Organisé par le ministère de la Réconciliation nationale et du Dialogue, en collaboration avec l’Union Européenne, cet atelier vise à renforcer les capacités des forces vives du Tchad, acteurs de la paix, et à définir les contours d’un processus national sur le désarmement, la démobilisation et la réintégration (DDR).
Ces assises concernent les ambassadeurs, le ministère de la Justice, le ministère de la Défense nationale, le ministère de la Sécurité publique, le ministère de l’Economie, le ministère de la Femme, les secrétaires généraux et représentants des institutions de l’Etat, les représentants des missions diplomatiques, de l’Union Africaine, des Nations Unies, des organisations régionales, bilatérales et multilatérales accréditées au Tchad.
Le représentant de l’Union Européenne, Martin Wiese, se félicite de la tenue de cet atelier qui, selon lui, est une opportunité pour le Tchad. Il souligne que le Tchad a connu plusieurs processus de désarmement, démobilisation et réintégration des groupes politico-militaires, suite à divers conflits, avec des résultats palpables, notamment par rapport à la réinsertion et la réintégration socio-économique des groupes militaires.
Il ajoute que l’Union Européenne s’est engagée, avec ses partenaires internationaux, conformément à la résolution du 14 mai 2021 du Conseil de Paix et Sécurité de l’Union Africaine, à accompagner le gouvernement tchadien de Transition, à mettre en œuvre sa feuille de route à terme. Il s’agit également d’assurer des élections générales libres, transparentes et crédibles dans un délai fixé. Cet atelier traitera les liens entre DDR et gouvernance du secteur de la sécurité, la justice traditionnelle, la prévention de l’extrémisme violent et la lutte antiterroriste.
Lançant l’atelier, le ministre d’Etat, ministre de la Réconciliation nationale et du Dialogue social, Acheikh Ibn Oumar souligne que les travaux permettront aux divers acteurs concernés, de se familiariser avec les standards internationaux du DDR et de tenir compte des enseignements tirés des processus précédents au Tchad et ailleurs.
Pour Acheikh Ibn Oumar, le problème principal du Tchad constitue la paix. Le Tchad a une expérience interne et externe en DDR, comme en 1960 du temps de Tombalbaye, où il y a eu une réconciliation, en 1971 à Doyaba, à Sarh, les accords de Karthoum en 1977, les accords de Lagos en 1979, en RCA, le Soudan en 2003, les accords d’Abéché, et en 2020 avec les accords au Sud Soudan à Luba. Le ministre de la Réconciliation rappelle que l’acquisition des expertises est très importante. Il en appelle aux Etats membres d’offrir des perspectives aux jeunes pour leur réinsertion et la recherche des nouvelles perspectives pour la sortie d’un Tchad nouveau, où il fait bon vivre.
Au terme de l’atelier qui durera deux jours, les participants et participantes formuleront des recommandations aux partenaires et au gouvernement, pour une transition apaisée.
Ces assises concernent les ambassadeurs, le ministère de la Justice, le ministère de la Défense nationale, le ministère de la Sécurité publique, le ministère de l’Economie, le ministère de la Femme, les secrétaires généraux et représentants des institutions de l’Etat, les représentants des missions diplomatiques, de l’Union Africaine, des Nations Unies, des organisations régionales, bilatérales et multilatérales accréditées au Tchad.
Le représentant de l’Union Européenne, Martin Wiese, se félicite de la tenue de cet atelier qui, selon lui, est une opportunité pour le Tchad. Il souligne que le Tchad a connu plusieurs processus de désarmement, démobilisation et réintégration des groupes politico-militaires, suite à divers conflits, avec des résultats palpables, notamment par rapport à la réinsertion et la réintégration socio-économique des groupes militaires.
Il ajoute que l’Union Européenne s’est engagée, avec ses partenaires internationaux, conformément à la résolution du 14 mai 2021 du Conseil de Paix et Sécurité de l’Union Africaine, à accompagner le gouvernement tchadien de Transition, à mettre en œuvre sa feuille de route à terme. Il s’agit également d’assurer des élections générales libres, transparentes et crédibles dans un délai fixé. Cet atelier traitera les liens entre DDR et gouvernance du secteur de la sécurité, la justice traditionnelle, la prévention de l’extrémisme violent et la lutte antiterroriste.
Lançant l’atelier, le ministre d’Etat, ministre de la Réconciliation nationale et du Dialogue social, Acheikh Ibn Oumar souligne que les travaux permettront aux divers acteurs concernés, de se familiariser avec les standards internationaux du DDR et de tenir compte des enseignements tirés des processus précédents au Tchad et ailleurs.
Pour Acheikh Ibn Oumar, le problème principal du Tchad constitue la paix. Le Tchad a une expérience interne et externe en DDR, comme en 1960 du temps de Tombalbaye, où il y a eu une réconciliation, en 1971 à Doyaba, à Sarh, les accords de Karthoum en 1977, les accords de Lagos en 1979, en RCA, le Soudan en 2003, les accords d’Abéché, et en 2020 avec les accords au Sud Soudan à Luba. Le ministre de la Réconciliation rappelle que l’acquisition des expertises est très importante. Il en appelle aux Etats membres d’offrir des perspectives aux jeunes pour leur réinsertion et la recherche des nouvelles perspectives pour la sortie d’un Tchad nouveau, où il fait bon vivre.
Au terme de l’atelier qui durera deux jours, les participants et participantes formuleront des recommandations aux partenaires et au gouvernement, pour une transition apaisée.