La situation s’est détériorée ces dernières années en raison d’une combinaison de facteurs, notamment la croissance de la demande, les perturbations des approvisionnements et les difficultés à maintenir les capacités de production des raffineries. Les difficultés à trouver suffisamment de carburant ont entraîné des ruptures de stock et des pénuries régulières dans de nombreuses provinces du pays.
La situation est encore plus critique pour les stations-services qui ne sont pas des marketeurs clients directs de la raffinerie, à l'exemple de l’unique station OIL-TCHAD de Koumra dans la province du Mandoul qui a dû fermer ses pompes de distribution asséchées.
Certaines voix de la localité se sont même élevées afin de dénoncer l’inertie des autorités locales habilitées à prendre des mesures fermes, dissuasives et coercitives. Ces stations n’ont pas accès aux quotas de carburant qui sont destinés à leur région, ce qui oblige à acheter le carburant sur le marché parallèle à des prix plus élevés. Ce manque d’accès à des sources d’approvisionnement fiables rend ces stations plus vulnérables aux pénuries et aux fluctuations des prix.
Il existe aussi un phénomène de spéculation, des marketeurs qui prennent les quotas destinés à la province et les revendent ensuite plus chers lorsque les stations-service sont à sec. Cela créé des pénuries récurrentes et pénalise les consommateurs, entreprises et distributeurs à la pompe.
Les autorités compétentes doivent intervenir pour résoudre ce problème. Il est possible de mettre en place des mesures pour réguler le marché et empêcher les comportements spéculatifs, comme interdire aux commerçants de vider les citernes dans les fûts et réquisitionner celles-ci pour combler les besoins des stations-service ou encore empêcher que les capacités de production soient détournées au profit des pays voisins au Tchad. Certaines rumeurs laisseraient entendre qu’une partie importante de ces quantités énergétiques transiteraient vers la Centrafrique où le prix du litre d’essence aurait flambée jusqu’à 1.500 francs. Il est également important de poursuivre les efforts pour améliorer les capacités de production des raffineries et les approvisionnements de carburant.
Enfin, il est important de noter que cette pénurie de carburant est globale et qu’elle a des conséquences sur tous les secteurs de l’économie et la vie quotidienne des citoyens. Il est donc nécessaire d’opérer une intervention urgente pour résoudre ce problème afin de garantir une stabilité économique et sociale.
La situation est encore plus critique pour les stations-services qui ne sont pas des marketeurs clients directs de la raffinerie, à l'exemple de l’unique station OIL-TCHAD de Koumra dans la province du Mandoul qui a dû fermer ses pompes de distribution asséchées.
Certaines voix de la localité se sont même élevées afin de dénoncer l’inertie des autorités locales habilitées à prendre des mesures fermes, dissuasives et coercitives. Ces stations n’ont pas accès aux quotas de carburant qui sont destinés à leur région, ce qui oblige à acheter le carburant sur le marché parallèle à des prix plus élevés. Ce manque d’accès à des sources d’approvisionnement fiables rend ces stations plus vulnérables aux pénuries et aux fluctuations des prix.
Il existe aussi un phénomène de spéculation, des marketeurs qui prennent les quotas destinés à la province et les revendent ensuite plus chers lorsque les stations-service sont à sec. Cela créé des pénuries récurrentes et pénalise les consommateurs, entreprises et distributeurs à la pompe.
Les autorités compétentes doivent intervenir pour résoudre ce problème. Il est possible de mettre en place des mesures pour réguler le marché et empêcher les comportements spéculatifs, comme interdire aux commerçants de vider les citernes dans les fûts et réquisitionner celles-ci pour combler les besoins des stations-service ou encore empêcher que les capacités de production soient détournées au profit des pays voisins au Tchad. Certaines rumeurs laisseraient entendre qu’une partie importante de ces quantités énergétiques transiteraient vers la Centrafrique où le prix du litre d’essence aurait flambée jusqu’à 1.500 francs. Il est également important de poursuivre les efforts pour améliorer les capacités de production des raffineries et les approvisionnements de carburant.
Enfin, il est important de noter que cette pénurie de carburant est globale et qu’elle a des conséquences sur tous les secteurs de l’économie et la vie quotidienne des citoyens. Il est donc nécessaire d’opérer une intervention urgente pour résoudre ce problème afin de garantir une stabilité économique et sociale.