Des militaires ont procédé très tôt ce matin du mercredi 13 décembre, dans la ville de Bébédjia, à des contrôles d'armes, d'objets tranchants et du matériel agricole. La population ignore la cause de ce contrôle inopiné.
Le préfet à fait savoir que des tirs sporadiques d'armes sont entendus chaque nuit dans la ville de Bébédjia, ce qui a conduit les autorités de la région à envoyer une mission de fouille inopinée.
Le contrôle devrait être réorganisé dans les jours à venir suite à une fuite d'information sur le premier contrôle.
Le maire de la ville de Bébédjia, Maïna Norbert Doumsengar a également fait l'objet d'une descente des militaires vers 5 heures du matin. Les autorités militaires de la région ont envahi sa maison alors que le maire était encore au lit. Alerté par ses enfants, le maire est sorti précipitamment.
"Où sont les armes ?", a lancé un militaire. "Cherchez" a répond lu maire. Au cours de la fouille, les deux divans du salon du domicile du maire ont été cassés par les militaires.
Après la fouille d'armes, la peur et la haine se sont installés dans la ville de Bébédjia.
Le préfet à fait savoir que des tirs sporadiques d'armes sont entendus chaque nuit dans la ville de Bébédjia, ce qui a conduit les autorités de la région à envoyer une mission de fouille inopinée.
Le contrôle devrait être réorganisé dans les jours à venir suite à une fuite d'information sur le premier contrôle.
Le maire de la ville de Bébédjia, Maïna Norbert Doumsengar a également fait l'objet d'une descente des militaires vers 5 heures du matin. Les autorités militaires de la région ont envahi sa maison alors que le maire était encore au lit. Alerté par ses enfants, le maire est sorti précipitamment.
"Où sont les armes ?", a lancé un militaire. "Cherchez" a répond lu maire. Au cours de la fouille, les deux divans du salon du domicile du maire ont été cassés par les militaires.
Après la fouille d'armes, la peur et la haine se sont installés dans la ville de Bébédjia.