Dr Ahmat Yacoub Dabio, président du Centre d'Études pour le Développement et la Paix (CEDPE) et de l'association Liberté sans Frontière.
Depuis plus de quarante ans, Israël a adopté une politique de sécurité basée sur des assassinats ciblés de leaders de mouvements hostiles, notamment le Hamas et le Hezbollah. Cependant, cette stratégie n’a jamais conduit à la paix escomptée dans la région. Des exemples marquants sont l’élimination du chef spirituel du Hamas, Cheikh Ahmed Yassine, en mars 2004, et celle du chef du Hezbollah, Abbas al-Musawi, en 1992. Ces assassinats ont entraîné l’émergence de successeurs encore plus radicaux, exacerbant les tensions plutôt que de les apaiser.
Si Israël avait choisi de prêter attention aux nombreux appels internationaux pour la reconnaissance d'un État palestinien, la paix aurait pu être rétablie dès la fin des années 1980. En décembre 1987, l’Intifada pacifique menée par les jeunes Palestiniens représentait une opportunité unique pour la paix. Ce soulèvement, essentiellement non armé, visait à attirer l'attention sur les revendications palestiniennes en matière de droits et d’autodétermination. Cependant, le refus d’Israël de répondre positivement à ces appels a progressivement conduit à une radicalisation des positions, forçant certains à adopter des méthodes plus extrêmes.
Ce cycle de violence, alimenté par des politiques de répression, prouve que les assassinats ciblés ne sont jamais une solution à long terme. Au contraire, ils créent des martyrs et donnent naissance à de nouvelles vagues de résistance plus violentes. La solution, selon de nombreux observateurs, réside dans le dialogue et la reconnaissance mutuelle.
Pour rétablir une paix durable, il est impératif que la communauté internationale et Israël, en particulier, comprennent que la reconnaissance des droits des Palestiniens et l’établissement de leur État sont des étapes cruciales. Seul un dialogue franc et ouvert permettra de mettre fin à ce conflit qui perdure depuis trop longtemps.
Dr Ahmat Yacoub Dabio, président du Centre d'Études pour le Développement et la Paix (CEDPE) et de l'association Liberté sans Frontière, souligne que seule la voie du dialogue et de la reconnaissance d’un État palestinien pourra garantir une paix durable dans la région. Selon lui, l’histoire montre que la répression et les actions militaires ne peuvent remplacer des négociations sincères et équitables.
Dans une interview accordée à Radio Dja FM, Dr Ahmat Yacoub Dabio a réitéré que le temps est venu pour Israël de répondre aux appels de la communauté internationale et de reconnaître un État palestinien, ouvrant ainsi la voie à une paix tant attendue dans la région.
Si Israël avait choisi de prêter attention aux nombreux appels internationaux pour la reconnaissance d'un État palestinien, la paix aurait pu être rétablie dès la fin des années 1980. En décembre 1987, l’Intifada pacifique menée par les jeunes Palestiniens représentait une opportunité unique pour la paix. Ce soulèvement, essentiellement non armé, visait à attirer l'attention sur les revendications palestiniennes en matière de droits et d’autodétermination. Cependant, le refus d’Israël de répondre positivement à ces appels a progressivement conduit à une radicalisation des positions, forçant certains à adopter des méthodes plus extrêmes.
Ce cycle de violence, alimenté par des politiques de répression, prouve que les assassinats ciblés ne sont jamais une solution à long terme. Au contraire, ils créent des martyrs et donnent naissance à de nouvelles vagues de résistance plus violentes. La solution, selon de nombreux observateurs, réside dans le dialogue et la reconnaissance mutuelle.
Pour rétablir une paix durable, il est impératif que la communauté internationale et Israël, en particulier, comprennent que la reconnaissance des droits des Palestiniens et l’établissement de leur État sont des étapes cruciales. Seul un dialogue franc et ouvert permettra de mettre fin à ce conflit qui perdure depuis trop longtemps.
Dr Ahmat Yacoub Dabio, président du Centre d'Études pour le Développement et la Paix (CEDPE) et de l'association Liberté sans Frontière, souligne que seule la voie du dialogue et de la reconnaissance d’un État palestinien pourra garantir une paix durable dans la région. Selon lui, l’histoire montre que la répression et les actions militaires ne peuvent remplacer des négociations sincères et équitables.
Dans une interview accordée à Radio Dja FM, Dr Ahmat Yacoub Dabio a réitéré que le temps est venu pour Israël de répondre aux appels de la communauté internationale et de reconnaître un État palestinien, ouvrant ainsi la voie à une paix tant attendue dans la région.