Au Tchad, depuis 4 ans, cette institution est perçue comme un juge et partie. Elle ne remplirait pas sa mission régalienne, estiment ses détracteurs. La raison évoquée : le COST s’aligne du côté du ministère en charge des sports pour régler le compte des fédérations qui n'épousent pas la gestion calamiteuse de ses dirigeants.
Les fédérations d’athlétisme, de football, de boxe, de tir à l’arc et de basketball sont victimes de cet état de fait. Le COST doit être impartial dans la gestion de conflit entre le ministère des sports et les fédérations nationales. Toutefois, son président actuel a été nommé directeur général technique des sports au ministère des Sports. Cette position profite à celui que les dirigeants sportifs qualifient d’homme fort.
Toutes les décisions concernant les fédérations nationales sont prises dans le bureau du COST sous la tribune Galaxie du stade Idriss Mahamat Ouya, entre le directeur général technique des sports, par ailleurs président de ladite institution, et la directrice du sport de haut niveau, membre aussi du COST.
Aujourd’hui, les responsables des fédérations nationales n'ont que les yeux pour pleurer quand il s’agit de résoudre un contentieux ou négocier le financement d’une activité.
Au sein des fédérations, les reproches sont multiples : les quatre années de l’équipe actuelle du COST ont mis l’institution à l’agonie avec une gestion peu orthodoxe des ressources financières de la solidarité olympique. Des démissions en cascade dont celui du trésorier général et son adjointe prouvent à suffisance la mauvaise gestion de l’équipe actuelle, peut-on entendre.
Les fédérations sportives seront amenées à choisir leur “porte-parole” auprès du ministère des sports en vue d’un renouvellement du bureau. L’Assemblée générale élective aura lieu le 18 décembre prochain afin de donner un nouveau souffle au COST.
Les fédérations d’athlétisme, de football, de boxe, de tir à l’arc et de basketball sont victimes de cet état de fait. Le COST doit être impartial dans la gestion de conflit entre le ministère des sports et les fédérations nationales. Toutefois, son président actuel a été nommé directeur général technique des sports au ministère des Sports. Cette position profite à celui que les dirigeants sportifs qualifient d’homme fort.
Toutes les décisions concernant les fédérations nationales sont prises dans le bureau du COST sous la tribune Galaxie du stade Idriss Mahamat Ouya, entre le directeur général technique des sports, par ailleurs président de ladite institution, et la directrice du sport de haut niveau, membre aussi du COST.
Aujourd’hui, les responsables des fédérations nationales n'ont que les yeux pour pleurer quand il s’agit de résoudre un contentieux ou négocier le financement d’une activité.
Au sein des fédérations, les reproches sont multiples : les quatre années de l’équipe actuelle du COST ont mis l’institution à l’agonie avec une gestion peu orthodoxe des ressources financières de la solidarité olympique. Des démissions en cascade dont celui du trésorier général et son adjointe prouvent à suffisance la mauvaise gestion de l’équipe actuelle, peut-on entendre.
Les fédérations sportives seront amenées à choisir leur “porte-parole” auprès du ministère des sports en vue d’un renouvellement du bureau. L’Assemblée générale élective aura lieu le 18 décembre prochain afin de donner un nouveau souffle au COST.