Selon les informations véhiculées, ces soldats sont tombés sur un engin explosif improvisé au passage de leur convoi qui se rendait à Sévaré. « Ce 8 décembre, un convoi logistique de la Force allant de Douentza à Sévaré (centre) a heurté un engin explosif. Un premier bilan fait état de sept casques bleus décédés et trois grièvement blessés », ont indiqué aux premières heures de l’incident, les premiers responsables de la MINUSMA.
Dès qu’il en a été informé, le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbe n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur son compte Twitter, le chef de l’Etat se dit indigné par la mort de ces soldats togolais. « Je suis profondément attristé et indigné par la mort de 7 soldats togolais de la MINUSMA, péris ce 08 décembre 2021, dans l’explosion d’un engin explosif improvisé dans le centre du Mali. Je salue la mémoire de ces valeureux hommes et femmes tombés au champ d’honneur », écrit-il dans un Twitte posté ce jeudi 9 décembre 2021.
Le président togolais a ensuite exprimé, aux familles éplorées et aux frères d’armes des soldats décédés, sa compassion et sa solidarité, avant de réaffirmer la détermination du Togo : « Nous ne fléchirons jamais devant l'obscurantisme et la barbarie », a-t-il martelé, avant d’ajouter que « les forces armées togolaises combattront, aux côtés de la Minusma et partout ailleurs, l’ennemi commun qu'est le terrorisme ».
L’attaque, « odieuse et lâche », a été également condamnée juste après, dans un point de presse effectué à New York par le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, puis par son Représentant spécial dans le pays, El-Ghassim Wane. Selon le chef de la MINUSMA, ce énième acte qui « fait suite à une série d’attaques visant civils et personnels de la Mission », pourrait constituer, « un crime de guerre conformément au droit international ». Même indignation de la part du Secrétaire général adjoint de l’ONU aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, qui a indiqué que « ces crimes ne doivent pas rester impunis ».
Les casques bleus togolais engagés depuis 2013 aux côtés de l’ONU pour un retour de la paix et de la stabilité au Mali, avaient également essuyé une attaque kamikaze en février dernier dans la localité de Kéréna. Une vingtaine de soldats avaient été blessés au cours de cette attaque. Il faut rappeler que le Togo fait partie des principaux pays contributeurs de troupes onusiennes dans le monde. Plus de 1500 hommes, policiers, militaires et personnels civils sont actuellement déployés par le gouvernement sur plusieurs théâtres d'opérations.
Dès qu’il en a été informé, le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbe n’a pas tardé à réagir. Dans un message publié sur son compte Twitter, le chef de l’Etat se dit indigné par la mort de ces soldats togolais. « Je suis profondément attristé et indigné par la mort de 7 soldats togolais de la MINUSMA, péris ce 08 décembre 2021, dans l’explosion d’un engin explosif improvisé dans le centre du Mali. Je salue la mémoire de ces valeureux hommes et femmes tombés au champ d’honneur », écrit-il dans un Twitte posté ce jeudi 9 décembre 2021.
Le président togolais a ensuite exprimé, aux familles éplorées et aux frères d’armes des soldats décédés, sa compassion et sa solidarité, avant de réaffirmer la détermination du Togo : « Nous ne fléchirons jamais devant l'obscurantisme et la barbarie », a-t-il martelé, avant d’ajouter que « les forces armées togolaises combattront, aux côtés de la Minusma et partout ailleurs, l’ennemi commun qu'est le terrorisme ».
L’attaque, « odieuse et lâche », a été également condamnée juste après, dans un point de presse effectué à New York par le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, puis par son Représentant spécial dans le pays, El-Ghassim Wane. Selon le chef de la MINUSMA, ce énième acte qui « fait suite à une série d’attaques visant civils et personnels de la Mission », pourrait constituer, « un crime de guerre conformément au droit international ». Même indignation de la part du Secrétaire général adjoint de l’ONU aux opérations de paix, Jean-Pierre Lacroix, qui a indiqué que « ces crimes ne doivent pas rester impunis ».
Les casques bleus togolais engagés depuis 2013 aux côtés de l’ONU pour un retour de la paix et de la stabilité au Mali, avaient également essuyé une attaque kamikaze en février dernier dans la localité de Kéréna. Une vingtaine de soldats avaient été blessés au cours de cette attaque. Il faut rappeler que le Togo fait partie des principaux pays contributeurs de troupes onusiennes dans le monde. Plus de 1500 hommes, policiers, militaires et personnels civils sont actuellement déployés par le gouvernement sur plusieurs théâtres d'opérations.