Le député Routouang Yoma Golom. © DR
Le président de la République Idriss Deby a rendu hommage vendredi au député Routouang Yoma Golom, décédé ce matin à N’Djamena.
« J’ai appris avec tristesse le décès du Député Routouang Yoma Golom. Notre pays perd un de ses dignes fils, un officier général de grande valeur, un administrateur rompu et un sage à l’expérience éprouvée », a déclaré le chef de l’État sur son compte Twitter.
Idriss Déby adresse ses « condoléances émues à sa famille et à tous ses proches ».
De hautes responsabilités étatiques
Ancien secrétaire général du Mouvement patriotique du salut (MPS), ministre de la Justice, garde des sceaux (en 1985 sous Hissein Habré), ministre de l'Agriculture (2002), ministre des Postes et des Télécommunications (2003), ministre de l'Administration du territoire (2004), ministre du Commerce et de l'Industrie (2005) et ministre de l'Intérieur, de la Sécurité publique et de l'Immigration (2006), il était député du parti MPS à l'Assemblée nationale depuis 2011 pour le Mayo Kebbi Est. Le général a également occupé des fonctions au sein de l'état-major des armées.
À l'Assemblée nationale, le député a été président de la commission parlementaire Défense et Sécurité, mais aussi président de la commission Politique Générale, Institutions, Lois, Affaires Administratives et Judiciaires. En mai 2018, à l'issue du 1er Forum national inclusif, il a été désigné membre de la commission spéciale chargée de l'examen du projet de Loi constitutionnelle du 4 mai 2018.
Le général Routouang Yoma Golom est le père du ministre de la Jeunesse et des Sports, Routouang Mohamed Ndonga Christian.
En mai 2013, le général et trois autres députés avaient été arrêtés et inculpés pour des soupçons d'atteinte à l'ordre constitutionnel dans une affaire de tentative de déstabilisation présumée, avant d'être libérés.
En octobre 2001, il a été gouverneur suppléant du Fonds international de développement agricole (FIDA) pour le Tchad.
Le 21 avril 1998, alors général de brigade, l'officier Yoma Golom a été distingué du titre d'officier de l'Ordre de Mono par décret de l'ancien chef de l'État togolais Eyadema Gnassingbé.
« J’ai appris avec tristesse le décès du Député Routouang Yoma Golom. Notre pays perd un de ses dignes fils, un officier général de grande valeur, un administrateur rompu et un sage à l’expérience éprouvée », a déclaré le chef de l’État sur son compte Twitter.
Idriss Déby adresse ses « condoléances émues à sa famille et à tous ses proches ».
De hautes responsabilités étatiques
Ancien secrétaire général du Mouvement patriotique du salut (MPS), ministre de la Justice, garde des sceaux (en 1985 sous Hissein Habré), ministre de l'Agriculture (2002), ministre des Postes et des Télécommunications (2003), ministre de l'Administration du territoire (2004), ministre du Commerce et de l'Industrie (2005) et ministre de l'Intérieur, de la Sécurité publique et de l'Immigration (2006), il était député du parti MPS à l'Assemblée nationale depuis 2011 pour le Mayo Kebbi Est. Le général a également occupé des fonctions au sein de l'état-major des armées.
À l'Assemblée nationale, le député a été président de la commission parlementaire Défense et Sécurité, mais aussi président de la commission Politique Générale, Institutions, Lois, Affaires Administratives et Judiciaires. En mai 2018, à l'issue du 1er Forum national inclusif, il a été désigné membre de la commission spéciale chargée de l'examen du projet de Loi constitutionnelle du 4 mai 2018.
Le général Routouang Yoma Golom est le père du ministre de la Jeunesse et des Sports, Routouang Mohamed Ndonga Christian.
En mai 2013, le général et trois autres députés avaient été arrêtés et inculpés pour des soupçons d'atteinte à l'ordre constitutionnel dans une affaire de tentative de déstabilisation présumée, avant d'être libérés.
En octobre 2001, il a été gouverneur suppléant du Fonds international de développement agricole (FIDA) pour le Tchad.
Le 21 avril 1998, alors général de brigade, l'officier Yoma Golom a été distingué du titre d'officier de l'Ordre de Mono par décret de l'ancien chef de l'État togolais Eyadema Gnassingbé.