Une cérémonie d'arbre de Noël a été organisée le 21 décembre au camp des réfugiés de Dembo, au profit des enfants réfugiés dudit camp, à l'initiative de la cellule filets sociaux du PARCA Mandoul, autour du thème "Être un enfant dans un camp de réfugiés".
Une première du genre sur le sol tchadien et surtout une première dans un camp de réfugiés. Cette activité (arbre de Noël) vise à véhiculer les valeurs du partage, de la générosité et à développer l’esprit d’amour et d’unité. Cette journée aura également pour impact de semer la graine du bonheur auprès des réfugiés et d’établir des liens entre les enfants.
Au cours de cette cérémonie festive et historique, les enfants ont montré une joie incommensurable à travers des chants, des danses et des réceptions de dons. Ils sont au total 250 enfants dont 125 filles et 125 garçons à recevoir différents kits pour célébrer Noël au même titre que les autres enfants.
Hissein Nadji, responsable du CNARR, a relevé que cette activité est une occasion de partage et de véhiculer différentes valeurs morales aux enfants.
Mbaïnguinam Mianbe, responsable du HCR, a estimé que cette activité est un cadre d'épanouissement pur des enfants qui ont subi différentes formes de violences.
Une première du genre sur le sol tchadien et surtout une première dans un camp de réfugiés. Cette activité (arbre de Noël) vise à véhiculer les valeurs du partage, de la générosité et à développer l’esprit d’amour et d’unité. Cette journée aura également pour impact de semer la graine du bonheur auprès des réfugiés et d’établir des liens entre les enfants.
Au cours de cette cérémonie festive et historique, les enfants ont montré une joie incommensurable à travers des chants, des danses et des réceptions de dons. Ils sont au total 250 enfants dont 125 filles et 125 garçons à recevoir différents kits pour célébrer Noël au même titre que les autres enfants.
Hissein Nadji, responsable du CNARR, a relevé que cette activité est une occasion de partage et de véhiculer différentes valeurs morales aux enfants.
Mbaïnguinam Mianbe, responsable du HCR, a estimé que cette activité est un cadre d'épanouissement pur des enfants qui ont subi différentes formes de violences.