Le report du dialogue national inclusif
Dialogue en sursis titre Le Visionnaire. Programmé pour le 10 mai 2022, le dialogue national inclusif n'aura pas lieu à cette date. À quelques jours de ce rendez-vous historique, le gouvernement Tchadien a décidé de son report. Quelles sont les vraies de ce report, s'interroge Le Visionnaire. Report du dialogue national inclusif, les médias l'ont prédit rappelle L'Observateur.
Le 1er mai 2022, les autorités de transition au Tchad ont annoncé le report sine dine du dialogue national inclusif. L'argument avancé par le ministre des Affaires étrangères est que la médiation Qatari en a fait la demande compte tenu des pourparlers qui se déroulent actuellement à Doha entre les politico-militaires et le gouvernement de transition. Finalement l'on va de report en report depuis plus d'un an aujourd'hui . Le scénario le plus plausible est que le dialogue national inclusif ait lieu à la fin du mois de novembre et début du mois de décembre 2022. Mais cela reviendrait forcément à proroger le délai de la transition pour 18 mois de plus, analyse L'Observateur. Décidément le dialogue national inclusif au Tchad est un véritable serpent de mer. Difficile de cerner, de voir sa véritable forme, les contours et encore moins la dimension, ajoute de plus L'Observateur.
Indépendance hypothéquée, clame fort l'hebdomadaire Abba Garde ; quoi qu'on puisse justifier la nécessité du report du dialogue national inclusif, il y a lieu de craindre que derrière l'influence du Qatar se cachent des projets risqués pour la paix au Tchad, connaissant le jeu trouble de ce pays dans divers accords et négociation sans lendemain. Le cas de la Libye doit faire réfléchir, prévient Abba Garde. Un fiasco ou un coup KO, s'interroge l'éditorialiste de N'djamena Hebdo, Le dialogue national inclusif aura-t-il lieu à compter du 10 mai 2022, s'interroge toujours le journal. La question que les Tchadiens se posent sans cesse depuis plusieurs semaines, voire des mois, revient avec beaucoup plus d'acuité, constate N'djamena Hebdo.
La célébration de la fête du travail (1er mai 2022)
L'Union des syndicats du Tchad (UST) met le doigt dans l'œil du gouvernement révèle, l'hebdomadaire N'djamena Hebdo. Dimanche 1er mai 2022, l'UST a célébré la journée Internationale du travail. Dans une cérémonie digne d'un meeting politique, les syndicats ont clamé avec franchise, à haute et intelligible voix, les tares du gouvernement. Ce qui a conduit le représentant du gouvernement à balbutier devant la foule sur les multiples reproches faites aux autorités.
Les travailleurs sur le point de boycotter le dialogue national inclusif, souligne Abba Garde. Les travailleurs tchadiens ont diversement la fête du travail de cette année. L'édition de 2022 a eu lieu dans les salle closes, sans défilé ni tintamarre. L'application intégrale du pacte social avant le dialogue national inclusif (DNI) était au bout des lèvres de tous les travailleurs. De nombreux couacs et bavures policières ont été constatés cette année. Le drame a été évité de justesse à l'UST.
Lors de la commémoration de la fête du travail par l'UST au ministère des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et des Tchadiens de l'étranger, la police a fait une descente musclée pour disperser les travailleurs. Elle a fait usage de gaz lacrymogène pour mater surtout les retraités venus pour la cérémonie, rapporte Abba Garde. La CIST réclame l'application intégrale du pacte triennal. La Confédération Indépendante des syndicats du Tchad (CIST) exige du gouvernement l'application intégrale du pacte triennal, signé avec les partenaires sociaux, relève Le Visionnaire.
L'énergie au Tchad
Bientôt une centrale solaire de 100 mégawatts (100MW) à N'djamena, annonce Le Visionnaire. C'est par une signature d'un MoU entre l'État tchadien et le groupe Arise. Le groupe Arise et gouvernement tchadien, par l'entremise du ministère du Pétrole et de l'Énergie, ont signé le 25 avril dernier un mémorandum d'entente (MoU) pour des études de faisabilité, relatives à la construction d'une centrale électrique photovoltaïque de production initiale de 50 mégawatts, avec extension jusqu'au 100 mégawatts. Ce sont Djerassem Le Bemadjiel et Jacky Rivière, respectivement ministre du Pétrole et de l'Énergie et directeur pays Arise Tchad qui ont paraphé le document.
