Depuis quelques jours, plusieurs établissements scolaires ont commencé leurs cours, et l'on voit des élèves du cycle primaire et secondaire, retourner dans leurs salles de classe respectives.
Alors que certains sont en cours, d'autres continuent leurs vacances. Certains parents n'ont pas pu inscrire leurs enfants à l'école, en raison du manque de moyens financiers et de la pauvreté qui persiste dans la société tchadienne.
Pourtant, l'école prépare l'enfant pour l'avenir et lui offre une chance d'évoluer positivement. Brahim Saleh, père de sept enfants, témoigne : « J'ai décidé d'inscrire mes enfants à l'école pour qu'ils puissent apprendre et devenir les futurs cadres du pays. Cette année, j'aurais aimé les scolariser, mais faute de moyens, je n'ai pas eu le choix. Ils se retrouvent à la maison ».
Abdoulay Youssouf, employé chez Airtel Tchad, a ajouté : « Dès le début de la rentrée, j'ai acheté les fournitures scolaires de mes enfants et réservé l'argent pour leurs frais d'inscription. Maintenant, je me sens soulagé parce que mes enfants vont chaque jour à l'école, et je n'ai plus de soucis de ce côté-là ».
Cependant, les frais d'inscription et les fournitures scolaires sont devenus un fardeau pour certaines familles. Chaque matin, des parents se demandent : comment trouver de l'argent ? Quand mes enfants pourront-ils retourner à l'école ? La pauvreté pousse certains enfants à prendre de mauvaises directions, devenir mendiants, voleurs, ou parfois s'adonner à la drogue.
Comme le dit un adage, « L'école n'est pas pour les pauvres, elle est destinée aux riches ». Il est nécessaire que le gouvernement prenne des mesures pour aider ces futurs cadres. Il s’agit également de supprimer les frais d'inscription dans toutes les écoles publiques, offrir gratuitement les fournitures scolaires à chaque élève et construire des cantines dans tous les établissements publics.
Ces enfants représentent l'avenir de demain et ont besoin d'une éducation de base solide, pour bâtir une nation forte.
Alors que certains sont en cours, d'autres continuent leurs vacances. Certains parents n'ont pas pu inscrire leurs enfants à l'école, en raison du manque de moyens financiers et de la pauvreté qui persiste dans la société tchadienne.
Pourtant, l'école prépare l'enfant pour l'avenir et lui offre une chance d'évoluer positivement. Brahim Saleh, père de sept enfants, témoigne : « J'ai décidé d'inscrire mes enfants à l'école pour qu'ils puissent apprendre et devenir les futurs cadres du pays. Cette année, j'aurais aimé les scolariser, mais faute de moyens, je n'ai pas eu le choix. Ils se retrouvent à la maison ».
Abdoulay Youssouf, employé chez Airtel Tchad, a ajouté : « Dès le début de la rentrée, j'ai acheté les fournitures scolaires de mes enfants et réservé l'argent pour leurs frais d'inscription. Maintenant, je me sens soulagé parce que mes enfants vont chaque jour à l'école, et je n'ai plus de soucis de ce côté-là ».
Cependant, les frais d'inscription et les fournitures scolaires sont devenus un fardeau pour certaines familles. Chaque matin, des parents se demandent : comment trouver de l'argent ? Quand mes enfants pourront-ils retourner à l'école ? La pauvreté pousse certains enfants à prendre de mauvaises directions, devenir mendiants, voleurs, ou parfois s'adonner à la drogue.
Comme le dit un adage, « L'école n'est pas pour les pauvres, elle est destinée aux riches ». Il est nécessaire que le gouvernement prenne des mesures pour aider ces futurs cadres. Il s’agit également de supprimer les frais d'inscription dans toutes les écoles publiques, offrir gratuitement les fournitures scolaires à chaque élève et construire des cantines dans tous les établissements publics.
Ces enfants représentent l'avenir de demain et ont besoin d'une éducation de base solide, pour bâtir une nation forte.