Les pays africains devraient « saisir le moment » et profiter de l’occasion historique de réaliser une « croissance économique massive, durable et à long terme », comme l’a déclaré Paula Ingabire, la ministre rwandaise des TIC et de l’Innovation. À sa suite, la Dr Valentine Uwamariya, ministre rwandaise de l’Éducation, avertit qu’il serait « impardonnable de ne pas se consacrer maintenant à l’éducation, à la formation et aux technologies. »
Les deux ministres se sont exprimées au moment où des dirigeants politiques, des experts en questions éducatives et des investisseurs du monde entier se préparent à se rendre au Rwanda pour participer à eLearning Africa, l’une des premières conférences d’envergure mondiale organisées en présentiel sur le continent depuis le début de la pandémie de COVID-19. L’événement aura lieu à Kigali, la capitale rwandaise, du 11 au 13 mai prochains. Selon Mme Ingabire :
« L’Afrique est aujourd’hui à un moment crucial de son histoire. La création de la ZLECAf, le marché unique africain, est une occasion sans précédent de transformer le sort de notre continent et de ses habitants. Nous sommes en mesure de surpasser d’autres pays et régions. Nous avons ainsi une occasion d’assurer à l’Afrique une véritable prospérité. Mais il convient de prendre les mesures nécessaires pour nous préparer et préparer nos populations.
« Il s’agit, avant tout, d’investir dans une éducation combinée aux TIC. Et de veiller à doter nos populations des compétences requises sur les marchés du futur. Les technologies de l’information et de la communication peuvent porter les avantages de l’éducation et de la formation jusqu’aux régions les plus reculées de notre continent. À la suite de la pandémie de COVID-19 et du marasme économique, tout gouvernement africain devrait désormais se consacrer sans relâche à sa stratégie en matière d’éducation et de TIC. C’est une telle démarche qui fera de la Vision 2063 de l’Union africaine une réalité. »
Et la Dr Uwamariya de renchérir :
« L’Afrique est à la croisée des chemins. Nous sommes à présent confrontés à un choix. Saisissons cette occasion et tirons parti de la meilleure chance que nous ayons jamais eue en tant que continent. Il s’agit en fait de réaliser l’opportunité qu’offre la ZLECAf à tous les Africains. Il s’agit de tirer le meilleur parti de la population jeune, dynamique et croissante de l’Afrique, véritable réservoir de ressources humaines et de talents. Il s’agit de planifier, de coopérer et d’investir dans l’apprentissage et la formation assistés par la technologie, de sorte que nous puissions diffuser les avantages de l’éducation et favoriser l’acquisition de nouvelles compétences vitales pour la main-d’œuvre du futur. Il serait impardonnable de ne pas se consacrer maintenant à l’éducation, à la formation et aux technologies. »
Elle indique en plus être ravie de savoir que la première conférence eLearning Africa d’après-pandémie se tiendra au Rwanda.
« eLearning Africa est un rendez-vous très important, en raison de l’opportunité qu’elle offre aux principales parties prenantes de dialoguer. La conférence et la table ronde ministérielle permettront de focaliser notre attention sur les moyens de collaborer tous, en tant que continent et communauté mondiale, d’utiliser l’apprentissage assisté par la technologie pour stimuler la croissance et favoriser un changement et une prospérité durables. »
Rebecca Stromeyer, fondatrice de la conférence, affirme que l’événement suscite un « énorme » intérêt et beaucoup de soutien :
« Les gens se réjouissent de voir que nous allons de nouveau de l’avant. Notre réseau d’experts et de professionnels du monde entier aura l’impression de prendre part à une réunion de famille géante ! Ces personnes sont impatientes de se retrouver, de se lier d’amitié et d’avoir de nouveaux contacts. Par ailleurs, les entreprises, au rang desquelles figurent les plus grands noms du secteur de l’EdTech, ont manifesté un énorme intérêt à participer à cet événement. L’Afrique est aujourd’hui le lieu idéal pour ceux et celles qui souhaitent investir dans l’éducation et les technologies. »
Selon Mme Stromeyer, il n’a pas été difficile de persuader les gens de participer à la conférence, malgré l’expérience de ces deux dernières années.
« Il est de notoriété publique que le Rwanda a vraiment bien fait face à la pandémie. Nos participants seront aux petits soins dans un magnifique centre de conférences et nous sommes impatients de les y rencontrer pour ce qui promet d’être un événement d’une importance capitale. »
eLearning Africa s’accompagne d’une exposition où sont mis en relief des produits, des services et des formations proposés par les principaux producteurs et fournisseurs au monde. La conférence, elle, ouvre la voie à une myriade de possibilités de discussion, de partage de connaissances et de réseautage, sous la forme de séances plénières, d’ateliers, de séminaires et de débats. Elle propose en outre une table ronde ministérielle, durant laquelle des ministres chargés des TIC et de l’éducation, ainsi que de hauts fonctionnaires et des conseillers, discutent de thèmes émergents avec des experts, des universitaires et des représentants d’entreprises et d’organisations du monde entier. Organisée sur le thème « Redéfinir le but de l’éducation », la table ronde de cette année examinera les défis concrets auxquels les pays africains sont confrontés, ainsi que les incidences d’un marché unique et la contribution potentielle de l’Afrique à l’apprentissage au niveau mondial et à la fourniture de solutions aux problèmes mondiaux.
