Les lampions de l’atelier sous régional du groupe de travail gouvernance forestière de la Commission des forêts de l’Afrique centrale (Comifac) se sont éteints à Brazzaville, après quatre jours des travaux. Cet atelier a permis de redynamiser ce groupe de travail entré presqu’en hibernation en 2017.
Selon le communiqué final, la lettre de missions du groupe de travail a été revue ainsi que le groupe de travail, lui même, qui sera désormais composé par les directeurs en charge des forêts de l’espace Comifac, des membres du secrétariat exécutif et puis des représentants de la Ceeac, de la société civile et du secteur privé
Ces assises ont, en outre, défini une nouvelle feuille de route pour les prochaines années et élaboré le projet qui va soutenir le dialogue entre la Chine et l’Afrique centrale pour la gestion durable des écosystèmes forestiers dans la sous-région.
Au cours des travaux, mentionne le communiqué final, les participants ont été informés sur le boycott des bois tropicaux, dans le cadre du chantier olympique en France. Cette initiative, souligne le document, « émane de la société Solideo, société de livraison des ouvrages olympiques qui s’est appuyée sur des exigences environnementales ».
Face à cette décision de boycott des bois tropicaux d’Afrique centrale, l’atelier sous régional a recommandé à l’endroit du secrétariat exécutif de saisir le président en exercice de la Comifac de la situation du boycott et d’initier une mission, en France, afin d’exprimer le regret des pays de l’espace de la Comifac
Pour le secrétaire général adjoint de la de la Comifac, Chaibou Nchoutpouen, cette décision vient plomber les efforts de gouvernance forestière jusqu ’ici consentis par les pays d’Afrique centrale qui se sont engagés en 2019 à la gestion concertée des forêts pour le bien-être des populations. « … malgré tous ces efforts, aujourd’hui on vient nous dire, on ne peut pas importer le bois venant du bassin du Congo, nous trouvons cela injuste et nous sommes convenus de préparer une stratégie de riposte. » a-t-il martelé.
Le directeur général des eaux et forêts du Congo, Joseph Moumbouilou, qui a clôturé les travaux de cet atelier, en lieu et place de la ministre congolaise de l’économie forestière, Rosalie Matondo, a exhorté la Comifac à sortir ce groupe de travail de son hibernation pour devenir un outil performant. Tout en soutenant l’ initiative visant de l’élaboration d’une feuille de route, il a promis, au nom de son pays, mettre tout en œuvre pour la levée du boycott des bois tropicaux en France.
Dans le communiqué final clôturant les travaux, les participants ont vivement remercié l’union européenne et la coopération allemande, à travers le projet GIZ, pour leur appui à l’organisation de cet atelier qui a réuni les participants, en présentiel, venus de la Rca, du Tchad, de la Rdc, du Congo et, en virtuel, ceux du Cameroun, du Burundi. Les experts de l’Ue, de la Fao, de l’Atibt ont pris également une part active à ces assises de Brazzaville.
Selon le communiqué final, la lettre de missions du groupe de travail a été revue ainsi que le groupe de travail, lui même, qui sera désormais composé par les directeurs en charge des forêts de l’espace Comifac, des membres du secrétariat exécutif et puis des représentants de la Ceeac, de la société civile et du secteur privé
Ces assises ont, en outre, défini une nouvelle feuille de route pour les prochaines années et élaboré le projet qui va soutenir le dialogue entre la Chine et l’Afrique centrale pour la gestion durable des écosystèmes forestiers dans la sous-région.
Au cours des travaux, mentionne le communiqué final, les participants ont été informés sur le boycott des bois tropicaux, dans le cadre du chantier olympique en France. Cette initiative, souligne le document, « émane de la société Solideo, société de livraison des ouvrages olympiques qui s’est appuyée sur des exigences environnementales ».
Face à cette décision de boycott des bois tropicaux d’Afrique centrale, l’atelier sous régional a recommandé à l’endroit du secrétariat exécutif de saisir le président en exercice de la Comifac de la situation du boycott et d’initier une mission, en France, afin d’exprimer le regret des pays de l’espace de la Comifac
Pour le secrétaire général adjoint de la de la Comifac, Chaibou Nchoutpouen, cette décision vient plomber les efforts de gouvernance forestière jusqu ’ici consentis par les pays d’Afrique centrale qui se sont engagés en 2019 à la gestion concertée des forêts pour le bien-être des populations. « … malgré tous ces efforts, aujourd’hui on vient nous dire, on ne peut pas importer le bois venant du bassin du Congo, nous trouvons cela injuste et nous sommes convenus de préparer une stratégie de riposte. » a-t-il martelé.
Le directeur général des eaux et forêts du Congo, Joseph Moumbouilou, qui a clôturé les travaux de cet atelier, en lieu et place de la ministre congolaise de l’économie forestière, Rosalie Matondo, a exhorté la Comifac à sortir ce groupe de travail de son hibernation pour devenir un outil performant. Tout en soutenant l’ initiative visant de l’élaboration d’une feuille de route, il a promis, au nom de son pays, mettre tout en œuvre pour la levée du boycott des bois tropicaux en France.
Dans le communiqué final clôturant les travaux, les participants ont vivement remercié l’union européenne et la coopération allemande, à travers le projet GIZ, pour leur appui à l’organisation de cet atelier qui a réuni les participants, en présentiel, venus de la Rca, du Tchad, de la Rdc, du Congo et, en virtuel, ceux du Cameroun, du Burundi. Les experts de l’Ue, de la Fao, de l’Atibt ont pris également une part active à ces assises de Brazzaville.