La pluie qui a commencé à arroser la ville depuis environ deux heures n’a pu altérer la détermination des Forces vives de la nation, les compatriotes de Denis Sassou N’Guesso à le saluer, en ce début d’année. Ils ont été accueillis et conduits dans l’ordre et la discipline, sous les chapiteaux installés pour la circonstance par les services du protocole.
Prenant la parole, aux noms des forces vives de la nation, le secrétaire permanent du conseil consultatif de la société civile et des organisations non gouvernementales, Cephas Germain Ewangui fait le bilan de l’année 2019, avant d’exprimer quelques préoccupations communes à tous les Congolais et qui s’inscrivent dans le cadre de la consolidation de la paix, de la cohésion sociale, du vivre ensemble et de la démocratie. Il a souhaité au couple présidentiel, les vœux de santé et de prospérité pour l’année nouvelle.
Les Forces vives de la nation ont exhorté le président Denis Sassou N’Guesso à créer une dynamique autour des institutions républicaines pour qu’elles se mettent à la hauteur de leurs tâches respectives dans la perspective des festivités marquant le 60 ème anniversaire de l’indépendance du Congo en 2020. Elles ont lancé un appel pour la préparation optimale des consultations électorales de 2021, « question de renforcer davantage le processus démocratique désormais en phase de consolidation », a dit Cephas Germain Ewangui.
Répondant au représentant des Forces vives de la nation, Denis Sassou N’Guesso a noté avec intérêt la convergence des points de vue entre leur message et son adresse sur l’état de la nation devant le parlement réuni en congrès, le 17 décembre dernier, dont le contenu reflétait, dit-il, les attentes du peuple congolais.
Le président congolais a saisi l’occasion pour dénoncer les allégations mensongères diffusées dans les réseaux sociaux qualifiant le Congo Comme une dictature. Denis Sassou N’Guesso, les a balayées d’un revers de la main en les qualifiant de « sans lendemains, appelées à s’éteindre d’elles-mêmes. » Pour lui, le Congo n’est pas sous une dictature et le peuple congolais jouit de sa liberté, sa démocratie se consolide davantage avec, notamment, des institutions qui « affichent une stabilité remarquable et fonctionnent normalement selon les dispositions de la constitution. »
Le chef de l’Etat congolais a fustigé l’attitude de certaines organisations de la société civile qui s’abritent derrière le label ONG « dans le but de mener des activités qui sont du ressort des partis politiques. » Cette pratique, a-t-il martelé, « met en péril la neutralité et la crédibilité de la société civile, leviers indispensables à la consolidation des attributs de veille et de médiation sociale reconnue à cette dernière. »
Face à ces dérives, Denis Sassou N’Guesso a recommandé à la société civile de préserver son intégrité et ses atouts les plus adéquats pour qu’elle s’engage pleinement " aux défis du développement, notamment en ce qui concerne la relance de l’économie nationale."
Prenant la parole, aux noms des forces vives de la nation, le secrétaire permanent du conseil consultatif de la société civile et des organisations non gouvernementales, Cephas Germain Ewangui fait le bilan de l’année 2019, avant d’exprimer quelques préoccupations communes à tous les Congolais et qui s’inscrivent dans le cadre de la consolidation de la paix, de la cohésion sociale, du vivre ensemble et de la démocratie. Il a souhaité au couple présidentiel, les vœux de santé et de prospérité pour l’année nouvelle.
Les Forces vives de la nation ont exhorté le président Denis Sassou N’Guesso à créer une dynamique autour des institutions républicaines pour qu’elles se mettent à la hauteur de leurs tâches respectives dans la perspective des festivités marquant le 60 ème anniversaire de l’indépendance du Congo en 2020. Elles ont lancé un appel pour la préparation optimale des consultations électorales de 2021, « question de renforcer davantage le processus démocratique désormais en phase de consolidation », a dit Cephas Germain Ewangui.
Répondant au représentant des Forces vives de la nation, Denis Sassou N’Guesso a noté avec intérêt la convergence des points de vue entre leur message et son adresse sur l’état de la nation devant le parlement réuni en congrès, le 17 décembre dernier, dont le contenu reflétait, dit-il, les attentes du peuple congolais.
Le président congolais a saisi l’occasion pour dénoncer les allégations mensongères diffusées dans les réseaux sociaux qualifiant le Congo Comme une dictature. Denis Sassou N’Guesso, les a balayées d’un revers de la main en les qualifiant de « sans lendemains, appelées à s’éteindre d’elles-mêmes. » Pour lui, le Congo n’est pas sous une dictature et le peuple congolais jouit de sa liberté, sa démocratie se consolide davantage avec, notamment, des institutions qui « affichent une stabilité remarquable et fonctionnent normalement selon les dispositions de la constitution. »
Le chef de l’Etat congolais a fustigé l’attitude de certaines organisations de la société civile qui s’abritent derrière le label ONG « dans le but de mener des activités qui sont du ressort des partis politiques. » Cette pratique, a-t-il martelé, « met en péril la neutralité et la crédibilité de la société civile, leviers indispensables à la consolidation des attributs de veille et de médiation sociale reconnue à cette dernière. »
Face à ces dérives, Denis Sassou N’Guesso a recommandé à la société civile de préserver son intégrité et ses atouts les plus adéquats pour qu’elle s’engage pleinement " aux défis du développement, notamment en ce qui concerne la relance de l’économie nationale."