Animés par une volonté de rendre visible et de vulgariser la statistique au Congo, les jeunes issus du monde de la statistique ont mis en place une association à but non lucratif pour accompagner l’Etat dans ce domaine, surtout dans l’accomplissement des grandes opérations telles que le recensement général des populations et Habitat (RGPG).
La cérémonie de lancement officielle a été marquée par une série d’interventions qui ont relevé que la statistique semble être ignorée par bon nombre des Congolais, alors qu’elle est un élément essentiel de la prise de décisions fondées sur les faits, quelques soient les caractéristiques culturelles et historiques des pays pour leur niveau du développement. Les Nations-Unies reconnaissent, d’ailleurs, dans sa résolution 69-28, qu’il est important que chaque pays dispose au niveau national des capacités durables sur le plan statistiques, afin de produire des indicateurs fiables, a-t-on affirmé.
C’est pourquoi la Société congolaise de la statistique voudrait aider, notamment, les étudiants par différents moyens, tels que les formations, le renforcement des capacités.
Dans son mot introductif, le Secrétaire général de cette association a déclaré qu’«au Congo, la généralisation de l’emploi de la statistique dans tous les domaines de la société, son enseignement dans la plupart des cycles secondaires et universitaires ; son développement et l’intensification des recherches menées, ont conduit à un effort de mutualisation des moyens intellectuels et matériels de diverses structures ayant pour objectif la promotion de la méthodologie statistique ».
Pour lui, la Société Congolaise de la Statistique est un cadre d’échanges et de partage, de mutualisation d’intelligences autour de la statistique. Cette association a-t-il poursuivi est aussi un espace de promotion et de valorisation de la statistique, comme un outil efficace auprès des étudiants, des professionnels et des décideurs.
Il a rappelé les motivations ayant conduit à la création de cette Association, en s’appuyant, d’une part, sur le fait que le Congo souffre depuis plusieurs décennies, non seulement d’un manque de données fiables dans beaucoup de domaines de sa vie, et d’autre part, sur la méconnaissance par des utilisateurs potentiels, des quelques chiffres produits par notre système statistique national.
Une première au Congo
Le Professeur Rufin Bidounga a été présenté au cours de la cérémonie comme parrain de la création de cette Association. Mais il est aussi enseignant de cette science. Quand il a pris la parole, comme l’un des membres d’honneur, le Professeur Bidounga a demandé aux jeunes membres de la Société Congolaise de la Statistique de « mettre leur intelligence à contribution, toujours dans le sens de la dynamique de la complémentarité ; de la mutualisation des efforts et des intelligences ».
« C’est une première » au Congo, s’est-il exclamé : que la société civile se mêle au besoin d’amélioration de la statistique, a-t-il dit. Ils sont tous des jeunes qualifiés à même de contenir des données statistiques de notre pays pour la dynamique de notre émergence, le rêve du président de la République qui a exprimé la volonté de voir les statistiques s’améliorer dans ce pays.
Poursuivant son propos, le Professeur Bidounga a mentionné que chaque pays qui a une prétention d’émergence, doit se focaliser sur la contribution de la société savante. Il a demandé aux membres de la Société Congolaise de la Statistique d’être capables de mettre leur intelligence à contribution, toujours dans le sens de la dynamique de la complémentarité ; de la mutualisation des efforts, des intelligences pour qu’il n’ait pas une personne qui se trompe seule, mais plusieurs. Mais, l’Association a besoin de la contribution des politiques, des administratifs pour que dans ce beau pays, nous puissions avoir un triple rayonnement des statistiques, à savoir au niveau sous régional, régionale et mondial, a martelé l’orateur.
La cérémonie de lancement officielle a été marquée par une série d’interventions qui ont relevé que la statistique semble être ignorée par bon nombre des Congolais, alors qu’elle est un élément essentiel de la prise de décisions fondées sur les faits, quelques soient les caractéristiques culturelles et historiques des pays pour leur niveau du développement. Les Nations-Unies reconnaissent, d’ailleurs, dans sa résolution 69-28, qu’il est important que chaque pays dispose au niveau national des capacités durables sur le plan statistiques, afin de produire des indicateurs fiables, a-t-on affirmé.
C’est pourquoi la Société congolaise de la statistique voudrait aider, notamment, les étudiants par différents moyens, tels que les formations, le renforcement des capacités.
Dans son mot introductif, le Secrétaire général de cette association a déclaré qu’«au Congo, la généralisation de l’emploi de la statistique dans tous les domaines de la société, son enseignement dans la plupart des cycles secondaires et universitaires ; son développement et l’intensification des recherches menées, ont conduit à un effort de mutualisation des moyens intellectuels et matériels de diverses structures ayant pour objectif la promotion de la méthodologie statistique ».
Pour lui, la Société Congolaise de la Statistique est un cadre d’échanges et de partage, de mutualisation d’intelligences autour de la statistique. Cette association a-t-il poursuivi est aussi un espace de promotion et de valorisation de la statistique, comme un outil efficace auprès des étudiants, des professionnels et des décideurs.
Il a rappelé les motivations ayant conduit à la création de cette Association, en s’appuyant, d’une part, sur le fait que le Congo souffre depuis plusieurs décennies, non seulement d’un manque de données fiables dans beaucoup de domaines de sa vie, et d’autre part, sur la méconnaissance par des utilisateurs potentiels, des quelques chiffres produits par notre système statistique national.
Une première au Congo
Le Professeur Rufin Bidounga a été présenté au cours de la cérémonie comme parrain de la création de cette Association. Mais il est aussi enseignant de cette science. Quand il a pris la parole, comme l’un des membres d’honneur, le Professeur Bidounga a demandé aux jeunes membres de la Société Congolaise de la Statistique de « mettre leur intelligence à contribution, toujours dans le sens de la dynamique de la complémentarité ; de la mutualisation des efforts et des intelligences ».
« C’est une première » au Congo, s’est-il exclamé : que la société civile se mêle au besoin d’amélioration de la statistique, a-t-il dit. Ils sont tous des jeunes qualifiés à même de contenir des données statistiques de notre pays pour la dynamique de notre émergence, le rêve du président de la République qui a exprimé la volonté de voir les statistiques s’améliorer dans ce pays.
Poursuivant son propos, le Professeur Bidounga a mentionné que chaque pays qui a une prétention d’émergence, doit se focaliser sur la contribution de la société savante. Il a demandé aux membres de la Société Congolaise de la Statistique d’être capables de mettre leur intelligence à contribution, toujours dans le sens de la dynamique de la complémentarité ; de la mutualisation des efforts, des intelligences pour qu’il n’ait pas une personne qui se trompe seule, mais plusieurs. Mais, l’Association a besoin de la contribution des politiques, des administratifs pour que dans ce beau pays, nous puissions avoir un triple rayonnement des statistiques, à savoir au niveau sous régional, régionale et mondial, a martelé l’orateur.