La COP 25 s’inscrit dans la droite ligne des précédentes COP, à l’instar de la COP 22, tenue en 2016 à Marrakech au Maroc où le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou-N’Guesso, avait lancé une initiative intitulée ‘’Fonds Bleu pour le Bassin du Congo’’, avec pour objectif de favoriser davantage la protection de l’environnement.
Denis Sassou-N’Guesso, qui a reçu mission de ses pairs de l’Afrique centrale, interviendra au nom de cette partie du continent. Le président congolais renouvellera, sans doute, ses appels à la communauté internationale, notamment pour qu’elle finance le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Ce Fonds lancé en novembre 2016, lors de la COP 22 à Marrakech (Maroc) par le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, avec l’ambition de redéfinir les bases d’une économie collaborative qui associe exploitation raisonnée des forêts et gestion durable des eaux des côtes maritimes, du fleuve Congo et de ses affluents.
L’intervention du président congolais, visera à mobiliser les partenaires au développement du continent, par ailleurs grands pollueurs, pour financer ce fonds, qui a été officiellement créé par les douze pays africains concernés, au terme d’un sommet international, tenu à Oyo, en République du Congo, le 9 mars 2017.
Le Fonds bleu pour le Bassin du Congo est un fonds international de développement dont le but est de permettre aux États de la région du Bassin du Congo de passer d’une économie liée à l’exploitation des forêts à une économie s’appuyant davantage sur les ressources issues de la gestion des eaux.
L’objectif global visé étant de contribuer au maintien du réchauffement climatique en dessous de 2°C, avant de poursuivre les efforts pour limiter ce niveau à 1.5°C. Dans cette optique, il est fondamental pour les Etats d’accroître leur ambition afin d’accélérer la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Car, les petits Etats insulaires et les pays en développement subissent de plein fouet les conséquences du changement climatique avec des dégâts, pour les communautés humaines et leurs moyens de subsistance, sont parfois irréversibles.
La COP25 devrait procéder à une autre évaluation de la question dite des « pertes et préjudices ». Si l’article 8 de l’Accord de Paris adopté en 2015, reconnait cet enjeu comme troisième pilier de l'action climatique, aucune piste concrète n'a été identifiée à ce jour pour y répondre financièrement.
La prise de parole du porte-voix de l’Afrique centrale, Denis Sassou-N'Guesso , sera l'occasion de mobiliser la Communauté internationale à apporter aux pays vulnérables, des sources financières nouvelles et innovantes.
A noter que la conférence des Etats parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques se tient chaque année depuis 1995. La COP 25 se déroule du 2 au 13 décembre dans la capitale espagnole, à la suite de la décision du gouvernement chilien de ne pas l’accueillir à cause de la crise sociale que connaît actuellement ce pays.
Denis Sassou-N’Guesso, qui a reçu mission de ses pairs de l’Afrique centrale, interviendra au nom de cette partie du continent. Le président congolais renouvellera, sans doute, ses appels à la communauté internationale, notamment pour qu’elle finance le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo.
Ce Fonds lancé en novembre 2016, lors de la COP 22 à Marrakech (Maroc) par le chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, avec l’ambition de redéfinir les bases d’une économie collaborative qui associe exploitation raisonnée des forêts et gestion durable des eaux des côtes maritimes, du fleuve Congo et de ses affluents.
L’intervention du président congolais, visera à mobiliser les partenaires au développement du continent, par ailleurs grands pollueurs, pour financer ce fonds, qui a été officiellement créé par les douze pays africains concernés, au terme d’un sommet international, tenu à Oyo, en République du Congo, le 9 mars 2017.
Le Fonds bleu pour le Bassin du Congo est un fonds international de développement dont le but est de permettre aux États de la région du Bassin du Congo de passer d’une économie liée à l’exploitation des forêts à une économie s’appuyant davantage sur les ressources issues de la gestion des eaux.
L’objectif global visé étant de contribuer au maintien du réchauffement climatique en dessous de 2°C, avant de poursuivre les efforts pour limiter ce niveau à 1.5°C. Dans cette optique, il est fondamental pour les Etats d’accroître leur ambition afin d’accélérer la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Car, les petits Etats insulaires et les pays en développement subissent de plein fouet les conséquences du changement climatique avec des dégâts, pour les communautés humaines et leurs moyens de subsistance, sont parfois irréversibles.
La COP25 devrait procéder à une autre évaluation de la question dite des « pertes et préjudices ». Si l’article 8 de l’Accord de Paris adopté en 2015, reconnait cet enjeu comme troisième pilier de l'action climatique, aucune piste concrète n'a été identifiée à ce jour pour y répondre financièrement.
La prise de parole du porte-voix de l’Afrique centrale, Denis Sassou-N'Guesso , sera l'occasion de mobiliser la Communauté internationale à apporter aux pays vulnérables, des sources financières nouvelles et innovantes.
A noter que la conférence des Etats parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques se tient chaque année depuis 1995. La COP 25 se déroule du 2 au 13 décembre dans la capitale espagnole, à la suite de la décision du gouvernement chilien de ne pas l’accueillir à cause de la crise sociale que connaît actuellement ce pays.