Le vice-président du groupe parlementaire Les Démocrates, Ousman Cherif Khamdjan, par ailleurs député frondeur du Parti pour les libertés et le développement (PLD), a fait lundi 10 juillet 2020, à son domicile, un point de presse pour saluer l’élévation à la dignité du maréchal du président Idriss Deby Itno. Selon lui, "le Tchad vivra demain un évènement dont la Troisième législature a l’insigne honneur d’immortaliser son importance."
Le député a indiqué que "cette consécration unanimement saluée par tous les députés de l’Assemblée Nationale est un titre largement mérité, compte tenu du rôle singulier et historique que le Président de la République a joué pour la nation tchadienne en particulier et le continent africain en général."
Ousmane Cherif Khamdjan saisit "cette occasion solennelle pour remercier l’honorable Président de la représentation nationale, Dr Haroun Kabadi, pour avoir soutenu et répondu favorablement à la demande. Car, il faut le préciser, l’initiative de cette consécration est venue de nous, députés de l’opposition."
D'après lui, en 2013 lorsque le Tchad a décidé d’intervenir au Mali, "nous députés, avons soutenu promptement et à l’unanimité l’action gouvernementale. Parce que le danger était imminent et le chef de l’État tchadien, le Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno qui est un homme stratège et visionnaire a anticipé pour contenir et pousser le mal du terrorisme le plus loin possible."
Il ajoute que "aujourd’hui, aussi bien en Afrique qu’en occident, tout le monde salue le rôle combien salvateur pour l’humanité que le Maréchal du Tchad a joué à l’époque en anticipant."
Par ailleurs, il salue le maréchal du Tchad pour ses hauts faits d’arme depuis sa jeunesse. « Beaucoup de ses amis d’enfance témoignent qu’il était le chef de dortoir du Lycée Franco-arabe d’Abéché. En même temps, il fut le gréviste en chef de lycée durant la manifestation en 1976. Ces deux postures résument le tempérament de cet homme qui a la destinée de notre pays : capable de faire la paix mais aussi de conduire une guerre salvatrice quand cela est nécessaire. Il est nanti d’un baccalauréat série D du lycée Jacques Moudeina de Bongor. Idriss Déby est sorti de l’École interarmées en 1978 avec le grade de sous-lieutenant à l’âge de 25 ans. Puis, il a suivi une formation en France à Head Park en tant que pilote », décrit-il.
Le député frondeur du PLD affirme que "le 7 juin 1982, triomphalement, Idriss Deby Itno a conduit les Force Armées du Nord à N’Djamena." Car dit-il, "il fut colonel et promu au poste combien prestigieux mais risqué et lourd de responsabilité de Com-chef, commandant en chef des FANT."
Ousmane Cherif Khamdjane décrit qu'en juin 1982, il est devenu le chef d’état-major à l’âge de 30 ans. « Mais face à l’injustice que vivent ses concitoyens, ce jeune dont la carrière est au zénith, rejette les ors et dorures de salons douillets pour initier l’action du 1er avril 1989 avec quelques proches. Le 31 mars 1989 à minuit, le colonel Idriss Déby Itno a quitté Ndjamena en compagnie de 72 combattants et a attaqué le camp de Dourbali. Son groupe a récupéré des armes légères et trois éléments ont rallié », relate-t-il.
Il poursuit en précisant que "le fondateur du Mouvement patriotique du salut (MPS), avec un dispositif léger et efficace, a chassé l’une des dictatures les plus féroces dans le monde qui s’est illustrée par 40 000 morts rien que dans les geôles de la DDS."
"Cette formation politico-militaire a réinstauré la démocratie le 1er décembre 1990, après la suspension du multipartisme par l’ordonnance n°3 du 19 janvier 1962. « Le sacrifice chez lui est un trait de caractère. Beaucoup de ses faits et gestes dénotent de cette fidélité envers ses frères d’armes, comme le prouve l’aéroport international de N'Djamena qui porte fièrement le nom de Hassan Djamous. Malgré les tentatives de déstabilisation qui ont jalonné tout son mandat, le capitaine du « Bateau Tchad » a pu conduire le pays à bon port. Si par moment le pays a tangué, il faut dire et reconnaître que nous avons un capitaine vigilant et jaloux de la souveraineté de son pays », explique le député frondeur du PLD.
D’après lui, le président "a déjoué toutes les tentatives de déstabilisation et aujourd’hui, les horizons du pays sont clairs". Il rappelle que "du 29 mars au 6 avril 2020, sous la conduite du président de la République, les forces de défense et de sécurité ont énergiquement riposté à cette attaque en ôtant aux éléments de Boko Haram toute envie de revenir au Tchad."
« Il est temps que les académies militaires du monde entier se penchent et étudient les faits et gestes, et le parcours de ce grand militaire et stratège du continent africain. À la mémoire des vaillants soldats tombés armes à la main, les élus du peuple suggèrent l’édification d’une stèle mémorielle à Boma, comme site historique à vocation touristique dédié à l’Armée nationale tchadienne », soutient le député de l’opposition Ousman Cherif Khamdjan.
