Le ministre du commerce extérieur et de la consommation, Landry Euloge Kolelas
A la tête du ministère du commerce extérieur et de la consommation depuis, le 20 août 2015, Landry Euloge Kolelas, s’emploie à mettre en musique les politiques et mesures de protection du consommateur, sans faire obstacle au commerce international.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la mise en application des notes de service numéro 0665 répartissant les compétences entre la direction générale de la concurrence et la répression des fraudes commerciales et ses directions départementales et numéro 0721 clarifiant les champs de compétences entre la direction de la concurrence et la direction des fraudes commerciales, d’une part, et le décret en cours de préparation relatif à la procédure de contrôle commercial, d’autre part.
C'est dans ce contexte qu'il faut placer la note circulaire interdisant la commercialisation des produits dont la notice n’étant pas libellée en français qui n’est qu’une simple mesure d’application de la loi N° 3-2007 du 24 janvier 2007 réglementant les importations, exportations et réexportations en son article 27.
Une mesure pourtant acceptée par les consommateurs qui se sont exprimées à travers leurs différentes associations .Les commerçants, les importateurs, les chargés d’affaires des ambassades ont même promis saisir leur pays respectif sur le bien-fondé de cette mesure qui s’avère favorable pour le bien être des consommateurs congolais.
Malheureusement, le département du commerce extérieur et de la consommation paye cette mesure d’une rançon assez lourde. Et pour jeter de l’opprobre à l’administration Kolelas, les détracteurs sont montés au créneau allant jusqu’à qualifier le directeur de cabinet de « parrain » des syndicats des commerçants.
Faisant une lecture aléatoire de l’action qui se mène actuellement au sein de ce ministère ou imbu d’une volonté de nuisance, ces détracteurs veulent saper les efforts déployés de manière harmonieuse et concertée, dans le but de protéger et de sécuriser le consommateur final. D’où les accusations fortuites à l’encontre du directeur de cabinet qui, semble-t-il, serait de mèche avec les agents de recouvrement, alors que dans ses prérogatives, ce dernier ne peut fonder des agents de recouvrement, car n’étant ni directeur central, ni directeur départemental.
Le travail tel qu’il s’organise, sous l’administration du ministre Landry Euloge Kolelas se fait selon les principes directeurs des Nations Unies pour la protection des consommateurs.
A la tête du ministère du commerce extérieur et de la consommation depuis, le 20 août 2015, Landry Euloge Kolelas, s’emploie à mettre en musique les politiques et mesures de protection du consommateur, sans faire obstacle au commerce international.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la mise en application des notes de service numéro 0665 répartissant les compétences entre la direction générale de la concurrence et la répression des fraudes commerciales et ses directions départementales et numéro 0721 clarifiant les champs de compétences entre la direction de la concurrence et la direction des fraudes commerciales, d’une part, et le décret en cours de préparation relatif à la procédure de contrôle commercial, d’autre part.
C'est dans ce contexte qu'il faut placer la note circulaire interdisant la commercialisation des produits dont la notice n’étant pas libellée en français qui n’est qu’une simple mesure d’application de la loi N° 3-2007 du 24 janvier 2007 réglementant les importations, exportations et réexportations en son article 27.
Une mesure pourtant acceptée par les consommateurs qui se sont exprimées à travers leurs différentes associations .Les commerçants, les importateurs, les chargés d’affaires des ambassades ont même promis saisir leur pays respectif sur le bien-fondé de cette mesure qui s’avère favorable pour le bien être des consommateurs congolais.
Malheureusement, le département du commerce extérieur et de la consommation paye cette mesure d’une rançon assez lourde. Et pour jeter de l’opprobre à l’administration Kolelas, les détracteurs sont montés au créneau allant jusqu’à qualifier le directeur de cabinet de « parrain » des syndicats des commerçants.
Faisant une lecture aléatoire de l’action qui se mène actuellement au sein de ce ministère ou imbu d’une volonté de nuisance, ces détracteurs veulent saper les efforts déployés de manière harmonieuse et concertée, dans le but de protéger et de sécuriser le consommateur final. D’où les accusations fortuites à l’encontre du directeur de cabinet qui, semble-t-il, serait de mèche avec les agents de recouvrement, alors que dans ses prérogatives, ce dernier ne peut fonder des agents de recouvrement, car n’étant ni directeur central, ni directeur départemental.
Le travail tel qu’il s’organise, sous l’administration du ministre Landry Euloge Kolelas se fait selon les principes directeurs des Nations Unies pour la protection des consommateurs.