« 2016 c’est l’année de la mise en œuvre effective et progressive des nouvelles institutions de la République. C’est une année électorale. Une année qui, à ce titre, doit de nouveau consacrer notre haute maturité et notre sens élevé de la nation », ainsi a déclaré Denis Sassou N’Guesso le 31 décembre 2015 à l’occasion de son message de vœux à la nation 2016.
Le chef de l’Etat congolais est resté fidèle à l’esprit de son message à l’Assemblée nationale, le 22 décembre dernier où il annonçait la tenue de l'élection présidentielle anticipée courant 1er trimestre 2016. Dans la suite de cette annonce, la réunion du conseil des ministres du 30 décembre a, de façon précise fixé l'organisation du scrutin présidentiel au 20 mars prochain.
La démarche vise à consacrer la césure entre l'ancienne et la nouvelle constitution, parce que c’est à partir de l'élection présidentielle que s'enclenchera tout le processus de mise en place processus des institutions de la Nouvelle République.
Mais, Denis Sassou N’Guesso qui est attaché à la paix a tenu a mettre en garde tous les fauteurs de troubles pour que, dit-il, « les échéances politiques à venir ... ne fassent pas le lit des diables qui, de temps en temps, quand ils le veulent, nous prennent la tête ».
Pour cela, le chef de l’Etat «demande à chacune des parties prenantes au processus électoral notamment : les organes en charge de la gouvernance électorale, les partis politiques, les acteurs de la société civile, les citoyens-électeurs de mettre tout en œuvre afin que la nouvelle République soit portée sur les fonts baptismaux dans la paix et la cohésion nationale ».
Les Congolais, a dit le président de la République ont, en 2015, « donné à comprendre à tous que, comme les autres peuples du monde, ils sont les seuls juges de leur sort », parce que « le Congo s’est frayé son chemin, son propre chemin : celui du dialogue constructif, celui de la réaffirmation de son identité à travers sa pleine capacité à prendre en main son destin », a renchéri le chef de l’Etat, pour qui nous avons, « en toute humilité, en toute liberté, dans la pleine dignité, choisi des institutions nouvelles, ouvrant ainsi, souverainement, à notre pays, les portes de la nouvelle République ».
Dans cette marche, qui est faite de défis à relever, des besoins à satisfaire, pourrait faire éclore une République nouvelle, dont les caractéristiques seraient l'unité, la cohésion, la stabilité et la pérennité.
Le cap que vient de fixer le président de la République en termes d'orientations et de boussole pour ce qui est la marche du Congo est une invite à la confirmation de l’autodétermination des Congolais.
Le chef de l’Etat congolais est resté fidèle à l’esprit de son message à l’Assemblée nationale, le 22 décembre dernier où il annonçait la tenue de l'élection présidentielle anticipée courant 1er trimestre 2016. Dans la suite de cette annonce, la réunion du conseil des ministres du 30 décembre a, de façon précise fixé l'organisation du scrutin présidentiel au 20 mars prochain.
La démarche vise à consacrer la césure entre l'ancienne et la nouvelle constitution, parce que c’est à partir de l'élection présidentielle que s'enclenchera tout le processus de mise en place processus des institutions de la Nouvelle République.
Mais, Denis Sassou N’Guesso qui est attaché à la paix a tenu a mettre en garde tous les fauteurs de troubles pour que, dit-il, « les échéances politiques à venir ... ne fassent pas le lit des diables qui, de temps en temps, quand ils le veulent, nous prennent la tête ».
Pour cela, le chef de l’Etat «demande à chacune des parties prenantes au processus électoral notamment : les organes en charge de la gouvernance électorale, les partis politiques, les acteurs de la société civile, les citoyens-électeurs de mettre tout en œuvre afin que la nouvelle République soit portée sur les fonts baptismaux dans la paix et la cohésion nationale ».
Les Congolais, a dit le président de la République ont, en 2015, « donné à comprendre à tous que, comme les autres peuples du monde, ils sont les seuls juges de leur sort », parce que « le Congo s’est frayé son chemin, son propre chemin : celui du dialogue constructif, celui de la réaffirmation de son identité à travers sa pleine capacité à prendre en main son destin », a renchéri le chef de l’Etat, pour qui nous avons, « en toute humilité, en toute liberté, dans la pleine dignité, choisi des institutions nouvelles, ouvrant ainsi, souverainement, à notre pays, les portes de la nouvelle République ».
Dans cette marche, qui est faite de défis à relever, des besoins à satisfaire, pourrait faire éclore une République nouvelle, dont les caractéristiques seraient l'unité, la cohésion, la stabilité et la pérennité.
Le cap que vient de fixer le président de la République en termes d'orientations et de boussole pour ce qui est la marche du Congo est une invite à la confirmation de l’autodétermination des Congolais.