Pas les morts, elle avait déjà avoué que ce type de comptage macabre ne l'intéressait pas. Ce qui régulièrement lui fait annoncer des bilans farfelus de cadavres, que la presse occidentale s'empresse de reprendre sans vérifier.
Et pourtant, Parfait Onanga-Anyanga, le patron de la MINUSCA, droit dans ses babouches, de claironner que "La situation serait bien pire s’il y n’y avait pas la Minusca."
Des propos contredits par le député Lucien Mbaïgoto, pour qui, citons : "la Mission onusienne dans la ville a assisté en spectateur aux exactions commises par ces forces nocives."
Sur le terrain, les rapports de forces sont à l'avantage des Séléka, ayant mis en débandade et les RJ, et les Anti-Balaka. Avec pour conséquence, des destructions et des massacres en nombre. Osez dire que le chiffre de plus de 300 morts ne serait pas usurpé.
Toujours selon le député, les hommes d'Ahamat Bahar "occupent des villes et villages comme Bétoko, Bédaya, Bémal, Bébora 3 ou Gadoulou. En outre, ils reçoivent quotidiennement des renforts en matériels et en hommes arrivés de tous bords".
Depuis, les patrouilles de la MINUSCA sont à PAOUA, et que là. Elles ne s'aventurent pas aux extérieurs, là où il y a vraiment besoin.
L'exode des populations vers le Tchad proche est sans fin, d'ici peu, le chiffre de 100.000 déplacés sera atteint.
© Janvier 2018 – LAMINE MEDIA
Des propos contredits par le député Lucien Mbaïgoto, pour qui, citons : "la Mission onusienne dans la ville a assisté en spectateur aux exactions commises par ces forces nocives."
Sur le terrain, les rapports de forces sont à l'avantage des Séléka, ayant mis en débandade et les RJ, et les Anti-Balaka. Avec pour conséquence, des destructions et des massacres en nombre. Osez dire que le chiffre de plus de 300 morts ne serait pas usurpé.
Toujours selon le député, les hommes d'Ahamat Bahar "occupent des villes et villages comme Bétoko, Bédaya, Bémal, Bébora 3 ou Gadoulou. En outre, ils reçoivent quotidiennement des renforts en matériels et en hommes arrivés de tous bords".
Depuis, les patrouilles de la MINUSCA sont à PAOUA, et que là. Elles ne s'aventurent pas aux extérieurs, là où il y a vraiment besoin.
L'exode des populations vers le Tchad proche est sans fin, d'ici peu, le chiffre de 100.000 déplacés sera atteint.
© Janvier 2018 – LAMINE MEDIA