Trois panélistes ont animé la conférence participative. il s'agit de l'inspecteur de la santé, Didier Bileko; de Christian Ibata, spécialiste en assurances qui a représenté la diaspora congolaise et du consultant international en management, le docteur Kinzonza kitsona. Ces panélistes ont été complétés par trois membres du gouvernement, à savoir le ministre de l'enseignement primaire, secondaire chargé de l'alphabétisation, Collinet Makosso; du ministre Rosalie Matondo de l'économie forestière et du ministre de la justice, Aimé Wilifrid Bininga.
A l’ouverture de cette conférence participative, invité à dérouler son allocution de circonstance, le président de la Fondation Perspectives d’Avenir, Denis Christel Sassou NGuesso a fait une adéquation entre son ambition et les thématiques à l’ordre du jour de cette réunion à laquelle ont participé, les membres du gouvernement, une grande partie de la crème de l’intelligentsia congolaise et les étudiants. D'entrée de jeu, il a faite observer à l'assistance que « La thématique choisie est porteuse d’un élan vers l’avenir. »
Les thématiques abordées au cours de ce rendez-vous du donner et du savoir ont porté sur la promotion de la santé, l’éducation, la formation professionnelle et qualifiante. Des préoccupations qui figurent au « cœur de l’action que je mène avec ma fondation « Perspectives d’Avenir », a noté Denis Christel Sassou NGuesso.
Dans son intervention, Denis Christel Sassou N’Guesso a éclairé l’assistance sur la thématique « Le Congo que nous voulons. » Pour lui, « il s’agit de notre Congo à tous, un et indivisible. Référence est faite à tous les enfants de ce pays, sans distinction d’origine, de sexe, de condition sociale ou d’idéologie politique. »
Il a axé son propos en trois sous thèmes, à savoir jeunesse et valeurs, jeunesse et opportunités, et jeunesse et Engagement. Toutes ces trois dispositions qui mettent un accent particulier sur le capital humain cadrent parfaitement avec la vision qui a toujours été la sienne, au regard des activités entreprises par sa Fondation avec pour toile de fond l’éducation, la santé, bref l’amélioration du social.
Cette vision porteuse d’espoir est codifiée dans un opuscule d’une soixantaine de pages, reparti en six chapitres qui a été dédicacée, au cours de la conférence participative.
Quid de « Ce que je crois »
Intitulé « ce que je crois », cet opuscule, comme l’a dit son auteur, est une invite à la réflexion, à un partage pour que se dégage une synergie d’idées pouvant permettre le développement du Congo de demain.
Au cœur de son action, Denis Christel Sassou N’Guesso place le développement du capital humain. Un préalable, selon lui, à l’épanouissement et un moyen pour chacun de s’insérer dans la société avec la volonté de mieux vivre ensemble. Par la diversification de l’économie, l’autre axe développé dans son ouvrage, le député d’Oyo, veut rendre le Congo plus attractif.
Dans cet ouvrage, exposant l’ambition de président de la Fondation Perspectives d’Avenir, on peut lire, à travers le sommaire, « Ce que je crois », « Du droit à l’éducation et à la formation », « Du droit à la santé », « Du droit au mieux vivre : un défi, le développement agricole », « De la citoyenneté et de la solidarité » et « Des perspectives d’avenir, un dessein partagé ».
Dans le dernier chapitre intitulé « des perspectives d’avenir, un dessein partagé », l’auteur note que « faire toujours du bien » était son ambition. Ainsi pour donner de l’espoir, sa fondation s’est engagée dès ses débuts à toujours œuvrer en faveur des personnes vulnérables et démunies, sans distinction aucune. Une manière de tenir ses promesses, pouvait-il dire, avant de préciser « les actions et les projets ambitieux que nous avions annoncées ont été mis en œuvre, car je savais pouvoir les mener à bien. Faire plus, faire mieux, des engagements que je fais miens. »
Autant dire, que les idées qu’il expose dans cet opuscule militent bien en faveur de son engagement. Puisque son ambition est celle de faire des préoccupations des uns et des autres, son engagement, son combat de tous les jours. Aussi, son but, à travers sa fondation, est-il de donner au plus grand nombre, aux jeunes et aux moins favorisés, l’accès à l’éducation, à la formation qualifiante, à la santé. Ce qui induit, indubitablement le développement en investissant dans le capital humain.
Une présentation de l’ouvrage qui a donné lieu à des réactions au sein de l’assistance, entre autres sur les motivations d’une telle publication, sur ses idées cachées à briguer le secrétariat général du Parti Congolais du Travail et la magistrature suprême et bien d’autres…
L’auteur, répondant à toutes ces interrogations, a trouvé les mots pour soutenir ce qui motive son action depuis toujours, à savoir « toujours faire plus, toujours faire mieux.
Quant aux questions portant sur le secrétariat général du PCT, Denis Christel Sassou NGuesso a martelé ne point murir l’ambition d’être élu secrétaire général du parti politique dont il est membre et député élu. Sur la magistrature suprême, il a réitéré son idée soutenue sur le plateau de la télévision Africa 24 en 2012. Citoyen congolais, il se dit disposer des obligations, des droits et devoirs au même titre que tous les autres congolais. Et à ce titre rien ne l’interdit de se présenter à l’élection du président de la République.
Cependant, en sa qualité de membre du Comité central et du bureau politique du PCT, Denis Christel Sassou Nguesso n’a pas manqué de souligner son attachement au respect de la discipline du parti, parti dont l’actuel chef de l’Etat assure la présidence.
