François Bozizé. Photo : Sources
"Nous ne pouvons établir une paix actuellement en ignorant nos sœurs et frères regroupés au sein de l’entité « anti - balaka ». Car, ce sont eux, qui ont défendu la dignité nationale et concouru à limiter nos malheurs, souffrances, aux côtés des forces étrangères face aux mercenaires embauchés par la séléka qui ont capté notre pouvoir." La parole est au général Bozizé qui s'est ainsi démasqué dans une lettre adressée aux centrafricains, le 24 mars 2013, où il annonce son intention de retourner au pays. Il appelle le nettoyage ethnique "dignité nationale".
Voilà un responsable des crimes contre l'humanité dont la CPI recherche pour le juger. Voilà un criminel en cavale que la France protège et lui facilite le déplacement, jusqu'à rêver de revenir grâce à la milice criminelle antibalaka, reprendre le pouvoir par la force.
Effectivement, cela ne concerne que les centrafricains et rien que les centrafricains. Mais le nettoyage éthinico - religieux perpétré injustement à l'encontre des citoyens tchadiens ne doit qu'être punis et par la juste.
Voilà un responsable des crimes contre l'humanité dont la CPI recherche pour le juger. Voilà un criminel en cavale que la France protège et lui facilite le déplacement, jusqu'à rêver de revenir grâce à la milice criminelle antibalaka, reprendre le pouvoir par la force.
Effectivement, cela ne concerne que les centrafricains et rien que les centrafricains. Mais le nettoyage éthinico - religieux perpétré injustement à l'encontre des citoyens tchadiens ne doit qu'être punis et par la juste.