Le sommet qui a réuni plusieurs responsables politiques africains, dont Denis Sassou N’Guesso du Congo et Recep Tayyip Erdogan de la Turquie, avait un objectif décliné en thème, à savoir « un nouveau modèle de partenariat pour le renforcement du développement durable et de l’intégration de l’Afrique ».
La rencontre au sommet a été mise à profit pour adapter le cadre du partenariat Afrique-Turquie, engagé dans un processus de coopération "stable et durable" consigné dans une déclaration de principe dite « déclaration de Malabo » et un plan d’actions pour les années 2015-2018.
Ainsi, sur plan de la coopération économique, africains et turcs se sont s’engagés dans un processus d’établissement «d’échanges économiques et commerciaux donnant un élan décisif à l’investissement». Au niveau politique, par contre, la diplomatie turque entend adopter des positions harmonisées avec le continent et contribuer au règlement pacifique des conflits. S’agissant de la paix et de la sécurité, les chefs d'Etat et de gouvernement ont convenu, toujours, selon cette Déclaration finale de considérer les crimes perpétrés par les groupes terroristes comme des "violations graves des droits de l'homme".
Les deux parties, peut-on lire, conviennent de « dénoncer le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations et de considérer les crimes commis par les groupes terroristes comme des violations graves des droits fondamentaux de l'homme, ainsi qu'une menace incessante pour la sûreté, la sécurité et la stabilité des pays », énonce le texte.
Les participants au sommet ont réitéré, dans ce contexte, leur engagement « à lutter contre le trafic de drogue, la traite des êtres humains et les autres formes de crimes organisés, … et la criminalité transnationale organisée ».
Rappelons que l’Union Africaine avait déclaré, la Turquie ‘’partenaire officiel’’, en 2008, lors de la tenue, à Istanbul, du premier sommet Afrique-Turquie. Ce sommet avait adopté deux documents de base qui précisent essentiellement les domaines de coopération entre les deux parties, en l’occurrence "la Déclaration d'Istanbul" et "le cadre de la coopération".
Une mise en œuvre du Plan 2010-2014 avait été conjointement élaborée sur la base des relations bilatérales entre les pays d'Afrique et la Turquie, en prenant compte les potentialités économiques, en vue de hisser la coopération multisectorielle au bénéfice des deux parties.
Mais, comme l’a relevé à la clôture, l’hôte du sommet, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, «beaucoup reste a encore, tenant compte des objectifs fixés, lors du premier sommet de Turquie- Afrique, tenu à Istanbul en 2008». Le président équato-guinéen a souligné que «La Turquie dispose des moyens techniques pour assurer à l’Afrique son émergence. Ce sommet donne un élan pour un nouveau modèle d'association pour le développement et l'intégration durables, entre la Turquie et l'Afrique..." .Pour Obiang Nguemai, « la déclaration de Malabo a réaffirmé la détermination des [Etats africains] à réaliser la coopération et permettra de réaliser le partenariat turco-africain dans le cadre de l'agenda 2063 de l'Union africaine ».
De son côté, Mohamed Ould Abdel Aziz, président mauritanien et président en exercice de l’Union africaine a réitéré l'engagement du continent africain à renforcer le partenariat avec la Turquie. « Le commerce afro-turc jouera un rôle décisif dans l'intégration de l'Afrique » a-t-il affirmé, avant de souhaiter que la Turquie et le continent africain œuvrent à bâtir un partenariat exemplaire, au regard des valeurs communes qu’elles partagent.
La rencontre au sommet a été mise à profit pour adapter le cadre du partenariat Afrique-Turquie, engagé dans un processus de coopération "stable et durable" consigné dans une déclaration de principe dite « déclaration de Malabo » et un plan d’actions pour les années 2015-2018.
Ainsi, sur plan de la coopération économique, africains et turcs se sont s’engagés dans un processus d’établissement «d’échanges économiques et commerciaux donnant un élan décisif à l’investissement». Au niveau politique, par contre, la diplomatie turque entend adopter des positions harmonisées avec le continent et contribuer au règlement pacifique des conflits. S’agissant de la paix et de la sécurité, les chefs d'Etat et de gouvernement ont convenu, toujours, selon cette Déclaration finale de considérer les crimes perpétrés par les groupes terroristes comme des "violations graves des droits de l'homme".
Les deux parties, peut-on lire, conviennent de « dénoncer le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations et de considérer les crimes commis par les groupes terroristes comme des violations graves des droits fondamentaux de l'homme, ainsi qu'une menace incessante pour la sûreté, la sécurité et la stabilité des pays », énonce le texte.
Les participants au sommet ont réitéré, dans ce contexte, leur engagement « à lutter contre le trafic de drogue, la traite des êtres humains et les autres formes de crimes organisés, … et la criminalité transnationale organisée ».
Rappelons que l’Union Africaine avait déclaré, la Turquie ‘’partenaire officiel’’, en 2008, lors de la tenue, à Istanbul, du premier sommet Afrique-Turquie. Ce sommet avait adopté deux documents de base qui précisent essentiellement les domaines de coopération entre les deux parties, en l’occurrence "la Déclaration d'Istanbul" et "le cadre de la coopération".
Une mise en œuvre du Plan 2010-2014 avait été conjointement élaborée sur la base des relations bilatérales entre les pays d'Afrique et la Turquie, en prenant compte les potentialités économiques, en vue de hisser la coopération multisectorielle au bénéfice des deux parties.
Mais, comme l’a relevé à la clôture, l’hôte du sommet, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, «beaucoup reste a encore, tenant compte des objectifs fixés, lors du premier sommet de Turquie- Afrique, tenu à Istanbul en 2008». Le président équato-guinéen a souligné que «La Turquie dispose des moyens techniques pour assurer à l’Afrique son émergence. Ce sommet donne un élan pour un nouveau modèle d'association pour le développement et l'intégration durables, entre la Turquie et l'Afrique..." .Pour Obiang Nguemai, « la déclaration de Malabo a réaffirmé la détermination des [Etats africains] à réaliser la coopération et permettra de réaliser le partenariat turco-africain dans le cadre de l'agenda 2063 de l'Union africaine ».
De son côté, Mohamed Ould Abdel Aziz, président mauritanien et président en exercice de l’Union africaine a réitéré l'engagement du continent africain à renforcer le partenariat avec la Turquie. « Le commerce afro-turc jouera un rôle décisif dans l'intégration de l'Afrique » a-t-il affirmé, avant de souhaiter que la Turquie et le continent africain œuvrent à bâtir un partenariat exemplaire, au regard des valeurs communes qu’elles partagent.