Alors que la population Centrafricaine essaie depuis quelques jours de panser ses plaies, nées de longs mois d’occupation d’une grande partie du territoire national par la rébellion qui a tout dévasté sur son passage.
En cette période sensible où le peuple centrafricain tente de se réconcilier avec lui-même, et ce plus de quatre mois après le renversement du régime dictatorial de François Bozizé, les nouvelles autorités peinent à instaurer un ordre véritable dans le pays, l’ancien dictateur François Bozizé ne trouve mieux que de braver la mémoire des multiples victimes de ses 10 années de règne autoritaire en multipliant des déclarations va t' en guerre et d’incitation à la haine et au génocide depuis le territoire français.
Au regard des agitations de Monsieur François Bozizé et au nom du principe de compétence universelle le Collectif des Organisations de Défense des Droits de l’Homme ; Organisations non gouvernementales et association à but non lucratif, porte à la connaissance de l’opinion tant nationale qu’internationale, qu’une procédure judiciaire vient d’être engagée par le biais d’un cabinet d’avocats parisien.
Aussi le collectif exhorte, le Président de la République Française, Monsieur François Hollande, de tout mettre en œuvre pour que toute la lumière soit faite sur la disparition de Charles Massi, du militant des droits de l'Homme Me Goungaye ; des assassinats du colonel Christophe Grélombé et de son fils Martin ; du lieutenant Gbodo à kémbé etc…
A cet effet, le collectif invite instamment toute personne s’estimant de près ou de loin victimes de violations graves des droits humains mais aussi et surtout des crimes relevant du statut de la Cour pénale internationale; de se rapprocher dudit Collectif afin de se constituer partie civile.
Le collectif tient par ailleurs à préciser, que l’ancien homme fort de Bangui françois Bozizé fait déjà l’objet d’une plainte déposée en 2003 par Monsieur Prosper Ndouba auprès du parquet de Pontoise pour enlèvement, séquestration et prise d’otage en bande organisée et que la machine judiciaire est mise en œuvre, mais aussi sera probablement bientôt auditionné devant la Cour Pénale Internationale de La Haye comme témoin dans l’affaire Jean Pierre Bemba Gombo ne bénéficiant plus d’une quelconque immunité.
Conscient que la crise centrafricaine ne peut trouver une issue qu'à travers une justice véritable, le collectif est résolument engagé aux côtés des plus faibles et est persuadé que le combat contre l'impunité reste la seule voie d'un retour à la paix en Centrafrique.
Fait à Joué les Tours, le 23 août 2013
Pour le Collectif
Jean Nestor NDAKALA
Contacts : 0033763137153 E-mail : poursuitejudiciaire.bozize@gmail.com
En cette période sensible où le peuple centrafricain tente de se réconcilier avec lui-même, et ce plus de quatre mois après le renversement du régime dictatorial de François Bozizé, les nouvelles autorités peinent à instaurer un ordre véritable dans le pays, l’ancien dictateur François Bozizé ne trouve mieux que de braver la mémoire des multiples victimes de ses 10 années de règne autoritaire en multipliant des déclarations va t' en guerre et d’incitation à la haine et au génocide depuis le territoire français.
Au regard des agitations de Monsieur François Bozizé et au nom du principe de compétence universelle le Collectif des Organisations de Défense des Droits de l’Homme ; Organisations non gouvernementales et association à but non lucratif, porte à la connaissance de l’opinion tant nationale qu’internationale, qu’une procédure judiciaire vient d’être engagée par le biais d’un cabinet d’avocats parisien.
Aussi le collectif exhorte, le Président de la République Française, Monsieur François Hollande, de tout mettre en œuvre pour que toute la lumière soit faite sur la disparition de Charles Massi, du militant des droits de l'Homme Me Goungaye ; des assassinats du colonel Christophe Grélombé et de son fils Martin ; du lieutenant Gbodo à kémbé etc…
A cet effet, le collectif invite instamment toute personne s’estimant de près ou de loin victimes de violations graves des droits humains mais aussi et surtout des crimes relevant du statut de la Cour pénale internationale; de se rapprocher dudit Collectif afin de se constituer partie civile.
Le collectif tient par ailleurs à préciser, que l’ancien homme fort de Bangui françois Bozizé fait déjà l’objet d’une plainte déposée en 2003 par Monsieur Prosper Ndouba auprès du parquet de Pontoise pour enlèvement, séquestration et prise d’otage en bande organisée et que la machine judiciaire est mise en œuvre, mais aussi sera probablement bientôt auditionné devant la Cour Pénale Internationale de La Haye comme témoin dans l’affaire Jean Pierre Bemba Gombo ne bénéficiant plus d’une quelconque immunité.
Conscient que la crise centrafricaine ne peut trouver une issue qu'à travers une justice véritable, le collectif est résolument engagé aux côtés des plus faibles et est persuadé que le combat contre l'impunité reste la seule voie d'un retour à la paix en Centrafrique.
Fait à Joué les Tours, le 23 août 2013
Pour le Collectif
Jean Nestor NDAKALA
Contacts : 0033763137153 E-mail : poursuitejudiciaire.bozize@gmail.com