Après toute une série de séances de renforcement des capacités, les membres du Comité national de facilitation des échanges (Cnfe) ont finalisé leurs plans d’actions, tels que recommandé par l’accord de l’Organisation mondiale du commerce. Lequel ratifié par la Côte d’Ivoire en 2015. C’était au terme des travaux d’un atelier tenu du 15 au 18 août 2017, dans la station balnéaire de Grand-Bassam.
Selon le directeur du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, représentant le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, « ces plans d’actions du Cnfe vont permettre à la Côte d’Ivoire de se conformer aux engagements multilatéraux, visant la facilitation des échanges ».
Il a relevé que l’objectif de l’accord de l’Omc est de « faire en sorte que toutes les barrières tarifaires et non-tarifaires soient réduites au maximum. Afin de permettre une optimisation sur toutes les chaînes de valeur mondiale pour que chaque pays puisse tirer le meilleur profit du commerce international ». Non sans préciser : « Selon des études faites à propos de l’accord, ce sont les pays en développement et ceux les moins avancés qui seront les grand bénéficiaires, s‘il est mis en œuvre ».
Kaladji Fadiga a de plus souligné quelques efforts réalisés par la Côte d’Ivoire dans la facilitation des échanges. A savoir, la mise en place du guichet unique du commerce extérieur, pour réduire les faux frais et accélérer les transactions. Puis, de la mise en œuvre des procédures simplifiées et de paiements électroniques.
Ainsi, l’atelier de formation a également défini un plan de communication, en vue de guider le Cnfe dans la diffusion de l'information à divers acteurs impliqués dans les activités de facilitation des échanges. La Côte d’Ivoire étant l’un des premiers pays en Afrique subsaharien à ratifier l’Afe qui est entrée en vigueur depuis le 22 février 2017.
L’animateur principal de cette rencontre de travail, Julian Fraga-Campos, expert à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) a axé son intervention autour du thème de « la planification et l’évaluation au cœur des activités du Cnfe ». Il a indiqué que l’objectif était de mieux faire comprendre les indices et rapports de facilitation des échanges aux membres de la Cnfe. Et ce, dans le but de créer un profil de pays de facilitation des échanges pour la Côte d’Ivoire, a-t-il ajouté.
Signalons que cette quatrième et dernière session de formation du Cnfe a été organisée dans le cadre du projet West Africa trade and investment hub (Trade hub), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), en partenariat avec la Conférence des nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) et le Centre du commerce international (Itc).
Selon le directeur du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, représentant le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, « ces plans d’actions du Cnfe vont permettre à la Côte d’Ivoire de se conformer aux engagements multilatéraux, visant la facilitation des échanges ».
Il a relevé que l’objectif de l’accord de l’Omc est de « faire en sorte que toutes les barrières tarifaires et non-tarifaires soient réduites au maximum. Afin de permettre une optimisation sur toutes les chaînes de valeur mondiale pour que chaque pays puisse tirer le meilleur profit du commerce international ». Non sans préciser : « Selon des études faites à propos de l’accord, ce sont les pays en développement et ceux les moins avancés qui seront les grand bénéficiaires, s‘il est mis en œuvre ».
Kaladji Fadiga a de plus souligné quelques efforts réalisés par la Côte d’Ivoire dans la facilitation des échanges. A savoir, la mise en place du guichet unique du commerce extérieur, pour réduire les faux frais et accélérer les transactions. Puis, de la mise en œuvre des procédures simplifiées et de paiements électroniques.
Ainsi, l’atelier de formation a également défini un plan de communication, en vue de guider le Cnfe dans la diffusion de l'information à divers acteurs impliqués dans les activités de facilitation des échanges. La Côte d’Ivoire étant l’un des premiers pays en Afrique subsaharien à ratifier l’Afe qui est entrée en vigueur depuis le 22 février 2017.
L’animateur principal de cette rencontre de travail, Julian Fraga-Campos, expert à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) a axé son intervention autour du thème de « la planification et l’évaluation au cœur des activités du Cnfe ». Il a indiqué que l’objectif était de mieux faire comprendre les indices et rapports de facilitation des échanges aux membres de la Cnfe. Et ce, dans le but de créer un profil de pays de facilitation des échanges pour la Côte d’Ivoire, a-t-il ajouté.
Signalons que cette quatrième et dernière session de formation du Cnfe a été organisée dans le cadre du projet West Africa trade and investment hub (Trade hub), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), en partenariat avec la Conférence des nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) et le Centre du commerce international (Itc).