Dans un clivage de Covid-19, la Journée Internationale de la Femme Africaine a été commémorée à travers un débat ce jeudi 30 juillet 2020 dans la grande salle multimédia de la maison nationale de la femme de N’Djaména.
Arguments contre arguments, idées, propositions et solutions ont été accentués lors de ce débat autour du thème arrêté : « Unité dans la diversité : lutte contre le racisme et la pandémie de Covid-19 à travers l’autonomisation des femmes ».
Arguments contre arguments, idées, propositions et solutions ont été accentués lors de ce débat autour du thème arrêté : « Unité dans la diversité : lutte contre le racisme et la pandémie de Covid-19 à travers l’autonomisation des femmes ».
Plusieurs nationalités sont représentées dans cette salle. Un véritable métissage africain. On peut remarquer des centrafricaines, congolaises, rwandaises, camerounaises, nigériennes, etc.
Pour le président du comité d’organisation Ismaël Adam, ce thème d’actualité est interpellateur, en cette période de crise sanitaire qui frappe de plein fouet les populations à l’échelle mondiale, pour une synergie d’actions dans l’unité afin d’apporter une réponse appropriée pour faire face à cette pandémie.
Pour le président du comité d’organisation Ismaël Adam, ce thème d’actualité est interpellateur, en cette période de crise sanitaire qui frappe de plein fouet les populations à l’échelle mondiale, pour une synergie d’actions dans l’unité afin d’apporter une réponse appropriée pour faire face à cette pandémie.
« J’ose espérer que la présente conférence-débat nous édifiera sur les impacts négatifs de cette pandémie et que des pistes de solutions seront proposées pour permettre au ministère de la Femme de développer des approches appropriées pour mieux relever les défis », a souligné Ismaël Adam.
Les panelistes ont effectivement, en ce jour, placé la femme au centre des discussions. Mme Fatimé Assarah Abdelaziz, coordonnatrice nationale du Forum International des Femmes de l’Espace Francophone (FIFEF), dans son mot de circonstance, recommande fortement au ministère en charge de la femme d’accélérer l’élaboration du plan d’action nationale de la résolution 1325, de manière à permettre à toutes les parties prenantes de se l’approprier et de s’impliquer pleinement dans sa mise en œuvre.
Les panelistes ont effectivement, en ce jour, placé la femme au centre des discussions. Mme Fatimé Assarah Abdelaziz, coordonnatrice nationale du Forum International des Femmes de l’Espace Francophone (FIFEF), dans son mot de circonstance, recommande fortement au ministère en charge de la femme d’accélérer l’élaboration du plan d’action nationale de la résolution 1325, de manière à permettre à toutes les parties prenantes de se l’approprier et de s’impliquer pleinement dans sa mise en œuvre.
Présente à cette cérémonie, la ministre de la Femme et de la Protection de la petite enfance, Amina Priscille Longoh, estime que cette célébration est l’occasion pour les femmes de se rappeler des pionnières de la lutte pour la libération de l’Afrique contre le colonialisme et l’apartheid d’une part, et de faire le point sur les apports des femmes dans le développement de leur pays respectifs, notamment dans la paix et le développement, d’autre part.
Pour la ministre tchadienne de la Femme, Amina Priscille Longoh, « l’organisation de cette conférence-débat sur la thématique de la journée permettra d’offrir un environnement favorable pour réfléchir et débattre sans tabou des impacts de la Covid-19 sur les femmes et envisager des pistes nécessaires de relèvement, de réduction et d’atténuation des effets négatifs sur la population en général et les groupe vulnérables en particulier ».
« Toutes les sensibilités et les couches socioprofessionnelles féminines de l’Afrique et du Tchad se doivent d’être débout, unies, responsables, et focaliser également leurs pensées vers l’appui sans faille des efforts fournis par les Gouvernements africains dont la République du Tchad dans le seul but d’arrêter la pandémie de la Covid-19 », a conclu Amina Priscille Longoh.
Pour la ministre tchadienne de la Femme, Amina Priscille Longoh, « l’organisation de cette conférence-débat sur la thématique de la journée permettra d’offrir un environnement favorable pour réfléchir et débattre sans tabou des impacts de la Covid-19 sur les femmes et envisager des pistes nécessaires de relèvement, de réduction et d’atténuation des effets négatifs sur la population en général et les groupe vulnérables en particulier ».
« Toutes les sensibilités et les couches socioprofessionnelles féminines de l’Afrique et du Tchad se doivent d’être débout, unies, responsables, et focaliser également leurs pensées vers l’appui sans faille des efforts fournis par les Gouvernements africains dont la République du Tchad dans le seul but d’arrêter la pandémie de la Covid-19 », a conclu Amina Priscille Longoh.