Dialogue en sursis titre Le Visionnaire. Programmé pour le 10 mai 2022, le dialogue national inclusif n'aura pas lieu à cette date. À quelques jours de ce rendez-vous historique, le gouvernement Tchadien a décidé de son report. Quelles sont les vraies de ce report, s'interroge Le Visionnaire. Report du dialogue national inclusif, les médias l'ont prédit rappelle L'Observateur.
Le 1er mai 2022, les autorités de transition au Tchad ont annoncé le report sine dine du dialogue national inclusif. L'argument avancé par le ministre des Affaires étrangères est que la médiation Qatari en a fait la demande compte tenu des pourparlers qui se déroulent actuellement à Doha entre les politico-militaires et le gouvernement de transition. Finalement l'on va de report en report depuis plus d'un an aujourd'hui . Le scénario le plus plausible est que le dialogue national inclusif ait lieu à la fin du mois de novembre et début du mois de décembre 2022. Mais cela reviendrait forcément à proroger le délai de la transition pour 18 mois de plus, analyse L'Observateur. Décidément le dialogue national inclusif au Tchad est un véritable serpent de mer. Difficile de cerner, de voir sa véritable forme, les contours et encore moins la dimension, ajoute de plus L'Observateur.
Indépendance hypothéquée, clame fort l'hebdomadaire Abba Garde ; quoi qu'on puisse justifier la nécessité du report du dialogue national inclusif, il y a lieu de craindre que derrière l'influence du Qatar se cachent des projets risqués pour la paix au Tchad, connaissant le jeu trouble de ce pays dans divers accords et négociation sans lendemain. Le cas de la Libye doit faire réfléchir, prévient Abba Garde. Un fiasco ou un coup KO, s'interroge l'éditorialiste de N'djamena Hebdo, Le dialogue national inclusif aura-t-il lieu à compter du 10 mai 2022, s'interroge toujours le journal. La question que les Tchadiens se posent sans cesse depuis plusieurs semaines, voire des mois, revient avec beaucoup plus d'acuité, constate N'djamena Hebdo.
La célébration de la fête du travail (1er mai 2022)
L'Union des syndicats du Tchad (UST) met le doigt dans l'œil du gouvernement révèle, l'hebdomadaire N'djamena Hebdo. Dimanche 1er mai 2022, l'UST a célébré la journée Internationale du travail. Dans une cérémonie digne d'un meeting politique, les syndicats ont clamé avec franchise, à haute et intelligible voix, les tares du gouvernement. Ce qui a conduit le représentant du gouvernement à balbutier devant la foule sur les multiples reproches faites aux autorités.
Les travailleurs sur le point de boycotter le dialogue national inclusif, souligne Abba Garde. Les travailleurs tchadiens ont diversement la fête du travail de cette année. L'édition de 2022 a eu lieu dans les salle closes, sans défilé ni tintamarre. L'application intégrale du pacte social avant le dialogue national inclusif (DNI) était au bout des lèvres de tous les travailleurs. De nombreux couacs et bavures policières ont été constatés cette année. Le drame a été évité de justesse à l'UST.
Lors de la commémoration de la fête du travail par l'UST au ministère des Affaires étrangères, de l'Intégration africaine et des Tchadiens de l'étranger, la police a fait une descente musclée pour disperser les travailleurs. Elle a fait usage de gaz lacrymogène pour mater surtout les retraités venus pour la cérémonie, rapporte Abba Garde. La CIST réclame l'application intégrale du pacte triennal. La Confédération Indépendante des syndicats du Tchad (CIST) exige du gouvernement l'application intégrale du pacte triennal, signé avec les partenaires sociaux, relève Le Visionnaire.
L'énergie au Tchad
Bientôt une centrale solaire de 100 mégawatts (100MW) à N'djamena, annonce Le Visionnaire. C'est par une signature d'un MoU entre l'État tchadien et le groupe Arise. Le groupe Arise et gouvernement tchadien, par l'entremise du ministère du Pétrole et de l'Énergie, ont signé le 25 avril dernier un mémorandum d'entente (MoU) pour des études de faisabilité, relatives à la construction d'une centrale électrique photovoltaïque de production initiale de 50 mégawatts, avec extension jusqu'au 100 mégawatts. Ce sont Djerassem Le Bemadjiel et Jacky Rivière, respectivement ministre du Pétrole et de l'Énergie et directeur pays Arise Tchad qui ont paraphé le document.