Ces pseudo-artistes, sans remettre en question ce qui leur est dit, sont souvent trop enclins à croire. Des experts en manipulation mentale s'insinuent dans les organisations de la société civile (OSC), les partis politiques et se métamorphosent en activistes politiques pour poursuivre leurs objectifs en utilisant des stratégies superficielles.
Fréquemment, ces prétendus opposants se révoltent et se rebellent en raison de problèmes personnels, puis extrapolent ces ennuis à l'échelle nationale, voire internationale, faisant croire aux autres qu'ils sont victimes du système en place. Parfois, ils prétendent militer pour une cause nationale, mais finissent par organiser des négociations en exhortant le gouvernement à répondre promptement à leurs demandes, sous peine de passer à une offensive ou d'organiser des rassemblements dans les villes pour afficher leur mécontentement. En l'absence de manifestations, les insurgés s'exilent et menacent le pouvoir en place. D'autres utilisent des tactiques politiques machiavéliques, usant de tous les moyens pour atteindre leurs objectifs, ce qui explique pourquoi beaucoup d'entre eux ont déjà réussi. Certains d'entre eux ont été récompensés par des postes au sein de l'État ou même au Conseil National de Transition (CNT).
Prenant en considération le bien-être de leur peuple, les gouvernements se retrouvent contraints d'accepter les exigences des révoltés, négociant sans conditions pour garantir la paix et la stabilité durable du pays. Ces méthodes ne laissent guère de place pour les qualifier autrement que de manipulateurs évidents.
Cependant, ne sont-ce pas les citoyens ordinaires, qui ont cru en leurs arguments et les ont soutenus dans des moments difficiles, qui en fin de compte en pâtissent ? Une fois les objectifs atteints, ils sont souvent oubliés lors du partage des récompenses.
Fréquemment, ces prétendus opposants se révoltent et se rebellent en raison de problèmes personnels, puis extrapolent ces ennuis à l'échelle nationale, voire internationale, faisant croire aux autres qu'ils sont victimes du système en place. Parfois, ils prétendent militer pour une cause nationale, mais finissent par organiser des négociations en exhortant le gouvernement à répondre promptement à leurs demandes, sous peine de passer à une offensive ou d'organiser des rassemblements dans les villes pour afficher leur mécontentement. En l'absence de manifestations, les insurgés s'exilent et menacent le pouvoir en place. D'autres utilisent des tactiques politiques machiavéliques, usant de tous les moyens pour atteindre leurs objectifs, ce qui explique pourquoi beaucoup d'entre eux ont déjà réussi. Certains d'entre eux ont été récompensés par des postes au sein de l'État ou même au Conseil National de Transition (CNT).
Prenant en considération le bien-être de leur peuple, les gouvernements se retrouvent contraints d'accepter les exigences des révoltés, négociant sans conditions pour garantir la paix et la stabilité durable du pays. Ces méthodes ne laissent guère de place pour les qualifier autrement que de manipulateurs évidents.
Cependant, ne sont-ce pas les citoyens ordinaires, qui ont cru en leurs arguments et les ont soutenus dans des moments difficiles, qui en fin de compte en pâtissent ? Une fois les objectifs atteints, ils sont souvent oubliés lors du partage des récompenses.