Malgré qu’il soit interdit par le Code de la route de conduire avec un taux d’alcool dans le sang, à N'Djamena tout comme dans les autres villes, les alcooliques conduisent sans craintes. Lors des grandes occasions comme les fêtes de fin d’année, le nombre d'alcoolos se multiplie, généralement synonyme d’excès.
Entre les bouteilles qui s’enchainent et les différentes sonorités musicales, l’excès ne pardonnent pas. Profitant du moment, ceux qui sont venus avec leurs propres engins oublient que pour rentre, il faut maitriser le volant. Car l’alcool dans le sang dégrade la vue, la pensée et le temps de réaction au volant, selon Nouba Guillaume, membre de l’association des jeunes contre l’alcoolisme.
La conduite en état d’ivresse reste un facteur d’accident de la route avec un excès de vitesse et l’inattention au volant, ajoute-t-il.
Avec la période de fin d'année qui vient de passer, la sensibilisation pour la prudence sur la route n'a pas manqué. Toutefois, certains conducteurs, précisément les alcoolos, semblent ne rien comprendre en compte. Ils ne respectent pas le Code de la route, roulant à toute vitesse et bonjour les dégâts.
Parfois, sous l’effet de l’alcool, ceux dans les voitures mettent de la musique et ne font pas attention à la route tandis que ceux sur les motos roulent à toute vitesse sans ralentir aux croisements ou rond-points.
Même situation lors du bilan des fêtes de fin d’année, selon les explications de porte-parole de la police nationale Paul Manga. L’excès de vitesse et l’état d’ébriété sont les principales causes d’accidents de la voie publique.
Prévenir vaut mieux que guérir, la police de sécurité routière doit prendre ses responsabilités en effectuant à tout moment le contrôle de taux d’alcoolémie au volant, car la vie de la population en dépend. Et si par malheur on retrouve un conducteur avec un taux d’alcool dans le sang, il faut de lourdes amendes afin que chacun reconnaisse que la vie humaine doit être protégée à tout prix.
Entre les bouteilles qui s’enchainent et les différentes sonorités musicales, l’excès ne pardonnent pas. Profitant du moment, ceux qui sont venus avec leurs propres engins oublient que pour rentre, il faut maitriser le volant. Car l’alcool dans le sang dégrade la vue, la pensée et le temps de réaction au volant, selon Nouba Guillaume, membre de l’association des jeunes contre l’alcoolisme.
La conduite en état d’ivresse reste un facteur d’accident de la route avec un excès de vitesse et l’inattention au volant, ajoute-t-il.
Avec la période de fin d'année qui vient de passer, la sensibilisation pour la prudence sur la route n'a pas manqué. Toutefois, certains conducteurs, précisément les alcoolos, semblent ne rien comprendre en compte. Ils ne respectent pas le Code de la route, roulant à toute vitesse et bonjour les dégâts.
Parfois, sous l’effet de l’alcool, ceux dans les voitures mettent de la musique et ne font pas attention à la route tandis que ceux sur les motos roulent à toute vitesse sans ralentir aux croisements ou rond-points.
Même situation lors du bilan des fêtes de fin d’année, selon les explications de porte-parole de la police nationale Paul Manga. L’excès de vitesse et l’état d’ébriété sont les principales causes d’accidents de la voie publique.
Prévenir vaut mieux que guérir, la police de sécurité routière doit prendre ses responsabilités en effectuant à tout moment le contrôle de taux d’alcoolémie au volant, car la vie de la population en dépend. Et si par malheur on retrouve un conducteur avec un taux d’alcool dans le sang, il faut de lourdes amendes afin que chacun reconnaisse que la vie humaine doit être protégée à tout prix.