Une patrouille de soldats tchadiens à N'Djamena. Photo non datée. AFP
N'DJAMENA (Alwihda Info) - La frontière tchado-camerounaise reste fermée, près de 48 heures après une attaque de Boko-Haram contre un poste de brigade de la gendarmerie camerounaise à Kousseri, malgré quelques exceptions aujourd'hui puisque les forces de l'ordre camerounaises passent au peigne fin les quartiers.
Ils quadrillent et procèdent à des arrestations sporadiques des jeunes. Plus de deux cents personnes ont été arrêtés et auditionnés à Kousseri pour les besoins de l'enquête, avant d'être relâchés pour la plupart d'entre-eux. A N'Djamena, la tension monte d'un cran. Les forces de l'ordre sillonnent la capitale à bord de véhicules.
Ils quadrillent et procèdent à des arrestations sporadiques des jeunes. Plus de deux cents personnes ont été arrêtés et auditionnés à Kousseri pour les besoins de l'enquête, avant d'être relâchés pour la plupart d'entre-eux. A N'Djamena, la tension monte d'un cran. Les forces de l'ordre sillonnent la capitale à bord de véhicules.