Au siège du ministère de la défense, en début de matinée du 6 août, les troupes de l’armée de terre et d'apparat d'honneur sont rangées. Elles attendent rendre hommage à leur chef hiérarchique, le général de Brigade Gilbert Bokemba, décédé le 26 juillet dernier à Brazzaville.
En ces temps de saison sèche, le climat semble clément. Mais, l’atmosphère sur les lieux est chargée de tristesse et de chagrin. La cérémonie a été rehaussée par la présence du président de la République, Denis Sassou N’Guesso qui s’est recueilli devant le catafalque de l’illustre disparu.
Ce temps fort a été précédé par la prise de parole du Chef d’Etat-major général des FAC, Guy Blanchard Okoï qui a prononcé l’oraison funèbre. L’orateur a retracé le parcours du général de brigade disparu en relevant qu’il aura marqué son pays, le Congo. Il fut un officier général émérite dont le vécu servira de repères, a déclaré le chef d’Etat-major général des Forces armées congolaises. Il a loué les qualités de l’illustre disparu en insistant sur son courage, sa patience, son respect des aînés ainsi que sa rigueur et son humilité personnelle.
L’auditoire a été fixé à travers l’oraison funèbre sur le temps consacré au service de la République par le général de brigade Gilbert Bokemba. En effet, ses 45 ans ce carrière forcent l’admiration, a déclaré le chef d’Etat-major général des FAC qui a présenté l’illustre disparu comme Robuste et très résistant. Gilbert Bokemba a obtenu d’excellents résultats en parcours et en escalade grâce à une audace et à un sang-froid remarquables, a-t-il poursuivi.
Après une riche expérience en corps de troupe, sa carrière s’est poursuivie à Dolisie et à Ouesso, respectivement comme commandant de zone militaire et défense N°5 Ouesso et N°2 Dolisie de 2000 à 2005 avant de prendre le commandement de la zone militaire N°9 Brazzaville en 2007. De cette évocation, il a été retenu que Gilbert Bokemba a été élevé grade de général de Brigade en 2011 et nommé chef d’Etat-major de l’armée de terre en 2012.
Le dévouement de cet ancien auditeur de l’Institut international de hautes études de la défense à Paris a été matérialisé sur le plan national par la restauration de l’autorité de l’état dans le département du Pool et sur le plan international par la contribution à la mise en place de la FOMAC (force multinationale d’Afrique centrale) ainsi qu’à la mission de consolidation de la paix en RCA avec le COPAX (conseil de paix et de sécurité de l’Afrique centrale), selon Guy Blanchard Okoï
Grand officier dans l’ordre du mérite congolais et Commandeur dans l’ordre de la paix de l’Afrique centrale, le général de Brigade laisse une famille de 6 enfants. Il a été inhumé dans le domaine familial à Kintélé, à près de 20 km au nord de Brazzaville.
En ces temps de saison sèche, le climat semble clément. Mais, l’atmosphère sur les lieux est chargée de tristesse et de chagrin. La cérémonie a été rehaussée par la présence du président de la République, Denis Sassou N’Guesso qui s’est recueilli devant le catafalque de l’illustre disparu.
Ce temps fort a été précédé par la prise de parole du Chef d’Etat-major général des FAC, Guy Blanchard Okoï qui a prononcé l’oraison funèbre. L’orateur a retracé le parcours du général de brigade disparu en relevant qu’il aura marqué son pays, le Congo. Il fut un officier général émérite dont le vécu servira de repères, a déclaré le chef d’Etat-major général des Forces armées congolaises. Il a loué les qualités de l’illustre disparu en insistant sur son courage, sa patience, son respect des aînés ainsi que sa rigueur et son humilité personnelle.
L’auditoire a été fixé à travers l’oraison funèbre sur le temps consacré au service de la République par le général de brigade Gilbert Bokemba. En effet, ses 45 ans ce carrière forcent l’admiration, a déclaré le chef d’Etat-major général des FAC qui a présenté l’illustre disparu comme Robuste et très résistant. Gilbert Bokemba a obtenu d’excellents résultats en parcours et en escalade grâce à une audace et à un sang-froid remarquables, a-t-il poursuivi.
Après une riche expérience en corps de troupe, sa carrière s’est poursuivie à Dolisie et à Ouesso, respectivement comme commandant de zone militaire et défense N°5 Ouesso et N°2 Dolisie de 2000 à 2005 avant de prendre le commandement de la zone militaire N°9 Brazzaville en 2007. De cette évocation, il a été retenu que Gilbert Bokemba a été élevé grade de général de Brigade en 2011 et nommé chef d’Etat-major de l’armée de terre en 2012.
Le dévouement de cet ancien auditeur de l’Institut international de hautes études de la défense à Paris a été matérialisé sur le plan national par la restauration de l’autorité de l’état dans le département du Pool et sur le plan international par la contribution à la mise en place de la FOMAC (force multinationale d’Afrique centrale) ainsi qu’à la mission de consolidation de la paix en RCA avec le COPAX (conseil de paix et de sécurité de l’Afrique centrale), selon Guy Blanchard Okoï
Grand officier dans l’ordre du mérite congolais et Commandeur dans l’ordre de la paix de l’Afrique centrale, le général de Brigade laisse une famille de 6 enfants. Il a été inhumé dans le domaine familial à Kintélé, à près de 20 km au nord de Brazzaville.