Le Congo assure la présidence en exercice de la CIRGL depuis la conférence de Brazzaville en octobre 2017. Profitant de la visite de travail qu'il a effectué au Burundi du 11 au 13 juillet dernier, Jean-Claude Gakosso a a décliné à l’attention du personnel de cette organisation, les grandes lignes qui vont caractériser l’action de la présidence du Congo à la tête de la CIRGL.
L’échange entre Jean-Claude Gakosso et le personnel de la Cirgl a permis à ces derniers de présenter leur cahier de charges, ainsi que les difficultés techniques auxquelles l’organisation est confrontée. En réponse, Jean-Claude Gakosso leur a demandé de ne pas sombrer dans le pessimisme car a-t-il dit, « nous sommes l’une des régions les plus riches du continent, je dirai même du monde ». Et ce sont « les richesses du sous-sol qui permettent le développement ».
Mais, pour Jean-Claude Gakosso, « il y a une richesse qui manque à la sous région. Cette richesse c’est la paix. La paix, n’a pas de prix, la paix n’a pas d’alternative, la paix est la condition sine qua non pour aller au développement », a-t-il affirmé. Face à l’indignation du personnel évoluant au siège de la CIRGL, l’émissaire de Denis Sassou NGuesso a martelé : « je suis venus pour vous apporter le réconfort des chefs d’Etats de notre organisation, à commencer par le président Denis Sassou NGuesso, président en exercice de notre organisation ». La situation que nous traversons est provisoire, a t-il poursuivi.
C’est ainsi qu’il a encouragé le personnel en l’appelant à continuer de faire preuve d’abnégation dans le travail. Pour remédier à cette situation le ministre congolais des affaires étrangères projette d’effectuer avec le secrétaire exécutif de la Cirgl, une visite auprès des chefs d’Etats pour les encourager à apporter leur soutien financier indispensable. « Je pense que la Cirgl a touché le fond, elle ne peut que remonter. Il n’ya pas de raison de sombrer dans le pessimisme», a ajouté le chef de la diplomatie congolaise.
Cette visite au siège de la conférence internationale sur la région des grands lacs à Bujumbura ainsi que la réunion ministérielle de cette organisation, prévue le 21 juillet prochain à Brazzaville, sont un ensemble de signaux qui indiquent la prise en main et le début de l’exécution par la diplomatie congolaise, des activités effectuées dans le cadre de son mandat à la tête de cette institution sous régionale.
Porteur d’un message d’amitié du président de la République, Denis Sassou N’Guesso à son homologue burundais, Pierre Nkurunziza, le diplomate congolais a été reçu en audience par le chef de l’Etat burundais. Les deux personnalités ont eu des entretiens en huis-clos qui ont duré près d’une heure.
L’accueil chaleureux et la convivialité des entretiens renseignent bien sur l’excellence des relations qui lient les chefs d’Etat congolais et burundais .Outre ses entretiens avec le président de la République, Jean-Claude Gakosso a également rencontré son homologue burundais, Ézéchiel Nibigira qui vient nouvellement de prendre la tête du ministère des affaires étrangères de son pays. Les deux hommes d’Etat on échangé sur les relations bilatérales entre les deux pays.
L’échange entre Jean-Claude Gakosso et le personnel de la Cirgl a permis à ces derniers de présenter leur cahier de charges, ainsi que les difficultés techniques auxquelles l’organisation est confrontée. En réponse, Jean-Claude Gakosso leur a demandé de ne pas sombrer dans le pessimisme car a-t-il dit, « nous sommes l’une des régions les plus riches du continent, je dirai même du monde ». Et ce sont « les richesses du sous-sol qui permettent le développement ».
Mais, pour Jean-Claude Gakosso, « il y a une richesse qui manque à la sous région. Cette richesse c’est la paix. La paix, n’a pas de prix, la paix n’a pas d’alternative, la paix est la condition sine qua non pour aller au développement », a-t-il affirmé. Face à l’indignation du personnel évoluant au siège de la CIRGL, l’émissaire de Denis Sassou NGuesso a martelé : « je suis venus pour vous apporter le réconfort des chefs d’Etats de notre organisation, à commencer par le président Denis Sassou NGuesso, président en exercice de notre organisation ». La situation que nous traversons est provisoire, a t-il poursuivi.
C’est ainsi qu’il a encouragé le personnel en l’appelant à continuer de faire preuve d’abnégation dans le travail. Pour remédier à cette situation le ministre congolais des affaires étrangères projette d’effectuer avec le secrétaire exécutif de la Cirgl, une visite auprès des chefs d’Etats pour les encourager à apporter leur soutien financier indispensable. « Je pense que la Cirgl a touché le fond, elle ne peut que remonter. Il n’ya pas de raison de sombrer dans le pessimisme», a ajouté le chef de la diplomatie congolaise.
Cette visite au siège de la conférence internationale sur la région des grands lacs à Bujumbura ainsi que la réunion ministérielle de cette organisation, prévue le 21 juillet prochain à Brazzaville, sont un ensemble de signaux qui indiquent la prise en main et le début de l’exécution par la diplomatie congolaise, des activités effectuées dans le cadre de son mandat à la tête de cette institution sous régionale.
Porteur d’un message d’amitié du président de la République, Denis Sassou N’Guesso à son homologue burundais, Pierre Nkurunziza, le diplomate congolais a été reçu en audience par le chef de l’Etat burundais. Les deux personnalités ont eu des entretiens en huis-clos qui ont duré près d’une heure.
L’accueil chaleureux et la convivialité des entretiens renseignent bien sur l’excellence des relations qui lient les chefs d’Etat congolais et burundais .Outre ses entretiens avec le président de la République, Jean-Claude Gakosso a également rencontré son homologue burundais, Ézéchiel Nibigira qui vient nouvellement de prendre la tête du ministère des affaires étrangères de son pays. Les deux hommes d’Etat on échangé sur les relations bilatérales entre les deux pays.