser la fertilisation du sol, et d’assurer une sécurité alimentaire. Bien que l’agression contre l’environnement continue et de manière démesurée, il est important de conjuguer la protection des forêts avec la satisfaction des besoins en bois.
Il faut donc adopter une politique de contrôle sur les ressources forestières et des forêts artificielles, tout en appuyant, les initiatives des jeunes environnementalistes dans la plantation des arbres dans différents coins du pays, et une bonne politique de reboisement. Il est donc important de comprendre que la question de la protection de l'environnement et des forêts est une affaire de tous.
Face à la pression démographique, à la recherche du bois de chauffe et du bois d’œuvre, aux destructions par les feux de brousse et y compris le réchauffement climatique, la gestion des ressources forestières est devenue une équation difficile à résoudre.
Cependant, pour résoudre le problème, un changement de mentalité en matière de déforestation et de perte de biodiversité s'impose. La limitation de la consommation de bois de chauffe, passe par la promotion des énergies renouvelables (biogaz, gaz, de l’énergie solaire et éolienne), afin de réduire l’utilisation du charbon de bois. Il faut également replanter, préserver les animaux qui y vivent ainsi que l’ensemble de l’écosystème.
Malheureusement, au Tchad, la campagne de reboisement est politisée et médiatisée sans un suivi d'évolution. Au niveau international, la gestion des forêts a été réglementée depuis 1993, à travers la Conférence d’Helsinki.
Selon le document sanctionnant cette conférence, la forêt est une ressource majeure à préserver : en effet, au-delà de sa fonction économique importante, elle est dotée d’une véritable fonction sociale : c’est un lieu de loisirs, de sports, d’arts et de culture.
Elle assure également une fonction écologique essentielle : production d’oxygène, séquestration du CO2, épuration de l’air et de l’eau, stabilisation des sols et abri d’une biodiversité très riche. Mais de prime abord, la forêt est capable en premier lieu de favoriser la fertilisation du sol, et d’assurer une sécurité alimentaire. Bien que l’agression contre l’environnement continue et de manière démesurée, il est important de conjuguer la protection des forêts avec la satisfaction des besoins en bois.
Il faut donc adopter une politique de contrôle sur les ressources forestières et des forêts artificielles, tout en appuyant, les initiatives des jeunes environnementalistes dans la plantation des arbres dans différents coins du pays, et une bonne politique de reboisement. Il est donc important de comprendre que la question de la protection de l'environnement et des forêts est une affaire de tous.