Le député a indiqué que "cette consécration unanimement saluée par tous les députés de l’Assemblée Nationale est un titre largement mérité, compte tenu du rôle singulier et historique que le Président de la République a joué pour la nation tchadienne en particulier et le continent africain en général."
Ousmane Cherif Khamdjan saisit "cette occasion solennelle pour remercier l’honorable Président de la représentation nationale, Dr Haroun Kabadi, pour avoir soutenu et répondu favorablement à la demande. Car, il faut le préciser, l’initiative de cette consécration est venue de nous, députés de l’opposition."
D'après lui, en 2013 lorsque le Tchad a décidé d’intervenir au Mali, "nous députés, avons soutenu promptement et à l’unanimité l’action gouvernementale. Parce que le danger était imminent et le chef de l’État tchadien, le Maréchal du Tchad Idriss Déby Itno qui est un homme stratège et visionnaire a anticipé pour contenir et pousser le mal du terrorisme le plus loin possible."
Il ajoute que "aujourd’hui, aussi bien en Afrique qu’en occident, tout le monde salue le rôle combien salvateur pour l’humanité que le Maréchal du Tchad a joué à l’époque en anticipant."
Par ailleurs, il salue le maréchal du Tchad pour ses hauts faits d’arme depuis sa jeunesse. « Beaucoup de ses amis d’enfance témoignent qu’il était le chef de dortoir du Lycée Franco-arabe d’Abéché. En même temps, il fut le gréviste en chef de lycée durant la manifestation en 1976. Ces deux postures résument le tempérament de cet homme qui a la destinée de notre pays : capable de faire la paix mais aussi de conduire une guerre salvatrice quand cela est nécessaire. Il est nanti d’un baccalauréat série D du lycée Jacques Moudeina de Bongor. Idriss Déby est sorti de l’École interarmées en 1978 avec le grade de sous-lieutenant à l’âge de 25 ans. Puis, il a suivi une formation en France à Head Park en tant que pilote », décrit-il.
Le député frondeur du PLD affirme que "le 7 juin 1982, triomphalement, Idriss Deby Itno a conduit les Force Armées du Nord à N’Djamena." Car dit-il, "il fut colonel et promu au poste combien prestigieux mais risqué et lourd de responsabilité de Com-chef, commandant en chef des FANT."
Ousmane Cherif Khamdjane décrit qu'en juin 1982, il est devenu le chef d’état-major à l’âge de 30 ans. « Mais face à l’injustice que vivent ses concitoyens, ce jeune dont la carrière est au zénith, rejette les ors et dorures de salons douillets pour initier l’action du 1er avril 1989 avec quelques proches. Le 31 mars 1989 à minuit, le colonel Idriss Déby Itno a quitté Ndjamena en compagnie de 72 combattants et a attaqué le camp de Dourbali. Son groupe a récupéré des armes légères et trois éléments ont rallié », relate-t-il.
Il poursuit en précisant que "le fondateur du Mouvement patriotique du salut (MPS), avec un dispositif léger et efficace, a chassé l’une des dictatures les plus féroces dans le monde qui s’est illustrée par 40 000 morts rien que dans les geôles de la DDS."
"Cette formation politico-militaire a réinstauré la démocratie le 1er décembre 1990, après la suspension du multipartisme par l’ordonnance n°3 du 19 janvier 1962. « Le sacrifice chez lui est un trait de caractère. Beaucoup de ses faits et gestes dénotent de cette fidélité envers ses frères d’armes, comme le prouve l’aéroport international de N'Djamena qui porte fièrement le nom de Hassan Djamous. Malgré les tentatives de déstabilisation qui ont jalonné tout son mandat, le capitaine du « Bateau Tchad » a pu conduire le pays à bon port. Si par moment le pays a tangué, il faut dire et reconnaître que nous avons un capitaine vigilant et jaloux de la souveraineté de son pays », explique le député frondeur du PLD.
D’après lui, le président "a déjoué toutes les tentatives de déstabilisation et aujourd’hui, les horizons du pays sont clairs". Il rappelle que "du 29 mars au 6 avril 2020, sous la conduite du président de la République, les forces de défense et de sécurité ont énergiquement riposté à cette attaque en ôtant aux éléments de Boko Haram toute envie de revenir au Tchad."
« Il est temps que les académies militaires du monde entier se penchent et étudient les faits et gestes, et le parcours de ce grand militaire et stratège du continent africain. À la mémoire des vaillants soldats tombés armes à la main, les élus du peuple suggèrent l’édification d’une stèle mémorielle à Boma, comme site historique à vocation touristique dédié à l’Armée nationale tchadienne », soutient le député de l’opposition Ousman Cherif Khamdjan.