Le secteur de l’élevage qui représente 53% du PIB du secteur rural et qui fait vivre environ 40% de la population rurale, est un secteur capable de booster l’économie nationale grâce à l’effectif du cheptel numériquement important, a assuré mercredi Dr. Abderahim Awat Atteib, ministre de l’Élevage et des Productions animales.
Le cheptel est estimé en 2021 à plus de 137 664 217 de têtes de bétails, selon les données actualisées par le Bureau du recensement général de l’élevage. Ce cheptel est reparti par espèces comme suit :
- Bovins : 33 948 191 ;
- Ovins : 41 771 929 ;
- Caprins : 43 735 656 ;
- Equins : 1 379 167 ;
- Asins : 4 115 103 ;
- Porcins : 3 312 279 ;
- Camelins : 9 401 892 ;
- Volailles : 36 650 145 de têtes quasi-exclusivement issues des élevages traditionnels.
Bien que le mode de production est basé à 80% sur les systèmes pastoraux mobiles très diversifiés et largement tributaires des ressources naturelles renouvelables, l’élevage représente environ 50% des exportations.
Selon le rapport technique de cadrage macroéconomique et budgétaire 2018-2021, la croissance s’accélère dans la branche de l’élevage (4,7 % contre 2,5 % en 2015). Ce qui lui confère le rôle de véritable levier pour la croissance de l’économie nationale, estime le ministre de l’Élevage et des Productions animales.
Le cheptel est estimé en 2021 à plus de 137 664 217 de têtes de bétails, selon les données actualisées par le Bureau du recensement général de l’élevage. Ce cheptel est reparti par espèces comme suit :
- Bovins : 33 948 191 ;
- Ovins : 41 771 929 ;
- Caprins : 43 735 656 ;
- Equins : 1 379 167 ;
- Asins : 4 115 103 ;
- Porcins : 3 312 279 ;
- Camelins : 9 401 892 ;
- Volailles : 36 650 145 de têtes quasi-exclusivement issues des élevages traditionnels.
Bien que le mode de production est basé à 80% sur les systèmes pastoraux mobiles très diversifiés et largement tributaires des ressources naturelles renouvelables, l’élevage représente environ 50% des exportations.
Selon le rapport technique de cadrage macroéconomique et budgétaire 2018-2021, la croissance s’accélère dans la branche de l’élevage (4,7 % contre 2,5 % en 2015). Ce qui lui confère le rôle de véritable levier pour la croissance de l’économie nationale, estime le ministre de l’Élevage et des Productions animales.