Creuset de la formation de l’élite nationale, l’université Marien N’Gouabi est restée longtemps, en attente d’un cadre idéal pour dispenser des enseignements magistraux. Parmi les contraintes figurait en bonne place l’insuffisance des infrastructures. Ce problème vient de bénéficier d’une attention particulière de la part du gouvernement congolais avec la dotation de deux amphithéâtres de deux niveaux bâtis chacun sur une superficie de 3130 mètres et une hauteur de construction de 15,25 mètres pour un cout total de 15 milliards 380 millions 520 milles FCFA.
Véritable ouf de soulagement pour le recteur le professeur Armand Moyikoua, au nom de la communauté universitaire, car selon lui, ces deux cadres d’études vont indiscutablement placer les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage optimales ; avant d’ajouter que la construction imminente d'un nouveau rectorat et de la direction de la scolarité allait dans le sens de l’amélioration des conditions de la gestion administrative et pédagogique de l’alma mater congolais. Seul bémol, le problème de la relève quantitative et qualitative des enseignants.
Tout en saluant la vision du président du Congo qui se matérialise, année par année, par la promesse et par l’acte, le ministre de l’enseignement supérieur, Georges Moyen, a appelé les bénéficiaires de ces joyaux à plus de responsabilité « … en prodiguant à ces bâtiments les soins constants qu’ils exigent. Au demeurant, c’est même une affaire de bon sens. »
Pour sa part, le ministre délégué à la présidence en charge de l’aménagement du territoire, Jean Jacques Bouya, a déclaré que ces deux amphithéâtres s’inscrivent dans une vision globale, celle de faire de Brazzaville l’épicentre de l’enseignement supérieur en zone CEMAC. L’enjeu de la formation étant devenu planétaire, a-t-il rappelé, les ouvrages à construire doivent tenir compte des évolutions démographiques, des exigences pédagogiques des temps présents et futurs.
A souligner que, la déclaration de Libreville signé par le Congo avec ses pairs de la CEMAC marquait l’engagement à mettre en œuvre le système Licence Master Doctorat. Aujourd’hui, cette tache est accomplie à l’université Marien N’Gouabi. Et parmi les contraintes figurait en bonne place l’insuffisance des infrastructures ; problème qui a bénéficie de l’attention du gouvernement congolais avec l’inauguration de la grande bibliothèque universitaire de Brazzaville et la construction à Kintélé de l’université Denis Sassou N’Guesso, en plus des deux amphithéâtres ultra modernes inaugurés à Brazzaville, ce 20 février.
Véritable ouf de soulagement pour le recteur le professeur Armand Moyikoua, au nom de la communauté universitaire, car selon lui, ces deux cadres d’études vont indiscutablement placer les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage optimales ; avant d’ajouter que la construction imminente d'un nouveau rectorat et de la direction de la scolarité allait dans le sens de l’amélioration des conditions de la gestion administrative et pédagogique de l’alma mater congolais. Seul bémol, le problème de la relève quantitative et qualitative des enseignants.
Tout en saluant la vision du président du Congo qui se matérialise, année par année, par la promesse et par l’acte, le ministre de l’enseignement supérieur, Georges Moyen, a appelé les bénéficiaires de ces joyaux à plus de responsabilité « … en prodiguant à ces bâtiments les soins constants qu’ils exigent. Au demeurant, c’est même une affaire de bon sens. »
Pour sa part, le ministre délégué à la présidence en charge de l’aménagement du territoire, Jean Jacques Bouya, a déclaré que ces deux amphithéâtres s’inscrivent dans une vision globale, celle de faire de Brazzaville l’épicentre de l’enseignement supérieur en zone CEMAC. L’enjeu de la formation étant devenu planétaire, a-t-il rappelé, les ouvrages à construire doivent tenir compte des évolutions démographiques, des exigences pédagogiques des temps présents et futurs.
A souligner que, la déclaration de Libreville signé par le Congo avec ses pairs de la CEMAC marquait l’engagement à mettre en œuvre le système Licence Master Doctorat. Aujourd’hui, cette tache est accomplie à l’université Marien N’Gouabi. Et parmi les contraintes figurait en bonne place l’insuffisance des infrastructures ; problème qui a bénéficie de l’attention du gouvernement congolais avec l’inauguration de la grande bibliothèque universitaire de Brazzaville et la construction à Kintélé de l’université Denis Sassou N’Guesso, en plus des deux amphithéâtres ultra modernes inaugurés à Brazzaville, ce 20 février.