La présence de la délégation congolaise à l’événement annuel de l’Afrique sur le plan énergétique, aura été remarquable. Ces cadres de la SNPC ont présenté les atouts et avantages qu’offre le Congo en termes d’opportunités et de ressources naturelles, notamment énergétique, en apportant leur vision et leur expertise sur l’avenir énergétique du Congo et de l’Afrique.
Maixent Raoul Ominga directeur général du groupe SNPC, qui conduisait cette délégation congolaise a partagé sa vision sur les opportunités d’investissement en République du Congo, un pays riche en potentiel énergétique. L’orateur a soutenu que, le Congo est un pays dont l’économie dépend en majorité du pétrole. A ce titre, il a vanté la destination Congo, tout en précisant que la législation congolaise est attrayante et favorable aux investissements, dans le secteur énergétique.
Pour sa part, le docteur Bi-Dia-Ayo Ibata , cheffe de division associations et relations tutelle, a abordé la thématique liée aux enjeux du gaz naturel en tant que levier pour la transition énergétique du continent. Dans son exposé, elle s’est appuyée sur les perspectives stratégiques que représente le gaz naturel liquéfié, en vue de gérer durablement la planète.
Au cours de ces assises, Guili Tsoumou-Gavouka , conseillère en communication et relations publiques auprès du directeur général de la SNPC, a animé également une discussion inspirante sur la sécurité énergétique africaine, mettant en lumière la nécessité de collaborations solides pour un avenir énergétique plus durable et inclusif.
De son coté, Louis Andzouono , chef de département database, a participé à un panel visant à explorer le rôle significatif que l'hydrogène jouera dans l'avenir du secteur énergétique africain.
Une mention spéciale a été faite à la délégation congolaise, à travers la gratification de Mme Ibata Bi-Dia-Ayo, administrateur et cheffe de division associations et relation tutelle, qui a eu l'honneur d'être reconnue et catégorisée parmi les femmes africaines marquantes dans l'industrie pétrolière.
La semaine africaine de l'énergie aura été un honneur pour la SNPC et pour son directeur général Maixent Raoul Ominga pour la confiance et le leadership.
Bien avant la conférence, le 5 novembre 2024, le Groupe SNPC, représentée par son directeur général Maixent Raoul Ominga , a signé un partenariat stratégique avec un partenaire de confiance, à savoir NOC azerbaïdjanaise State Oil Company of the Republic of Azerbaïdjan (SOCAR).
Ce contrat, qui marque une étape majeure pour le Congo, vise à accroître les capacités de raffinage et à améliorer la qualité des produits, dans l'objectif de couvrir 90 % des besoins nationaux en produits raffinés.
Ce partenariat de coopération capital, inclut des optimisations opérationnelles, ainsi qu'une feuille de route ambitieuse pour moderniser la congolaise de raffinage du pétrole (CORAF) constitue un atout essentiel pour renforcer la sécurité énergétique et réduire la dépendance du pays aux importations du carburant. « Bâtir un avenir énergétique plus souverain pour la République du Congo » est le fil rouge de cette coopération.
Sur cette même lancée, le directeur général du groupe SNPC, Maixent Raoul Ominga a eu des échanges, ouvrant à des bonnes perspectives, avec le secrétaire général de l’OPEP, Haitham al-Ghais.
African Energy Week et les enjeux de ce siècle
À l'avant-garde de l'industrie énergétique africaine, l’African Energy Week (AEW) promeut le rôle que joue l'Afrique dans les questions énergétiques mondiales, centré sur le dialogue et la prise de décision menés par l'Afrique. Couvrant l'ensemble du secteur énergétique et de la chaîne de valeur, l' AEW représente la seule conférence du continent représentative de l'ensemble du secteur.
S’appuyant sur les défis de ce siècle, l’African Energy Week se concentre sur l’intégration et la collaboration, dans le but d’inverser la malédiction des ressources de l’Afrique et soutenir les explorateurs et producteurs d’énergie à travers le continent.
De ce point de vue, African Energy Week soutient des projets en amont, en aval et en milieu de chaîne, pour créer de l’emploi et la croissance, promouvoir l’égalité des sexes et favoriser l’innovation qui apporte des solutions pour l’avenir de l’Afrique.
L’AEW promeut la position africaine sur l’avenir du secteur énergétique africain. En prônant la responsabilité personnelle, le libre marché, la liberté individuelle et un environnement propice aux investisseurs, elle veille à ce que l’industrie pétrolière et gazière africaine et les Africains en bénéficient, plutôt que de continuer à dépendre de l’aide et de l’assistance étrangères.
En clair, l'African Energy Week (AEW) est l'événement annuel de la Chambre africaine de l'énergie, réunissant des dirigeants africains de l'énergie, des investisseurs mondiaux et des dirigeants des secteurs public et privé, autour d’un dialogue intense sur l'avenir de l'industrie énergétique africaine. Conférence interactive, exposition et événement de réseautage, meublent ce rendez-vous.
