Soldats de la Seleka en patrouille à Bangui, Centrafrique, le 5 décembre 2013. REUTERS/Emmanuel Braun
Un groupe armé qui projetait une attaque sur Bangui "se serait confronté aux forces internationales", selon le journaliste-reporter de l'AFP, Pacôme Pabandji qui cite des sources diplomatiques. Une attaque sur la capitale centrafricaine sous-entend aussi un coup d'Etat.
Si l'on en sait pas plus, l'ex-conseiller de Djotodia, Abakar Saboune qui est à la tête d'un nouveau mouvement d'auto-défense a récemment affirmé vouloir marcher sur Bangui lors d'une interview avec Jeune Afrique. Il pourrait également s'agir d'une nouvelle attaque planifiée des Anti-Balles AK, comme celle du 5 décembre -commanditée par l'ex-Président François Bozizé- qui avait coûté la vie à de milliers de personnes.
Si l'on en sait pas plus, l'ex-conseiller de Djotodia, Abakar Saboune qui est à la tête d'un nouveau mouvement d'auto-défense a récemment affirmé vouloir marcher sur Bangui lors d'une interview avec Jeune Afrique. Il pourrait également s'agir d'une nouvelle attaque planifiée des Anti-Balles AK, comme celle du 5 décembre -commanditée par l'ex-Président François Bozizé- qui avait coûté la vie à de milliers de personnes.
#RCA : Un groupe armé voulant attaquer #Bangui, se serait confronté à la puissance de feu des forces internationales. (Source diplomatique)
— Pacôme PABANDJI (@pacomepaba) 5 Mai 2014