Le service de radiographie, en particulier, nécessite un renforcement pour fonctionner correctement et permettre une meilleure prise en charge des patients. Lors de notre visite le 20 juin 2024, nous avons constaté que les patients attendaient devant la porte en raison des coupures fréquentes d'électricité. Ces interruptions perturbent non seulement les services de radiographie, mais également les soins critiques.
Selon une infirmière interrogée, l'hôpital souffre régulièrement de coupures de courant. L'administration dispose d'une ligne spéciale avec un générateur, mais les services essentiels comme le laboratoire et la radiographie ont besoin de renforcement en matière d'électrification pour assurer un bon fonctionnement général.
Le gouvernement tchadien, avec le soutien d'organisations internationales, a lancé plusieurs initiatives pour améliorer les infrastructures de santé. En 2020, environ 51% de la population tchadienne n'avait pas accès à des services de santé de base. Des investissements continus sont nécessaires pour atteindre les normes de l'OMS, qui recommande au moins un médecin pour 10 000 habitants et un infirmier pour 5 000 habitants.
Les autorités s'efforcent également de former davantage de professionnels de santé et de moderniser les équipements médicaux. En Afrique, l'amélioration de l'infrastructure de santé est une priorité, avec des pays comme le Rwanda et le Ghana servant de modèles pour des réformes réussies. Le Tchad espère suivre ces exemples en améliorant la qualité des soins et en assurant une distribution équitable des ressources dans tous les établissements de santé.
Selon une infirmière interrogée, l'hôpital souffre régulièrement de coupures de courant. L'administration dispose d'une ligne spéciale avec un générateur, mais les services essentiels comme le laboratoire et la radiographie ont besoin de renforcement en matière d'électrification pour assurer un bon fonctionnement général.
Le gouvernement tchadien, avec le soutien d'organisations internationales, a lancé plusieurs initiatives pour améliorer les infrastructures de santé. En 2020, environ 51% de la population tchadienne n'avait pas accès à des services de santé de base. Des investissements continus sont nécessaires pour atteindre les normes de l'OMS, qui recommande au moins un médecin pour 10 000 habitants et un infirmier pour 5 000 habitants.
Les autorités s'efforcent également de former davantage de professionnels de santé et de moderniser les équipements médicaux. En Afrique, l'amélioration de l'infrastructure de santé est une priorité, avec des pays comme le Rwanda et le Ghana servant de modèles pour des réformes réussies. Le Tchad espère suivre ces exemples en améliorant la qualité des soins et en assurant une distribution équitable des ressources dans tous les établissements de santé.