Cette réunion des ministres de la Zone franc a permis de faire le point sur la situation économique des pays membres et la nécessité de garantir la soutenabilité financière de la croissance, selon un communiqué de la Direction générale du Trésor du ministère français de l'Economie et des Finances.
Depuis la dernière réunion à Paris, il y a un an, des progrès économiques certains ont été observés. Bien entendu, la situation est différente en UEMOA et en CEMAC, avec des différences qui sont liées notamment à la situation des prix du pétrole qui n’agit pas de la même manière selon que les pays sont exportateurs ou importateurs de pétrole.
Les défis sont encore nombreux, notamment en matière de soutenabilité de l’endettement public. Ce point a été largement abordé par les différents intervenants. Les questions de mobilisation des ressources domestiques et de qualité de la dépense ont ainsi été au centre des discussions, notamment lors des réunions restreintes dédiées à la CEMAC et à l’UEMOA. Pour cette dernière zone, les ministres des Finances ont mis en avant la nécessité d’augmenter les ressources fiscales de leurs pays et de tendre au plus vite vers un ratio de recettes fiscales sur le produit intérieur brut de 20%, se fixant pour objectif ambitieux d’augmenter ce ratio dans chacun de ces pays de 1 point de pourcentage par an, pour peu que les conditions sécuritaires le permettent.
À l’issue des discussions de cette RMZF, les États de la Zone franc ont ainsi adopté des plans d’action et des calendriers détaillés par zone pour le renforcement de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme
Depuis la dernière réunion à Paris, il y a un an, des progrès économiques certains ont été observés. Bien entendu, la situation est différente en UEMOA et en CEMAC, avec des différences qui sont liées notamment à la situation des prix du pétrole qui n’agit pas de la même manière selon que les pays sont exportateurs ou importateurs de pétrole.
Les défis sont encore nombreux, notamment en matière de soutenabilité de l’endettement public. Ce point a été largement abordé par les différents intervenants. Les questions de mobilisation des ressources domestiques et de qualité de la dépense ont ainsi été au centre des discussions, notamment lors des réunions restreintes dédiées à la CEMAC et à l’UEMOA. Pour cette dernière zone, les ministres des Finances ont mis en avant la nécessité d’augmenter les ressources fiscales de leurs pays et de tendre au plus vite vers un ratio de recettes fiscales sur le produit intérieur brut de 20%, se fixant pour objectif ambitieux d’augmenter ce ratio dans chacun de ces pays de 1 point de pourcentage par an, pour peu que les conditions sécuritaires le permettent.
À l’issue des discussions de cette RMZF, les États de la Zone franc ont ainsi adopté des plans d’action et des calendriers détaillés par zone pour le renforcement de la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme