Barrage de Liouesso : Sassou N'Guesso invite les entreprises à saisir cette opportunité pour créer de l'emploi
Pour Denis Sassou N’Guesso, «… il faut donner aux Congolais l’envie d’apprendre, de créer ». Mais ce rôle n’incombe pas seulement à l’Etat : « Ce n’est pas seulement l’Etat qui devrait créer les emplois dont on parle tant», a ajouté le président congolais.
Le président congolais lance de fait un appel à la jeunesse congolaise afin qu’elle ait l’esprit d’entreprise et aux hommes d’affaires, pour qu’ils comprennent que le développement est et sera toujours une affaire collective. Car, l’énergie électrique constitue une pierre angulaire pour l’éclosion d’une dynamique dans de développement un pays. C’est pour quoi le président congolais qui a estimé invite les Congolais, notamment a se saisir de l’abondance d’électricité pour apporter leur pierre au développement du pays : « les conditions, lorsqu’elles sont créées, il faut les saisir, pour enclencher la dynamique de développement ».
Denis Sassou N’Guesso fait ainsi allusion, pour le cas du département de la Sangha au barrage hydro-électrique de Liouesso, un autre maillon du boulevard énergétique en construction en République du Congo. Le président de la République du Congo a, à l’occasion de cette interview exprimé sa volonté et celle de son gouvernement à poursuivre l’effort de construction d’autres infrastructures de production d’électricité, afin d’assurer au Congo l’énergie nécessaire.
Il a pour cela énuméré d’autres projets dont le but est de garantir l’accès à un grand nombre de Congolais à l’électricité, parce que aussi, puisque l’électricité est une condition indispensable à l’entrepreneuriat. « Voilà pourquoi, explique le chef de l’Etat congolais, « nous avons des projets de production d’électricité, à partir du gaz à Pointe Noire, nous avons le projet de construction de la centrale hydroélectrique de Sounda ; nous avons, en collaboration avec nos partenaires du Cameroun, le projet de construction du barrage de shoélé … », toujours dans le département de la Sangha.
Evidemment si l’Etat met en place les conditions permissives à l’entrepreneuriat, il est logique que suive l’adhésion des opérateurs économiques pour donner effectivement corps au développement. Après avoir construit les installations électriques et d’autres infrastructures, l’Etat «passe le relai au privé, aux travailleurs individuels, aux entreprises », comme l’a déclaré Denis Sassou N’Guesso qui conçoit le ainsi « la libre entreprise, le capitalisme », choix fait lors de la conférence nationale souveraine, a-t-il rappelé.
En fait, le chef de l’Etat congolais invite à un changement de mentalité, notamment des jeunes qui parlent emploi qu’en ne pensant qu’à la fonction publique, donc à l’Etat. « Lorsque les jeunes parlent d’emplois, ils ne regardent que l’Etat. L’Etat crée les conditions de réalisation et le privé, les travailleurs individuels, les entreprises devraient se saisir de toutes ces possibilités pour se donner de l’emploi », a précisé Denis Sassou N’Guesso.
Il est important que les efforts de l’Etat vers le développement soient relayés par «Les autres acteurs » pour créer la dynamique de développement », puisque « La marche vers le développement », n’est pas que l’affaire de l’Etat, loin s’en faut.
Le président congolais lance de fait un appel à la jeunesse congolaise afin qu’elle ait l’esprit d’entreprise et aux hommes d’affaires, pour qu’ils comprennent que le développement est et sera toujours une affaire collective. Car, l’énergie électrique constitue une pierre angulaire pour l’éclosion d’une dynamique dans de développement un pays. C’est pour quoi le président congolais qui a estimé invite les Congolais, notamment a se saisir de l’abondance d’électricité pour apporter leur pierre au développement du pays : « les conditions, lorsqu’elles sont créées, il faut les saisir, pour enclencher la dynamique de développement ».
Denis Sassou N’Guesso fait ainsi allusion, pour le cas du département de la Sangha au barrage hydro-électrique de Liouesso, un autre maillon du boulevard énergétique en construction en République du Congo. Le président de la République du Congo a, à l’occasion de cette interview exprimé sa volonté et celle de son gouvernement à poursuivre l’effort de construction d’autres infrastructures de production d’électricité, afin d’assurer au Congo l’énergie nécessaire.
Il a pour cela énuméré d’autres projets dont le but est de garantir l’accès à un grand nombre de Congolais à l’électricité, parce que aussi, puisque l’électricité est une condition indispensable à l’entrepreneuriat. « Voilà pourquoi, explique le chef de l’Etat congolais, « nous avons des projets de production d’électricité, à partir du gaz à Pointe Noire, nous avons le projet de construction de la centrale hydroélectrique de Sounda ; nous avons, en collaboration avec nos partenaires du Cameroun, le projet de construction du barrage de shoélé … », toujours dans le département de la Sangha.
Evidemment si l’Etat met en place les conditions permissives à l’entrepreneuriat, il est logique que suive l’adhésion des opérateurs économiques pour donner effectivement corps au développement. Après avoir construit les installations électriques et d’autres infrastructures, l’Etat «passe le relai au privé, aux travailleurs individuels, aux entreprises », comme l’a déclaré Denis Sassou N’Guesso qui conçoit le ainsi « la libre entreprise, le capitalisme », choix fait lors de la conférence nationale souveraine, a-t-il rappelé.
En fait, le chef de l’Etat congolais invite à un changement de mentalité, notamment des jeunes qui parlent emploi qu’en ne pensant qu’à la fonction publique, donc à l’Etat. « Lorsque les jeunes parlent d’emplois, ils ne regardent que l’Etat. L’Etat crée les conditions de réalisation et le privé, les travailleurs individuels, les entreprises devraient se saisir de toutes ces possibilités pour se donner de l’emploi », a précisé Denis Sassou N’Guesso.
Il est important que les efforts de l’Etat vers le développement soient relayés par «Les autres acteurs » pour créer la dynamique de développement », puisque « La marche vers le développement », n’est pas que l’affaire de l’Etat, loin s’en faut.