Le record du SMIB 2023 est tombé le 14 Août. Il est désormais détenu par Félicien Moyitira, en version masculine pour le compte du plateau international. Cet athlète rwandais a bouclé la distance de 21 km 100 en 1 heure 02 minutes 59 secondes empochant le chèque de 2,5 millions de f CFA mis en compétition en plus du trophée.
Chez les dames, le Rwanda a encore imposé sa suprématie. Avec un chrono de 1h15mn 41s, Emeline Imamizabayo a franchi, la première la ligne d’arrivée derrière l’ougandaise Cheyaye Dolo Toloussa et la kenyane Cherime Chemousto.
Pour les athlètes congolais, la palme d’or est revenue en version masculine à Nelson Mandela Biyoko et à Missamou Bafoundissa Léonce Chardevie, avec respectivement un chrono de 1h07mn54s et 1h19mn05s. Ces deux athlètes congolais ont bénéficié d’un stage de formation de trois à Nairobi au Kenya.
Une participation en hausse comparée à celle de l’année 2023
Avant le coup d’envoi par le président, Denis Sassou N’Guesso, le président du comité de direction du SMIB, Raymond Ibata a remercié le chef de l’Etat congolais pour avoir donné cette compétition à la jeunesse. Une compétition qui a regroupé cette année, selon lui, 3 472 athlètes nationaux et 91 étrangers. « Neuf athlètes congolais dont 04 hommes et 9 dames ont bénéficié de 3 mois d’entrainement en vue d’affronter le SMIB avec sagacité… », a-t-il souligné.
Pour lui, en 2025 l’année de la célébration du 65ème anniversaire de l’indépendance s’inscrit dans la vision de Denis Sassou-N’Guesso de faire du SMIB une grande compétition de renommée internationale.
Pour sa part, le ministre de la jeunesse et des sports, Hugues Ngouélondélé, a salué l’inscription massive des athlètes nationaux à cette édition dédiée à la jeunesse.
Répondant à la presse, à l’issue de la cérémonie, le directeur général de la société nationale des pétroles du Congo (SNPC), sponsor officiel du SMIB, Maixent Raoul Ominga a précisé que
cette compétition répond à la vision du chef de l’Etat qui a voulu décréter 2024 comme l’année de la jeunesse.
Il a affirmé que « la fondation SNPC ne ménage aucun effort pour former les jeunes athlètes congolais, afin qu’ils aient les aptitudes nécessaires pour défendre les couleurs nationales ». Dans cette optique, a ajouté Raoul Maixent Ominga, sa société enverra en formation, des jeunes congolais à Bakou, au Kazakhstan.
Le DG de la SNPC a, également, annoncé que son institution ouvrira, sous peu, un lycée d’excellence à Dolisie, dans le Niari, à l’instar de celui d’Oyo, dans le département de la Cuvette.
Chez les dames, le Rwanda a encore imposé sa suprématie. Avec un chrono de 1h15mn 41s, Emeline Imamizabayo a franchi, la première la ligne d’arrivée derrière l’ougandaise Cheyaye Dolo Toloussa et la kenyane Cherime Chemousto.
Pour les athlètes congolais, la palme d’or est revenue en version masculine à Nelson Mandela Biyoko et à Missamou Bafoundissa Léonce Chardevie, avec respectivement un chrono de 1h07mn54s et 1h19mn05s. Ces deux athlètes congolais ont bénéficié d’un stage de formation de trois à Nairobi au Kenya.
Une participation en hausse comparée à celle de l’année 2023
Avant le coup d’envoi par le président, Denis Sassou N’Guesso, le président du comité de direction du SMIB, Raymond Ibata a remercié le chef de l’Etat congolais pour avoir donné cette compétition à la jeunesse. Une compétition qui a regroupé cette année, selon lui, 3 472 athlètes nationaux et 91 étrangers. « Neuf athlètes congolais dont 04 hommes et 9 dames ont bénéficié de 3 mois d’entrainement en vue d’affronter le SMIB avec sagacité… », a-t-il souligné.
Pour lui, en 2025 l’année de la célébration du 65ème anniversaire de l’indépendance s’inscrit dans la vision de Denis Sassou-N’Guesso de faire du SMIB une grande compétition de renommée internationale.
Pour sa part, le ministre de la jeunesse et des sports, Hugues Ngouélondélé, a salué l’inscription massive des athlètes nationaux à cette édition dédiée à la jeunesse.
Répondant à la presse, à l’issue de la cérémonie, le directeur général de la société nationale des pétroles du Congo (SNPC), sponsor officiel du SMIB, Maixent Raoul Ominga a précisé que
cette compétition répond à la vision du chef de l’Etat qui a voulu décréter 2024 comme l’année de la jeunesse.
Il a affirmé que « la fondation SNPC ne ménage aucun effort pour former les jeunes athlètes congolais, afin qu’ils aient les aptitudes nécessaires pour défendre les couleurs nationales ». Dans cette optique, a ajouté Raoul Maixent Ominga, sa société enverra en formation, des jeunes congolais à Bakou, au Kazakhstan.
Le DG de la SNPC a, également, annoncé que son institution ouvrira, sous peu, un lycée d’excellence à Dolisie, dans le Niari, à l’instar de celui d’Oyo, dans le département de la Cuvette.