L’arrondissement 2 Bacongo de Brazzaville a vécu, ce dix-huitième jour du mois de février, date sans doute qui sera écrite en lettres d’or dans les annales de l’histoire de cet arrondissement, l’un des plus vieux de la ville capitale avec Poto-poto.
Comme dans un rêve, les populations, et les commerçants ont palpé du doigt les mutations qui s’opèrent progressivement dans ce marché Total, qui a vu naitre et grandir de nombreux congolais. Une sympathie et reconnaissance à l’endroit du président Sassou N’Guesso. Et sur les banderoles pavoisant les espaces du marché, ils n’ont pas manqué de traduire cette reconnaissance dans leur patois « Matondo ma mingui tata Sassou » (merci beaucoup Mr le président).
Hier, comme l’a signifié le ministre à la présidence de la République, chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, Jean jacques Bouya, ce marché était très submergé et transférait son trop plein d’activités sur toutes les rues adjacentes à son périmètre. Une situation aggravée par l’effondrement d’un bloc de ce marché, en date du 2 mars 2011, occasionnant un bilan de 20 blessés graves.
Alors, s’est interrogé Jean Jacques Bouya, comment ne pas donner vie à cet espace offrant des services à la majorité de la population de la ville capitale ? C’est là tout l’intérêt de ce bijou dont le premier module inauguré occupe 20% de l’espace dédié à tout le projet.
D’un coup global de 6 milliards 661 mille 900 FCFA, ce module, a ajouté, le ministre délégué à la présidence de la République, serait relié au second au moyen de deux passerelles aériennes. Avec une capacité de 2285 places, ce module occupe un bâtiment d’une superficie 4494 mètres carrés et se dresse sur une hauteur de 21 mètres.
Selon le gouvernement congolais, l’ouverture du 2ème module participera, à coup sur, à la restructuration du quartier Bacongo et créera "des dynamiques d’échanges susceptibles de doper la production et l’emploi" tout en favorisant " le basculement des activités informelles vers le secteur informel". D’une superficie bâtie de 45000m2, son cout estimatif est évalué à 24 milliards de FCFA pour 30 mois de travaux avec une capacité attendue de 5700 places.
Les bénéficiaires de cet ouvrage n’ont pas manqué d’apprécier à leur juste valeur ce projet noble et intégrateur, premier d’une série de trois qui se construit à Brazzaville, au nombre desquels, le marché de l’intendance déjà en travaux et celui de Poto-Poto en étude.
Pour cet habitant de Bacongo qui a requis l’anonymat, l’arrimage du marché total à la modernité est un élément structurant qui permettra à cet arrondissement de rehausser son image d'antan et de créer les meilleures conditions de son développement. Vendeuse de poisson salé, Mme Germaine Singou, tout en disant merci aux autorités Congolaises pour cette louable initiative, suggère que la transparence soit de mise dans la distribution des places aux commerçants. Pour sa part, Jean Koulounda, pense que les frais de location exigés devraient être revus à la baisse pour permettre à chaque congolais d’avoir un étal dans ce nouveau marché.
Au sujet de la rumeur faisant état du payement d’un ticket pour l’accession au marché, Véronique Moungabio, vendeuse de poissons frais, pense que, si cela s’avérait juste, c’est un frein pour la fréquentation de ce marché par les congolais dont le pouvoir d’achat est très faible. Et dans la foule, un jeune a laché qu’il fallait confier la gestion de ce marché modernisé à un opérateur privé, sinon en 6 mois, l’insalubrité et la pollution reviendront au galop. Aux autorités congolaises de prendre bonne note !
Comme dans un rêve, les populations, et les commerçants ont palpé du doigt les mutations qui s’opèrent progressivement dans ce marché Total, qui a vu naitre et grandir de nombreux congolais. Une sympathie et reconnaissance à l’endroit du président Sassou N’Guesso. Et sur les banderoles pavoisant les espaces du marché, ils n’ont pas manqué de traduire cette reconnaissance dans leur patois « Matondo ma mingui tata Sassou » (merci beaucoup Mr le président).
Hier, comme l’a signifié le ministre à la présidence de la République, chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux, Jean jacques Bouya, ce marché était très submergé et transférait son trop plein d’activités sur toutes les rues adjacentes à son périmètre. Une situation aggravée par l’effondrement d’un bloc de ce marché, en date du 2 mars 2011, occasionnant un bilan de 20 blessés graves.
Alors, s’est interrogé Jean Jacques Bouya, comment ne pas donner vie à cet espace offrant des services à la majorité de la population de la ville capitale ? C’est là tout l’intérêt de ce bijou dont le premier module inauguré occupe 20% de l’espace dédié à tout le projet.
D’un coup global de 6 milliards 661 mille 900 FCFA, ce module, a ajouté, le ministre délégué à la présidence de la République, serait relié au second au moyen de deux passerelles aériennes. Avec une capacité de 2285 places, ce module occupe un bâtiment d’une superficie 4494 mètres carrés et se dresse sur une hauteur de 21 mètres.
Selon le gouvernement congolais, l’ouverture du 2ème module participera, à coup sur, à la restructuration du quartier Bacongo et créera "des dynamiques d’échanges susceptibles de doper la production et l’emploi" tout en favorisant " le basculement des activités informelles vers le secteur informel". D’une superficie bâtie de 45000m2, son cout estimatif est évalué à 24 milliards de FCFA pour 30 mois de travaux avec une capacité attendue de 5700 places.
Les bénéficiaires de cet ouvrage n’ont pas manqué d’apprécier à leur juste valeur ce projet noble et intégrateur, premier d’une série de trois qui se construit à Brazzaville, au nombre desquels, le marché de l’intendance déjà en travaux et celui de Poto-Poto en étude.
Pour cet habitant de Bacongo qui a requis l’anonymat, l’arrimage du marché total à la modernité est un élément structurant qui permettra à cet arrondissement de rehausser son image d'antan et de créer les meilleures conditions de son développement. Vendeuse de poisson salé, Mme Germaine Singou, tout en disant merci aux autorités Congolaises pour cette louable initiative, suggère que la transparence soit de mise dans la distribution des places aux commerçants. Pour sa part, Jean Koulounda, pense que les frais de location exigés devraient être revus à la baisse pour permettre à chaque congolais d’avoir un étal dans ce nouveau marché.
Au sujet de la rumeur faisant état du payement d’un ticket pour l’accession au marché, Véronique Moungabio, vendeuse de poissons frais, pense que, si cela s’avérait juste, c’est un frein pour la fréquentation de ce marché par les congolais dont le pouvoir d’achat est très faible. Et dans la foule, un jeune a laché qu’il fallait confier la gestion de ce marché modernisé à un opérateur privé, sinon en 6 mois, l’insalubrité et la pollution reviendront au galop. Aux autorités congolaises de prendre bonne note !