Créée en 2021, l'AFW a pour but de faire de la pauvreté énergétique une histoire ancienne d'ici 2030, en organisant des tables rondes, des forums d'investisseurs, des sommets de l'industrie et des opportunités de rencontres individuelles, et en menant les discussions susceptibles de remodeler la trajectoire du développement énergétique du continent.
Maixent Raoul Ominga directeur général du groupe SNPC, qui conduisait cette délégation congolaise a partagé sa vision sur les opportunités d’investissement en République du Congo, un pays riche en potentiel énergétique. L’orateur a soutenu que, le Congo est un pays dont l’économie dépend en majorité du pétrole. A ce titre, il a vanté la destination Congo, tout en précisant que la législation congolaise est attrayante et favorable aux investissements, dans le secteur énergétique.
Pour sa part, le docteur Bi-Dia-Ayo Ibata , cheffe de division associations et relations tutelle, a abordé la thématique liée aux enjeux du gaz naturel en tant que levier pour la transition énergétique du continent. Dans son exposé, elle s’est appuyée sur les perspectives stratégiques que représente le gaz naturel liquéfié, en vue de gérer durablement la planète.
Au cours de ces assises, Guili Tsoumou-Gavouka , conseillère en communication et relations publiques auprès du directeur général de la SNPC, a animé également une discussion inspirante sur la sécurité énergétique africaine, mettant en lumière la nécessité de collaborations solides pour un avenir énergétique plus durable et inclusif.
De son coté, Louis Andzouono , chef de département database, a participé à un panel visant à explorer le rôle significatif que l'hydrogène jouera dans l'avenir du secteur énergétique africain.
Une mention spéciale a été faite à la délégation congolaise, à travers la gratification de Mme Ibata Bi-Dia-Ayo, administrateur et cheffe de division associations et relation tutelle, qui a eu l'honneur d'être reconnue et catégorisée parmi les femmes africaines marquantes dans l'industrie pétrolière.
La semaine africaine de l'énergie aura été un honneur pour la SNPC et pour son directeur général Maixent Raoul Ominga pour la confiance et le leadership.
Bien avant la conférence, le 5 novembre 2024, le Groupe SNPC, représentée par son directeur général Maixent Raoul Ominga , a signé un partenariat stratégique avec un partenaire de confiance, à savoir NOC azerbaïdjanaise State Oil Company of the Republic of Azerbaïdjan (SOCAR).
Ce contrat, qui marque une étape majeure pour le Congo, vise à accroître les capacités de raffinage et à améliorer la qualité des produits, dans l'objectif de couvrir 90 % des besoins nationaux en produits raffinés.
Ce partenariat de coopération capital, inclut des optimisations opérationnelles, ainsi qu'une feuille de route ambitieuse pour moderniser la congolaise de raffinage du pétrole (CORAF) constitue un atout essentiel pour renforcer la sécurité énergétique et réduire la dépendance du pays aux importations du carburant. « Bâtir un avenir énergétique plus souverain pour la République du Congo » est le fil rouge de cette coopération.
Sur cette même lancée, le directeur général du groupe SNPC, Maixent Raoul Ominga a eu des échanges, ouvrant à des bonnes perspectives, avec le secrétaire général de l’OPEP, Haitham al-Ghais.
African Energy Week et les enjeux de ce siècle
À l'avant-garde de l'industrie énergétique africaine, l’African Energy Week (AEW) promeut le rôle que joue l'Afrique dans les questions énergétiques mondiales, centré sur le dialogue et la prise de décision menés par l'Afrique. Couvrant l'ensemble du secteur énergétique et de la chaîne de valeur, l' AEW représente la seule conférence du continent représentative de l'ensemble du secteur.
S’appuyant sur les défis de ce siècle, l’African Energy Week se concentre sur l’intégration et la collaboration, dans le but d’inverser la malédiction des ressources de l’Afrique et soutenir les explorateurs et producteurs d’énergie à travers le continent.
De ce point de vue, African Energy Week soutient des projets en amont, en aval et en milieu de chaîne, pour créer de l’emploi et la croissance, promouvoir l’égalité des sexes et favoriser l’innovation qui apporte des solutions pour l’avenir de l’Afrique.
L’AEW promeut la position africaine sur l’avenir du secteur énergétique africain. En prônant la responsabilité personnelle, le libre marché, la liberté individuelle et un environnement propice aux investisseurs, elle veille à ce que l’industrie pétrolière et gazière africaine et les Africains en bénéficient, plutôt que de continuer à dépendre de l’aide et de l’assistance étrangères.
En clair, l'African Energy Week (AEW) est l'événement annuel de la Chambre africaine de l'énergie, réunissant des dirigeants africains de l'énergie, des investisseurs mondiaux et des dirigeants des secteurs public et privé, autour d’un dialogue intense sur l'avenir de l'industrie énergétique africaine. Conférence interactive, exposition et événement de réseautage, meublent ce rendez-vous.
Créée en 2021, l'AFW a pour but de faire de la pauvreté énergétique une histoire ancienne d'ici 2030, en organisant des tables rondes, des forums d'investisseurs, des sommets de l'industrie et des opportunités de rencontres individuelles, et en menant les discussions susceptibles de remodeler la trajectoire du développement énergétique du continent.