Le corps de Bibi Ngota devant la prison de Kondengui
Le directeur de publication de l'hebdomadaire Cameroun Express, Ngota Ngota Germain, détenu depuis le 10 mars 2010 à la prison de Kondengui, à Yaoundé est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi dans sa cellule.
"Les autorités pénitentiaires savaient que mon mari souffrait d'asthme et d'hypertension. Elles ne lui ont jamais fourni les médicaments nécessaires pour qu'il se soigne. C'est ma famille, déjà en grande difficulté financière, qui devait assumer les dépenses pour la nourriture et les médicaments" d'après les affirmations de sa femme, Ngo'o Georgette.
Les trois directeurs de publication ont été placés, dès leur arrivée, dans des cellules collectives de trente personnes, dépourvues de lits et de sanitaires selon Reporters sans frontières qui demande que toute la lumière soit faite tandis que le présumé coupable est toujours en fuite.
"Lors de mes visites, j'ai pu constater que les conditions de détention de mon mari et de ses collègues étaient déplorables" d'après sa femme.
"Les autorités pénitentiaires savaient que mon mari souffrait d'asthme et d'hypertension. Elles ne lui ont jamais fourni les médicaments nécessaires pour qu'il se soigne. C'est ma famille, déjà en grande difficulté financière, qui devait assumer les dépenses pour la nourriture et les médicaments" d'après les affirmations de sa femme, Ngo'o Georgette.
Les trois directeurs de publication ont été placés, dès leur arrivée, dans des cellules collectives de trente personnes, dépourvues de lits et de sanitaires selon Reporters sans frontières qui demande que toute la lumière soit faite tandis que le présumé coupable est toujours en fuite.
"Lors de mes visites, j'ai pu constater que les conditions de détention de mon mari et de ses collègues étaient déplorables" d'après sa femme.