Le 28 novembre 1958 constitue une passerelle qui a porté le peuple congolais, moins de deux années plus tard, des rives de l’asservissement aux berges de la liberté, de l’émancipation et de la souveraineté." C’est en substance, par ces mots que le vice-ministre chargé de la Fonction publique, de la réforme de l’Etat, du travail et de la sécurité sociale, Firmin Ayessa, a débuté son évocation qui s’est largement appuyée sur la devise du Congo, à savoir Unité-travail-Progrès.
Pour lui, « l’Unité c’est l’expression du ralliement national. Le progrès, celle qui nous mène vers les buts de nos espérances communes » et que « il ne nous est pas possible de gravir les marches du progrès sans le travail de chacun et de tous. »
Considérant le travail comme la conséquence de l’unité des congolais et la condition sine qua none du progrès, Firmin Ayessa, a jugé normal que cette année encore, cette célébration soit placée sous le thème du travail, abordé « sous l’angle de sa faculté à promouvoir le vivre ensemble et à cimenter l’unité nationale. »
Depuis 60 ans, a rappelé le vice-premier ministre, la communauté nationale « se construit et se développe grâce à la façon dont ensemble les congolaises et les congolais organisent leur travail et par les relations concrètes et l’indépendance que le travail génère. »
A ce titre, un hommage et une reconnaissance mérités ont été rendus à tous les congolais, qui par leur dévouement et abnégation, n’ont pas pu trahir la promesse de la République. Cette belle promesse, a-t-il indiqué, qui rassemble le peuple congolais autour des valeurs d’unité, de travail et de progrès, qui pense-t-il, sont incompatibles avec l’ethnocentrisme, le fanatisme, le messianisme, l’intolérance qui n’auront jamais raison de la République.
Cet appel a produit ses fruits, car des congolais ont vu leur travail et effort couronnés par le président de la République. Et parmi les heureux récipiendaires, on peut citer : le professeur Théophile Obenga, ancien ministre de la République et grand intellectuel de renommée mondiale hissé au grade de grand officier dans l’ordre du mérite congolais et l’ancien Diables rouges, champion d’Afrique 1972 Jonas Bahamboula Mbemba Tostao, âgé de 69 ans, couronné comme Commandeur dans l’ordre du mérite sportif.
Madame Stéphanie Gertrude Mouaya, désormais commandeur dans l’ordre du mérite congolais, a exhorté les femmes congolaises de se tenir et de se mettre debout pour travailler pour la République, d’abord pour la République. Pour sa part Martin Wassis, hissé au grade d’officier dans l’ordre du dévouement congolais, pense que le triptyque unité-travail-progrès, constitue les trois valeurs qui sont les bases essentielles de la République et que le Congo n’avait tout son sens que dans le travail, le travail seul et toujours le travail. Pour le Vice-Maire de Brazzaville, Guy Marius Okana : « vivre ensemble, ce n’est pas autre chose qu’en travaillant et c’est dans cette union que l’on peut aller loin. »
A noter que, l’un des moments forts de la célébration des 60 ans de la proclamation de la République a été la remise par Prinscillat Raissa Bakala, née le 28 novembre 2017, à son grand père Eckondza Ndongo, âgé de 60 ans, de quelques notes appelant à la prise des consciences des congolais pour ces moments de morosité économique. Face à la crise, il a recommandé aux congolais de « faire montre d’initiatives. » C’est par la levée des couleurs que cette commémoration a débuté.
Pour lui, « l’Unité c’est l’expression du ralliement national. Le progrès, celle qui nous mène vers les buts de nos espérances communes » et que « il ne nous est pas possible de gravir les marches du progrès sans le travail de chacun et de tous. »
Considérant le travail comme la conséquence de l’unité des congolais et la condition sine qua none du progrès, Firmin Ayessa, a jugé normal que cette année encore, cette célébration soit placée sous le thème du travail, abordé « sous l’angle de sa faculté à promouvoir le vivre ensemble et à cimenter l’unité nationale. »
Depuis 60 ans, a rappelé le vice-premier ministre, la communauté nationale « se construit et se développe grâce à la façon dont ensemble les congolaises et les congolais organisent leur travail et par les relations concrètes et l’indépendance que le travail génère. »
A ce titre, un hommage et une reconnaissance mérités ont été rendus à tous les congolais, qui par leur dévouement et abnégation, n’ont pas pu trahir la promesse de la République. Cette belle promesse, a-t-il indiqué, qui rassemble le peuple congolais autour des valeurs d’unité, de travail et de progrès, qui pense-t-il, sont incompatibles avec l’ethnocentrisme, le fanatisme, le messianisme, l’intolérance qui n’auront jamais raison de la République.
Cet appel a produit ses fruits, car des congolais ont vu leur travail et effort couronnés par le président de la République. Et parmi les heureux récipiendaires, on peut citer : le professeur Théophile Obenga, ancien ministre de la République et grand intellectuel de renommée mondiale hissé au grade de grand officier dans l’ordre du mérite congolais et l’ancien Diables rouges, champion d’Afrique 1972 Jonas Bahamboula Mbemba Tostao, âgé de 69 ans, couronné comme Commandeur dans l’ordre du mérite sportif.
Madame Stéphanie Gertrude Mouaya, désormais commandeur dans l’ordre du mérite congolais, a exhorté les femmes congolaises de se tenir et de se mettre debout pour travailler pour la République, d’abord pour la République. Pour sa part Martin Wassis, hissé au grade d’officier dans l’ordre du dévouement congolais, pense que le triptyque unité-travail-progrès, constitue les trois valeurs qui sont les bases essentielles de la République et que le Congo n’avait tout son sens que dans le travail, le travail seul et toujours le travail. Pour le Vice-Maire de Brazzaville, Guy Marius Okana : « vivre ensemble, ce n’est pas autre chose qu’en travaillant et c’est dans cette union que l’on peut aller loin. »
A noter que, l’un des moments forts de la célébration des 60 ans de la proclamation de la République a été la remise par Prinscillat Raissa Bakala, née le 28 novembre 2017, à son grand père Eckondza Ndongo, âgé de 60 ans, de quelques notes appelant à la prise des consciences des congolais pour ces moments de morosité économique. Face à la crise, il a recommandé aux congolais de « faire montre d’initiatives. » C’est par la levée des couleurs que cette commémoration a débuté.