une tradition qui dure depuis 31 ans. Cette année, le président Denis Sassou N'Guesso qui a initié cette journée, n’a pas dérogé à la règle. Le planting a eu lieu au village Ebami, à quelques encablures d’Obouya. A côté du président congolais, des autorités locales et d’autres personnalités. La journée a eu pour thème : « L’arbre procure des revenus, l’arbre protège notre cadre de vie, l’arbre produit des médicaments, des aliments et d’autres biens. Pour ce 6 novembre 2017, mobilisons-nous tous à planter chacun un arbre. »
Sur le site de 5 hectares, il a été planté 2000 plants d’’Azobé avec un écartement de 5mx5m. Le thème de la journée rappelle l’importance de l’arbre qui représente une immense richesse, aussi bien dans la protection de la biodiversité et des écosystèmes. C’est là tout l’intérêt de se mobiliser tous à planter, chacun un arbre. Planter un arbre participe à la production de l’oxygène et à la production des biens et services indispensables à la vie de l’homme.
C’est sans doute cet intérêt qui a motivé le président Sassou à institutionnaliser cette journée, faisant du Congo le premier pays à instaurer cette journée consacrée à la plantation de l’arbre, bien avant que la communauté internationale en face une exigence de développement.
Pour Faustin Joseph Dembi, directeur du Service national de reboisement (SNR), « le choix du thème [de cette année] est justifié et s’explique par l’intérêt de l’arbre qui permet d’avoir des revenus économiques dans un pays. Aussi améliore-t-il le cadre de vie des populations. »
Quid sur l’Azobé
L’essence Azobé a une durée de vie de plus 100 ans. Elle est exploitée dans les travaux hydrauliques (plateforme), les traverses des métros et trains dans la construction des chemins de fer. Parmi tant autres objectifs visés, la plantation des arbres consiste à couvrir le territoire national de 70% de foret en tenant compte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Il s’agit aussi de la réduction de la déforestation et de la dégradation des forets par la création des plantations forestières et agro forestières domaniales et privées à grande échelle avec des espèces exotiques et locales de forêts denses.
De la diversification de l’économie nationale à la promotion de l’économie verte par la promotion des nouvelles filières économiques et industrielles en milieu rural basées par les activités forestières, les plantations forestières ont leur partition à jouer dans le bien-être de la population et la réduction de la pauvreté afin de contribuer à l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement(OMD) à travers la création des milliers d’emplois verts.
L’Azobé, formera, dans les années à venir, une forêt artificielle, en ce lieu avec des arbres dont la hauteur oscille entre 60 à 80 mètres. A en croire Faustin Joseph DEMBI, Directeur du Service National de Reboisement (SNR), on est en train de revenir vers cette donne pour replacer le bois au centre de l’économie.
A noter que la journée nationale de l’arbre été institutionnalisée par le président Denis Sassou N’Guesso en 1986.
Sur le site de 5 hectares, il a été planté 2000 plants d’’Azobé avec un écartement de 5mx5m. Le thème de la journée rappelle l’importance de l’arbre qui représente une immense richesse, aussi bien dans la protection de la biodiversité et des écosystèmes. C’est là tout l’intérêt de se mobiliser tous à planter, chacun un arbre. Planter un arbre participe à la production de l’oxygène et à la production des biens et services indispensables à la vie de l’homme.
C’est sans doute cet intérêt qui a motivé le président Sassou à institutionnaliser cette journée, faisant du Congo le premier pays à instaurer cette journée consacrée à la plantation de l’arbre, bien avant que la communauté internationale en face une exigence de développement.
Pour Faustin Joseph Dembi, directeur du Service national de reboisement (SNR), « le choix du thème [de cette année] est justifié et s’explique par l’intérêt de l’arbre qui permet d’avoir des revenus économiques dans un pays. Aussi améliore-t-il le cadre de vie des populations. »
Quid sur l’Azobé
L’essence Azobé a une durée de vie de plus 100 ans. Elle est exploitée dans les travaux hydrauliques (plateforme), les traverses des métros et trains dans la construction des chemins de fer. Parmi tant autres objectifs visés, la plantation des arbres consiste à couvrir le territoire national de 70% de foret en tenant compte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Il s’agit aussi de la réduction de la déforestation et de la dégradation des forets par la création des plantations forestières et agro forestières domaniales et privées à grande échelle avec des espèces exotiques et locales de forêts denses.
De la diversification de l’économie nationale à la promotion de l’économie verte par la promotion des nouvelles filières économiques et industrielles en milieu rural basées par les activités forestières, les plantations forestières ont leur partition à jouer dans le bien-être de la population et la réduction de la pauvreté afin de contribuer à l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement(OMD) à travers la création des milliers d’emplois verts.
L’Azobé, formera, dans les années à venir, une forêt artificielle, en ce lieu avec des arbres dont la hauteur oscille entre 60 à 80 mètres. A en croire Faustin Joseph DEMBI, Directeur du Service National de Reboisement (SNR), on est en train de revenir vers cette donne pour replacer le bois au centre de l’économie.
A noter que la journée nationale de l’arbre été institutionnalisée par le président Denis Sassou N’Guesso en 1986.