Dans ce stade Michel D’Ornano de Brazzaville, plein à craquer, le décor est de deuil. Sur les gradins se lisent sur les visages tristesse, pleurs et douleurs ; au milieu de deux tribunes se trouvent neuf catafalques supportant neuf cercueils contenant chacun un corps sans vie, des soldats tombés dans le Pool, précisément dans un village situé entre les districts de Mayama et Kindamba.
« Jusqu’au bout, faire face, pour la patrie nous vaincrons », .c’est au nom de cet engagement que ces 9 soldats sont tombés dans le Pool, arme à la main, dans l’accomplissement de leur devoir envers la patrie. Ils ont été tués par les ninja-nsiloulou du Frédéric Bintsamou, dit Pasteur Ntumi.
L’oraison funèbre, qui a précédé leur décoration à titre posthume et le recueillement du chef d’Etat-major général des forces armées congolaises, a mis un point d’honneur sur la dimension du sacrifice et du devoir envers la patrie. « Ces frères tombés au champ d’honneur, en plus de la discipline à laquelle leur soumettait leur engagement dans force publique, avaient en commun l’amour et la fidélité envers la République. » Pouvait-on entendre, tout en précisant que : « Leur sang vient d’être versé pour l’idéal de paix et la protection de nos compatriotes que nous avons juré de servir et de protéger. »
Ces hommes de toutes origines, de toutes conditions, de toutes confessions, sont morts pour le Congo. « Au service de la patrie, ils ont fait don de leur vie. » Pouvait soutenir le haut commandement avant de conclure : « Chers frères d’armes votre sacrifice ne restera pas vain. Et la force publique poursuivra le combat tant que la paix sera mise à mal. »
Chacun d’entre eux représente une famille, une veuve, des orphelins et des amis profondément attristés. Il s’agit de Mbemba Guy, né en 1966 (le civil tué), du soldat Nkéoua Steven, né en 1992, du soldat de 2ème classe Moutoma Nasthael, né en 1995, du soldat de 2ème classe Nzingoula Amour, né en 1988, du soldat de 2ème classe Ngoyi Bellot Françis, venu au monde en 1990, du caporal Boya Balouké, né en 1983 ; du sergent-chef Botanga Didace, né en 1977, du capitaine Mboko Basile, né en 1974 et du commandant NGABIE Thystère Thierry, qui naquit en 1976.
« Jusqu’au bout, faire face, pour la patrie nous vaincrons », .c’est au nom de cet engagement que ces 9 soldats sont tombés dans le Pool, arme à la main, dans l’accomplissement de leur devoir envers la patrie. Ils ont été tués par les ninja-nsiloulou du Frédéric Bintsamou, dit Pasteur Ntumi.
L’oraison funèbre, qui a précédé leur décoration à titre posthume et le recueillement du chef d’Etat-major général des forces armées congolaises, a mis un point d’honneur sur la dimension du sacrifice et du devoir envers la patrie. « Ces frères tombés au champ d’honneur, en plus de la discipline à laquelle leur soumettait leur engagement dans force publique, avaient en commun l’amour et la fidélité envers la République. » Pouvait-on entendre, tout en précisant que : « Leur sang vient d’être versé pour l’idéal de paix et la protection de nos compatriotes que nous avons juré de servir et de protéger. »
Ces hommes de toutes origines, de toutes conditions, de toutes confessions, sont morts pour le Congo. « Au service de la patrie, ils ont fait don de leur vie. » Pouvait soutenir le haut commandement avant de conclure : « Chers frères d’armes votre sacrifice ne restera pas vain. Et la force publique poursuivra le combat tant que la paix sera mise à mal. »
Chacun d’entre eux représente une famille, une veuve, des orphelins et des amis profondément attristés. Il s’agit de Mbemba Guy, né en 1966 (le civil tué), du soldat Nkéoua Steven, né en 1992, du soldat de 2ème classe Moutoma Nasthael, né en 1995, du soldat de 2ème classe Nzingoula Amour, né en 1988, du soldat de 2ème classe Ngoyi Bellot Françis, venu au monde en 1990, du caporal Boya Balouké, né en 1983 ; du sergent-chef Botanga Didace, né en 1977, du capitaine Mboko Basile, né en 1974 et du commandant NGABIE Thystère Thierry, qui naquit en 1976.