« L’Afrique a tant à faire et tant à donner », indique Mme Ingabire. « Nous souhaitons accueillir tout le monde au Rwanda à la faveur de cette conférence historique. »
Les deux ministres se sont exprimées au moment où des dirigeants politiques, des experts en questions éducatives et des investisseurs du monde entier se préparent à se rendre au Rwanda pour participer à eLearning Africa, l’une des premières conférences d’envergure mondiale organisées en présentiel sur le continent depuis le début de la pandémie de COVID-19. L’événement aura lieu à Kigali, la capitale rwandaise, du 11 au 13 mai prochains. Selon Mme Ingabire :
« L’Afrique est aujourd’hui à un moment crucial de son histoire. La création de la ZLECAf, le marché unique africain, est une occasion sans précédent de transformer le sort de notre continent et de ses habitants. Nous sommes en mesure de surpasser d’autres pays et régions. Nous avons ainsi une occasion d’assurer à l’Afrique une véritable prospérité. Mais il convient de prendre les mesures nécessaires pour nous préparer et préparer nos populations.
« Il s’agit, avant tout, d’investir dans une éducation combinée aux TIC. Et de veiller à doter nos populations des compétences requises sur les marchés du futur. Les technologies de l’information et de la communication peuvent porter les avantages de l’éducation et de la formation jusqu’aux régions les plus reculées de notre continent. À la suite de la pandémie de COVID-19 et du marasme économique, tout gouvernement africain devrait désormais se consacrer sans relâche à sa stratégie en matière d’éducation et de TIC. C’est une telle démarche qui fera de la Vision 2063 de l’Union africaine une réalité. »
Et la Dr Uwamariya de renchérir :
« L’Afrique est à la croisée des chemins. Nous sommes à présent confrontés à un choix. Saisissons cette occasion et tirons parti de la meilleure chance que nous ayons jamais eue en tant que continent. Il s’agit en fait de réaliser l’opportunité qu’offre la ZLECAf à tous les Africains. Il s’agit de tirer le meilleur parti de la population jeune, dynamique et croissante de l’Afrique, véritable réservoir de ressources humaines et de talents. Il s’agit de planifier, de coopérer et d’investir dans l’apprentissage et la formation assistés par la technologie, de sorte que nous puissions diffuser les avantages de l’éducation et favoriser l’acquisition de nouvelles compétences vitales pour la main-d’œuvre du futur. Il serait impardonnable de ne pas se consacrer maintenant à l’éducation, à la formation et aux technologies. »
Elle indique en plus être ravie de savoir que la première conférence eLearning Africa d’après-pandémie se tiendra au Rwanda.
« eLearning Africa est un rendez-vous très important, en raison de l’opportunité qu’elle offre aux principales parties prenantes de dialoguer. La conférence et la table ronde ministérielle permettront de focaliser notre attention sur les moyens de collaborer tous, en tant que continent et communauté mondiale, d’utiliser l’apprentissage assisté par la technologie pour stimuler la croissance et favoriser un changement et une prospérité durables. »
Rebecca Stromeyer, fondatrice de la conférence, affirme que l’événement suscite un « énorme » intérêt et beaucoup de soutien :
« Les gens se réjouissent de voir que nous allons de nouveau de l’avant. Notre réseau d’experts et de professionnels du monde entier aura l’impression de prendre part à une réunion de famille géante ! Ces personnes sont impatientes de se retrouver, de se lier d’amitié et d’avoir de nouveaux contacts. Par ailleurs, les entreprises, au rang desquelles figurent les plus grands noms du secteur de l’EdTech, ont manifesté un énorme intérêt à participer à cet événement. L’Afrique est aujourd’hui le lieu idéal pour ceux et celles qui souhaitent investir dans l’éducation et les technologies. »
Selon Mme Stromeyer, il n’a pas été difficile de persuader les gens de participer à la conférence, malgré l’expérience de ces deux dernières années.
« Il est de notoriété publique que le Rwanda a vraiment bien fait face à la pandémie. Nos participants seront aux petits soins dans un magnifique centre de conférences et nous sommes impatients de les y rencontrer pour ce qui promet d’être un événement d’une importance capitale. »
eLearning Africa s’accompagne d’une exposition où sont mis en relief des produits, des services et des formations proposés par les principaux producteurs et fournisseurs au monde. La conférence, elle, ouvre la voie à une myriade de possibilités de discussion, de partage de connaissances et de réseautage, sous la forme de séances plénières, d’ateliers, de séminaires et de débats. Elle propose en outre une table ronde ministérielle, durant laquelle des ministres chargés des TIC et de l’éducation, ainsi que de hauts fonctionnaires et des conseillers, discutent de thèmes émergents avec des experts, des universitaires et des représentants d’entreprises et d’organisations du monde entier. Organisée sur le thème « Redéfinir le but de l’éducation », la table ronde de cette année examinera les défis concrets auxquels les pays africains sont confrontés, ainsi que les incidences d’un marché unique et la contribution potentielle de l’Afrique à l’apprentissage au niveau mondial et à la fourniture de solutions aux problèmes mondiaux.
« L’Afrique a tant à faire et tant à donner », indique Mme Ingabire. « Nous souhaitons accueillir tout le monde au Rwanda à la faveur de cette conférence historique. »