En somme, loin de tout soupçon, « Ce que je crois », que Denis Christel Sassou NGuesso a dédicacé ce mercredi 2 mai n’est autre que son engagement d’agir et de donner des perspectives d’espoir appartenant au domaine du possible.
A l’ouverture de cette conférence participative, invité à dérouler son allocution de circonstance, le président de la Fondation Perspectives d’Avenir, Denis Christel Sassou NGuesso a fait une adéquation entre son ambition et les thématiques à l’ordre du jour de cette réunion à laquelle ont participé, les membres du gouvernement, une grande partie de la crème de l’intelligentsia congolaise et les étudiants. D'entrée de jeu, il a faite observer à l'assistance que « La thématique choisie est porteuse d’un élan vers l’avenir. »
Les thématiques abordées au cours de ce rendez-vous du donner et du savoir ont porté sur la promotion de la santé, l’éducation, la formation professionnelle et qualifiante. Des préoccupations qui figurent au « cœur de l’action que je mène avec ma fondation « Perspectives d’Avenir », a noté Denis Christel Sassou NGuesso.
Dans son intervention, Denis Christel Sassou N’Guesso a éclairé l’assistance sur la thématique « Le Congo que nous voulons. » Pour lui, « il s’agit de notre Congo à tous, un et indivisible. Référence est faite à tous les enfants de ce pays, sans distinction d’origine, de sexe, de condition sociale ou d’idéologie politique. »
Il a axé son propos en trois sous thèmes, à savoir jeunesse et valeurs, jeunesse et opportunités, et jeunesse et Engagement. Toutes ces trois dispositions qui mettent un accent particulier sur le capital humain cadrent parfaitement avec la vision qui a toujours été la sienne, au regard des activités entreprises par sa Fondation avec pour toile de fond l’éducation, la santé, bref l’amélioration du social.
Cette vision porteuse d’espoir est codifiée dans un opuscule d’une soixantaine de pages, reparti en six chapitres qui a été dédicacée, au cours de la conférence participative.
Quid de « Ce que je crois »
Intitulé « ce que je crois », cet opuscule, comme l’a dit son auteur, est une invite à la réflexion, à un partage pour que se dégage une synergie d’idées pouvant permettre le développement du Congo de demain.
Au cœur de son action, Denis Christel Sassou N’Guesso place le développement du capital humain. Un préalable, selon lui, à l’épanouissement et un moyen pour chacun de s’insérer dans la société avec la volonté de mieux vivre ensemble. Par la diversification de l’économie, l’autre axe développé dans son ouvrage, le député d’Oyo, veut rendre le Congo plus attractif.
Dans cet ouvrage, exposant l’ambition de président de la Fondation Perspectives d’Avenir, on peut lire, à travers le sommaire, « Ce que je crois », « Du droit à l’éducation et à la formation », « Du droit à la santé », « Du droit au mieux vivre : un défi, le développement agricole », « De la citoyenneté et de la solidarité » et « Des perspectives d’avenir, un dessein partagé ».
Dans le dernier chapitre intitulé « des perspectives d’avenir, un dessein partagé », l’auteur note que « faire toujours du bien » était son ambition. Ainsi pour donner de l’espoir, sa fondation s’est engagée dès ses débuts à toujours œuvrer en faveur des personnes vulnérables et démunies, sans distinction aucune. Une manière de tenir ses promesses, pouvait-il dire, avant de préciser « les actions et les projets ambitieux que nous avions annoncées ont été mis en œuvre, car je savais pouvoir les mener à bien. Faire plus, faire mieux, des engagements que je fais miens. »
Autant dire, que les idées qu’il expose dans cet opuscule militent bien en faveur de son engagement. Puisque son ambition est celle de faire des préoccupations des uns et des autres, son engagement, son combat de tous les jours. Aussi, son but, à travers sa fondation, est-il de donner au plus grand nombre, aux jeunes et aux moins favorisés, l’accès à l’éducation, à la formation qualifiante, à la santé. Ce qui induit, indubitablement le développement en investissant dans le capital humain.
Une présentation de l’ouvrage qui a donné lieu à des réactions au sein de l’assistance, entre autres sur les motivations d’une telle publication, sur ses idées cachées à briguer le secrétariat général du Parti Congolais du Travail et la magistrature suprême et bien d’autres…
L’auteur, répondant à toutes ces interrogations, a trouvé les mots pour soutenir ce qui motive son action depuis toujours, à savoir « toujours faire plus, toujours faire mieux.
Quant aux questions portant sur le secrétariat général du PCT, Denis Christel Sassou NGuesso a martelé ne point murir l’ambition d’être élu secrétaire général du parti politique dont il est membre et député élu. Sur la magistrature suprême, il a réitéré son idée soutenue sur le plateau de la télévision Africa 24 en 2012. Citoyen congolais, il se dit disposer des obligations, des droits et devoirs au même titre que tous les autres congolais. Et à ce titre rien ne l’interdit de se présenter à l’élection du président de la République.
Cependant, en sa qualité de membre du Comité central et du bureau politique du PCT, Denis Christel Sassou Nguesso n’a pas manqué de souligner son attachement au respect de la discipline du parti, parti dont l’actuel chef de l’Etat assure la présidence.
En somme, loin de tout soupçon, « Ce que je crois », que Denis Christel Sassou NGuesso a dédicacé ce mercredi 2 mai n’est autre que son engagement d’agir et de donner des perspectives d’espoir appartenant au domaine du possible.