Gilles Deleuze
N’DJAMENA (LNC) — Parlant d’une même voix et quasiment au même moment, les autorités tchadiennes et soudaines disent ne rien à voir avec les agissements des éléments Séléka en Centrafrique venant de leurs pays respectifs.
Les deux pays tiennent à affirmer leurs oppositions aux actions des bandits Séléka d’origines soudanaises et tchadiennes.
Il appartient à la justice centrafricaine de prendre cette affaire en mains précisent-ils.
Pour la présidence tchadienne que LNC a contacté :
“Tout d’abord, le président déchu François Bozizé accuse partout que le Tchad serait la cause de tous ses malheurs.
C’est une ingratitude envers le Tchad qui a toujours été à côté de lui.
Il accuse encore les soldats tchadiens de la FOMAC d’avoir facilité le 24 Mars l’entrée de la Séléka à Bangui.
C’est un fantasme !
Quelle preuve a-t’il de cela ?
Si c’était le cas, le Général Akaga, commandant de la FOMAC l’aurait dénoncé.
Les forces de la FACA, sous-armées par lui-même ont été débordés par les Séléka. L’action tchadienne n’était pas nécessaire, et ce n’était pas son rôle.
Le Tchad est militairement en RCA sous bannière internationale.
Et les soldats tchadiens dans ce pays frère obéissent aux ordres du commandement de la FOMAC et de la MISCA Maintenant.
[..] Concernant les exactions de certains perdus de la Séléka, nous disons que ces gens ne sont pas reconnus par le Tchad.
Ce ne sont que des bandits que le Tchad désavoue.
Ils ne remettront jamais les pieds au Tchad, et nous veillerons bien à cela.”
Même son de cloche au Soudan.
© Août 2013 LNC
N’DJAMENA (LNC) — Parlant d’une même voix et quasiment au même moment, les autorités tchadiennes et soudaines disent ne rien à voir avec les agissements des éléments Séléka en Centrafrique venant de leurs pays respectifs.
Les deux pays tiennent à affirmer leurs oppositions aux actions des bandits Séléka d’origines soudanaises et tchadiennes.
Il appartient à la justice centrafricaine de prendre cette affaire en mains précisent-ils.
Pour la présidence tchadienne que LNC a contacté :
“Tout d’abord, le président déchu François Bozizé accuse partout que le Tchad serait la cause de tous ses malheurs.
C’est une ingratitude envers le Tchad qui a toujours été à côté de lui.
Il accuse encore les soldats tchadiens de la FOMAC d’avoir facilité le 24 Mars l’entrée de la Séléka à Bangui.
C’est un fantasme !
Quelle preuve a-t’il de cela ?
Si c’était le cas, le Général Akaga, commandant de la FOMAC l’aurait dénoncé.
Les forces de la FACA, sous-armées par lui-même ont été débordés par les Séléka. L’action tchadienne n’était pas nécessaire, et ce n’était pas son rôle.
Le Tchad est militairement en RCA sous bannière internationale.
Et les soldats tchadiens dans ce pays frère obéissent aux ordres du commandement de la FOMAC et de la MISCA Maintenant.
[..] Concernant les exactions de certains perdus de la Séléka, nous disons que ces gens ne sont pas reconnus par le Tchad.
Ce ne sont que des bandits que le Tchad désavoue.
Ils ne remettront jamais les pieds au Tchad, et nous veillerons bien à cela.”
Même son de cloche au Soudan.
© Août 2013 LNC